Bravant la chaleur intense du 26 septembre, quelque 100 personnes ont porté l’oreille aux propos du chroniqueur qui s’est fait connaître à la télévision.
Dès le départ, le conférencier a été clair: «Je suis venu pour vous chicaner un peu, a prévenu celui qui parcourt le Québec depuis quatre ans pour brancher les PME. Tout le monde, on doit revoir notre modèle d’affaires. Ce soir, on va se dire les vraies affaires. Je vais vous donner ma recette de succès sur le Web.»
Après une telle entrée en matière, le cofondateur de votresite.ca, une entreprise virtuelle offrant des outils d’aide au référencement Web, marketing et vente en ligne, ainsi qu’en simple mise sur pied d’un site Internet, a fait un appel à l’optimisme et créativité.
François Charron a d’abord indiqué qu’une entreprise peut aller de l’avant en augmentant ses prix, abandonnant certains produits et changeant son image, que ce soit le nom ou logo.
Éventail de possibilités
Après avoir identifié un public cible, qui a pu varier depuis début de l’entreprise et devenir multiple (travailleur autonome, projet d’entreprise, commerce de détail en ligne, artisan distributeur), le conférencier a rappelé qu’on pouvait vendre beaucoup plus qu’un service ou produit, mais plutôt ce que «les gens sont venus chercher: autonomie, fierté, accompagnement et aide», selon le créneau dans lequel évolue la personne.
Dans un deuxième temps, il sera important d’établir un bilan de santé Web et concevoir un bon plan. Présence sur Facebook et autres réseaux sociaux, boutique en ligne, infolettres, référencement Google, photos et signature visuelle attrayantes, les besoins ne sont pas identiques pour personne.
«Chacun va se faire une recette avec les éléments qui conviennent à son entreprise, de souligner François Charron. Il faut arrêter de faire un trip technologique. Je suis un gars de communications à l’origine et le plus important demeure le message que l’on transmet au client, et ce, sans distorsion.»
En cours de soirée, l’animateur partagera plusieurs statistiques éclairantes pour le marché du Québec via le Web, que ce soit les 5% de vente par infolettres en comparaison de 1% via Facebook, l’attention moyenne étant passée de 12 à 8 secondes ces 5 dernières années, ou les 6 Québécois sur 10 qui sont influencés par les autres, «laissez vos clients faire votre publicité! En 2016, les Québécois ont acheté pour 8,5 milliards $ sur le Web. Ça veut dire que 3 $ sur 4 sortent de la province!»
Grand apôtre d’un budget marketing illimité et du remarketing, adepte du paiement électronique local par l’instrument Monetico de Desjardins, sinon par chèque (!), ce qui représente 25 % de son chiffre d’affaires, François Charron a finalement invité le public à considérer un dernier ingrédient, le blogue, afin de partager savoir-faire et conseils avec sa communauté.
Bravant la chaleur intense du 26 septembre, quelque 100 personnes ont porté l’oreille aux propos du chroniqueur qui s’est fait connaître à la télévision.
Dès le départ, le conférencier a été clair: «Je suis venu pour vous chicaner un peu, a prévenu celui qui parcourt le Québec depuis quatre ans pour brancher les PME. Tout le monde, on doit revoir notre modèle d’affaires. Ce soir, on va se dire les vraies affaires. Je vais vous donner ma recette de succès sur le Web.»
Après une telle entrée en matière, le cofondateur de votresite.ca, une entreprise virtuelle offrant des outils d’aide au référencement Web, marketing et vente en ligne, ainsi qu’en simple mise sur pied d’un site Internet, a fait un appel à l’optimisme et créativité.
François Charron a d’abord indiqué qu’une entreprise peut aller de l’avant en augmentant ses prix, abandonnant certains produits et changeant son image, que ce soit le nom ou logo.
Éventail de possibilités
Après avoir identifié un public cible, qui a pu varier depuis début de l’entreprise et devenir multiple (travailleur autonome, projet d’entreprise, commerce de détail en ligne, artisan distributeur), le conférencier a rappelé qu’on pouvait vendre beaucoup plus qu’un service ou produit, mais plutôt ce que «les gens sont venus chercher: autonomie, fierté, accompagnement et aide», selon le créneau dans lequel évolue la personne.
Dans un deuxième temps, il sera important d’établir un bilan de santé Web et concevoir un bon plan. Présence sur Facebook et autres réseaux sociaux, boutique en ligne, infolettres, référencement Google, photos et signature visuelle attrayantes, les besoins ne sont pas identiques pour personne.
«Chacun va se faire une recette avec les éléments qui conviennent à son entreprise, de souligner François Charron. Il faut arrêter de faire un trip technologique. Je suis un gars de communications à l’origine et le plus important demeure le message que l’on transmet au client, et ce, sans distorsion.»
En cours de soirée, l’animateur partagera plusieurs statistiques éclairantes pour le marché du Québec via le Web, que ce soit les 5% de vente par infolettres en comparaison de 1% via Facebook, l’attention moyenne étant passée de 12 à 8 secondes ces 5 dernières années, ou les 6 Québécois sur 10 qui sont influencés par les autres, «laissez vos clients faire votre publicité! En 2016, les Québécois ont acheté pour 8,5 milliards $ sur le Web. Ça veut dire que 3 $ sur 4 sortent de la province!»
Grand apôtre d’un budget marketing illimité et du remarketing, adepte du paiement électronique local par l’instrument Monetico de Desjardins, sinon par chèque (!), ce qui représente 25 % de son chiffre d’affaires, François Charron a finalement invité le public à considérer un dernier ingrédient, le blogue, afin de partager savoir-faire et conseils avec sa communauté.