Justine Chabot (double DEC en Sciences de la nature et en Sciences humaines), Camille Poirier (Communications et médias) ainsi que Victoria Najera-Huot, Ophélie Moisan-Leduc, David Fortin et Tommy Vallée (Sciences humaines) participent à cette activité annuelle qui consiste à reproduire les travaux de l’Assemblée nationale avec des étudiants de 25 autres cégeps.
Trois projets de loi
Les participants ont le loisir de goûter à la réalité du monde politique provincial, le temps de débattre quelques grandes idées de l’heure et d’étudier des projets de loi fictifs s’y rattachant: encadrement du travail du sexe; libéralisation de la distribution d’alcool au Québec et apprentissage par l’implication communautaire.
Deuxième présence pour Justine
Justine Chabot, de Sainte-Dorothée, assume le rôle de porte-parole du travail à l’opposition, le Parti socialiste. «C’est une belle expérience», a fait valoir la parlementaire en herbe. D’ailleurs, Justine a tellement adoré cette simulation qu’il s’agit de sa deuxième présence. «L’an dernier, j’étais au pouvoir avec le Parti conservateur en tant qu’adjointe parlementaire au ministère de la Culture et des Communications.»
Elle admet apprécier davantage son rôle dans l’opposition. «Nous sommes d’allégeance socialiste, donc nous nous opposons aux projets de loi en critiquant et défendant nos opinions, poursuit-elle. On a vraiment l’impression de travailler à l’Assemblée, pas d’être de simples étudiants.»
Selon elle, il faut vivre cette expérience au moins une fois dans sa vie. «Ça nous permet de mieux connaître ce que vivent les parlementaires», termine Justine Chabot, motivée plus que jamais à amorcer une quatrième session à Montmorency.
Protocole
Les six étudiants sont accompagnés de la professeure en science politique Geneviève Charron. «Les jeunes sont crédibles et motivés, avoue Mme Charron. Ils apprécient l’expérience en goûtant au caractère protocolaire de l’Assemblée nationale. Ce sont de grosses journées de travail.»
Dès l’automne, elle a recruté les jeunes et un travail de préparation a été fait. «Nous avons tenu des réunions pour les former sur le processus parlementaire, la rédaction de discours et comment fonctionne le protocole.»
Mme Charron explique que les idées du Parti socialiste devaient transparaître dans les débats. «Ce fut très dynamique», termine-t-elle.
Différents rôles
Issus de 26 collèges et cégeps de partout au Québec, dont celui de Montmorency, les étudiants sélectionnés occuperont les rôles de député, ministre, président, journaliste ou d’attaché de presse.
Depuis 26 ans, le Forum étudiant a permis à plus de 3000 jeunes du collégial d’améliorer leurs connaissances du système parlementaire et des rouages de la démocratie québécoise. Cette simulation est rendue possible, entre autres, grâce à la collaboration de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant.
Justine Chabot (double DEC en Sciences de la nature et en Sciences humaines), Camille Poirier (Communications et médias) ainsi que Victoria Najera-Huot, Ophélie Moisan-Leduc, David Fortin et Tommy Vallée (Sciences humaines) participent à cette activité annuelle qui consiste à reproduire les travaux de l’Assemblée nationale avec des étudiants de 25 autres cégeps.
Trois projets de loi
Les participants ont le loisir de goûter à la réalité du monde politique provincial, le temps de débattre quelques grandes idées de l’heure et d’étudier des projets de loi fictifs s’y rattachant: encadrement du travail du sexe; libéralisation de la distribution d’alcool au Québec et apprentissage par l’implication communautaire.
Deuxième présence pour Justine
Justine Chabot, de Sainte-Dorothée, assume le rôle de porte-parole du travail à l’opposition, le Parti socialiste. «C’est une belle expérience», a fait valoir la parlementaire en herbe. D’ailleurs, Justine a tellement adoré cette simulation qu’il s’agit de sa deuxième présence. «L’an dernier, j’étais au pouvoir avec le Parti conservateur en tant qu’adjointe parlementaire au ministère de la Culture et des Communications.»
Elle admet apprécier davantage son rôle dans l’opposition. «Nous sommes d’allégeance socialiste, donc nous nous opposons aux projets de loi en critiquant et défendant nos opinions, poursuit-elle. On a vraiment l’impression de travailler à l’Assemblée, pas d’être de simples étudiants.»
Selon elle, il faut vivre cette expérience au moins une fois dans sa vie. «Ça nous permet de mieux connaître ce que vivent les parlementaires», termine Justine Chabot, motivée plus que jamais à amorcer une quatrième session à Montmorency.
Protocole
Les six étudiants sont accompagnés de la professeure en science politique Geneviève Charron. «Les jeunes sont crédibles et motivés, avoue Mme Charron. Ils apprécient l’expérience en goûtant au caractère protocolaire de l’Assemblée nationale. Ce sont de grosses journées de travail.»
Dès l’automne, elle a recruté les jeunes et un travail de préparation a été fait. «Nous avons tenu des réunions pour les former sur le processus parlementaire, la rédaction de discours et comment fonctionne le protocole.»
Mme Charron explique que les idées du Parti socialiste devaient transparaître dans les débats. «Ce fut très dynamique», termine-t-elle.
Différents rôles
Issus de 26 collèges et cégeps de partout au Québec, dont celui de Montmorency, les étudiants sélectionnés occuperont les rôles de député, ministre, président, journaliste ou d’attaché de presse.
Depuis 26 ans, le Forum étudiant a permis à plus de 3000 jeunes du collégial d’améliorer leurs connaissances du système parlementaire et des rouages de la démocratie québécoise. Cette simulation est rendue possible, entre autres, grâce à la collaboration de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant.