«Avec tous les changements des entraîneuses et les nombreuses blessures, nous avons bien fait, insiste l’athlète de 21 ans de Laval-Ouest. On partait de loin. Nous avons relevé le défi face aux meilleures équipes de la planète. Cette performance est au-delà de nos attentes.»
Outre Savard, l’équipe canadienne était composée de Janelle Ball, Andrée-Anne Côté, Claudia Holzner, Gwendolyn McGuire, Samantha Nealon, Jacqueline Simoneau et Kali Wong.
Les filles ont nagé sous les ordres de l’entraîneuse Leslie Sproule. Elles ont obtenu une note de 86,2044 (exécution 26,1000 + impression artistique 25,8000 + éléments techniques 34,3044).
Sans grande surprise, les représentantes de la Russie ont conservé leur titre en amassant 96,0109 points, devant les Chinoises (94,2165) et les Japonaises (93,1590). Un total de 12 pays participait à la finale.
Installations magnifiques
Élizabeth a apprécié sa présence en Hongrie. Elle a surtout adoré les installations. «La piscine était superbe, tout comme la piscine d’entraînement. Nous avions des conditions idéales. C’était de toute beauté.»
Elle en a profité pour aller voir l’équipe canadienne masculine de water-polo contre le Brésil. «J’ai adoré les Mondiaux. L’ambiance était incroyable. C’était festif, avec beaucoup de musique. La foule a été extraordinaire. J’aime bien voir aussi la réalité des athlètes d’autres sports.»
À sa deuxième participation aux Mondiaux, Élizabeth avait un rôle différent dans cette compétition internationale. Elle a été la leader du groupe. «Nous avions une jeune équipe. Je pense que l’avenir s’annonce prometteur.»
Jeux olympiques de 2020
Élizabeth aimerait bien représenter le Canada aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020. «C’est mon objectif à long terme. Je veux m’entraîner et aider notre équipe à se qualifier pour les Olympiques», termine-t-elle.
«Avec tous les changements des entraîneuses et les nombreuses blessures, nous avons bien fait, insiste l’athlète de 21 ans de Laval-Ouest. On partait de loin. Nous avons relevé le défi face aux meilleures équipes de la planète. Cette performance est au-delà de nos attentes.»
Outre Savard, l’équipe canadienne était composée de Janelle Ball, Andrée-Anne Côté, Claudia Holzner, Gwendolyn McGuire, Samantha Nealon, Jacqueline Simoneau et Kali Wong.
Les filles ont nagé sous les ordres de l’entraîneuse Leslie Sproule. Elles ont obtenu une note de 86,2044 (exécution 26,1000 + impression artistique 25,8000 + éléments techniques 34,3044).
Sans grande surprise, les représentantes de la Russie ont conservé leur titre en amassant 96,0109 points, devant les Chinoises (94,2165) et les Japonaises (93,1590). Un total de 12 pays participait à la finale.
Installations magnifiques
Élizabeth a apprécié sa présence en Hongrie. Elle a surtout adoré les installations. «La piscine était superbe, tout comme la piscine d’entraînement. Nous avions des conditions idéales. C’était de toute beauté.»
Elle en a profité pour aller voir l’équipe canadienne masculine de water-polo contre le Brésil. «J’ai adoré les Mondiaux. L’ambiance était incroyable. C’était festif, avec beaucoup de musique. La foule a été extraordinaire. J’aime bien voir aussi la réalité des athlètes d’autres sports.»
À sa deuxième participation aux Mondiaux, Élizabeth avait un rôle différent dans cette compétition internationale. Elle a été la leader du groupe. «Nous avions une jeune équipe. Je pense que l’avenir s’annonce prometteur.»
Jeux olympiques de 2020
Élizabeth aimerait bien représenter le Canada aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020. «C’est mon objectif à long terme. Je veux m’entraîner et aider notre équipe à se qualifier pour les Olympiques», termine-t-elle.