Fermée à la circulation jusqu’à nouvel ordre, cette portion de quelques dizaines de mètres située à la hauteur de l’église de la paroisse Saint-François-de-Sales est au cœur d’un tronçon de sept kilomètres du boulevard des Mille-Îles dont l’analyse a été confiée en janvier 2017 au Groupe ABS.
Au coût de 90 000 $, ce mandat portait sur la stabilité du talus des berges de la rivière dans la pointe est de l’île Jésus.
Porte-parole à la Ville, Sarah Bensadoun indique que «l’étude est terminée» et que les autorités sont «à planifier une étude d’opportunité pour identifier les besoins et les différentes pistes de solution».
Prévu d’ici la fin 2018, ce projet de stabilisation des berges pourrait toutefois être reporté. Ce sera forcément le cas s’il devait être assujetti au processus d’évaluation environnementale du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE).
«On devrait en savoir davantage au courant de l’automne», indiquait samedi après-midi Mme Bensadoun lors d’un entretien téléphonique avec le représentant du Courrier Laval.
Pétition en 2016
Six mois avant l’attribution du mandat à une firme spécialisée, une pétition signée par plus de 900 citoyens du quartier Saint-François avait été déposée au conseil municipal. Ça se passait en juillet 2016.
Inquiets par la détérioration avancée du boulevard des Mille-Îles, les pétitionnaires réclamaient la revitalisation de ce lien routier dans sa portion située à l’est de l’autoroute 25 et demandaient aux autorités municipales «de faire diligence afin d’assurer la sécurité aux usagers du boulevard».
Leur porte-parole estimait alors à 1600 le nombre de citoyens dépendant de cette artère ralliant l’extrême pointe est de l’île au pont autoroutier A-25.
Dans un document de 15 pages abondamment illustré, le comité de citoyens rappelait, entre autres, que l’affaissement de la chaussée avait entraîné au cours des 24 mois précédents 3 fermetures dans un rayon inférieur à un kilomètre de la montée du Moulin.
Fermée à la circulation jusqu’à nouvel ordre, cette portion de quelques dizaines de mètres située à la hauteur de l’église de la paroisse Saint-François-de-Sales est au cœur d’un tronçon de sept kilomètres du boulevard des Mille-Îles dont l’analyse a été confiée en janvier 2017 au Groupe ABS.
Au coût de 90 000 $, ce mandat portait sur la stabilité du talus des berges de la rivière dans la pointe est de l’île Jésus.
Porte-parole à la Ville, Sarah Bensadoun indique que «l’étude est terminée» et que les autorités sont «à planifier une étude d’opportunité pour identifier les besoins et les différentes pistes de solution».
Prévu d’ici la fin 2018, ce projet de stabilisation des berges pourrait toutefois être reporté. Ce sera forcément le cas s’il devait être assujetti au processus d’évaluation environnementale du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE).
«On devrait en savoir davantage au courant de l’automne», indiquait samedi après-midi Mme Bensadoun lors d’un entretien téléphonique avec le représentant du Courrier Laval.
Pétition en 2016
Six mois avant l’attribution du mandat à une firme spécialisée, une pétition signée par plus de 900 citoyens du quartier Saint-François avait été déposée au conseil municipal. Ça se passait en juillet 2016.
Inquiets par la détérioration avancée du boulevard des Mille-Îles, les pétitionnaires réclamaient la revitalisation de ce lien routier dans sa portion située à l’est de l’autoroute 25 et demandaient aux autorités municipales «de faire diligence afin d’assurer la sécurité aux usagers du boulevard».
Leur porte-parole estimait alors à 1600 le nombre de citoyens dépendant de cette artère ralliant l’extrême pointe est de l’île au pont autoroutier A-25.
Dans un document de 15 pages abondamment illustré, le comité de citoyens rappelait, entre autres, que l’affaissement de la chaussée avait entraîné au cours des 24 mois précédents 3 fermetures dans un rayon inférieur à un kilomètre de la montée du Moulin.