Il admet que les propositions de la coalition seront appréciées des chauffeurs lavallois.
«Nous voulons implanter un registre pour la location ou la vente de permis de taxi via une plateforme de location et d’attribution uniforme dans toute la province, soutient M. Tannous, vice-président du comité provincial. Avec une seule plateforme pour tous, la gestion sera plus facile.»
M. Tannous est convaincu que cela permettrait à tous d’être sur le même pied d’égalité. «Nous avons négocié durant 23 jours notamment pour que les chauffeurs puissent vivre décemment de leur travail.»
Coalition
Cette coalition, composée du Comité provincial de concertation et de développement de l’industrie du taxi (CPCDIT) du Regroupement des propriétaires de taxis de Montréal (RPTM) et de Taxelco (Alexandre Taillefer), souhaite moderniser l’industrie et rendre obligatoire le permis de taxi pour les chauffeurs.
Ceux-ci seraient mis en disponibilité au choix de leur propriétaire et pourraient être loués, à l’heure ou à la journée, à tout chauffeur ou entreprise.
Une première
«On a réussi quelque chose qui n’a pas été possible précédemment, soit de se rassembler autour d’une même cause, poursuit-il. C’est un consensus sans précédent. Avant, M. Taillefer et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain appuyaient le projet pilote d’Uber. M. Taillefer a changé d’idée et a décidé de faire partie de la coalition.»
Cette coalition s’est inspirée des recommandations de la Chambre pour formuler des pistes de solutions.
Équité
Ce regroupement a présenté ses propositions, le 17 août, auprès du gouvernement Couillard. «Nous voulons avoir une homogénéité et une équité pour l’ensemble de l’industrie du taxi», insiste le président de Co-Op Taxi Laval.
Six objectifs recherchés
Outre la base de données virtuelle des permis, la coalition propose d’améliorer l’expérience des clients et les conditions de travail des chauffeurs, de lutter contre l’évasion fiscale, d’assurer l’équité entre tous les joueurs de l’industrie et de contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
«Au bout de la ligne, tout le monde sortira gagnant. La balle est dans le camp du gouvernement et nous espérons qu’il accepte nos propositions», termine Georges Tannous.
Il admet que les propositions de la coalition seront appréciées des chauffeurs lavallois.
«Nous voulons implanter un registre pour la location ou la vente de permis de taxi via une plateforme de location et d’attribution uniforme dans toute la province, soutient M. Tannous, vice-président du comité provincial. Avec une seule plateforme pour tous, la gestion sera plus facile.»
M. Tannous est convaincu que cela permettrait à tous d’être sur le même pied d’égalité. «Nous avons négocié durant 23 jours notamment pour que les chauffeurs puissent vivre décemment de leur travail.»
Coalition
Cette coalition, composée du Comité provincial de concertation et de développement de l’industrie du taxi (CPCDIT) du Regroupement des propriétaires de taxis de Montréal (RPTM) et de Taxelco (Alexandre Taillefer), souhaite moderniser l’industrie et rendre obligatoire le permis de taxi pour les chauffeurs.
Ceux-ci seraient mis en disponibilité au choix de leur propriétaire et pourraient être loués, à l’heure ou à la journée, à tout chauffeur ou entreprise.
Une première
«On a réussi quelque chose qui n’a pas été possible précédemment, soit de se rassembler autour d’une même cause, poursuit-il. C’est un consensus sans précédent. Avant, M. Taillefer et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain appuyaient le projet pilote d’Uber. M. Taillefer a changé d’idée et a décidé de faire partie de la coalition.»
Cette coalition s’est inspirée des recommandations de la Chambre pour formuler des pistes de solutions.
Équité
Ce regroupement a présenté ses propositions, le 17 août, auprès du gouvernement Couillard. «Nous voulons avoir une homogénéité et une équité pour l’ensemble de l’industrie du taxi», insiste le président de Co-Op Taxi Laval.
Six objectifs recherchés
Outre la base de données virtuelle des permis, la coalition propose d’améliorer l’expérience des clients et les conditions de travail des chauffeurs, de lutter contre l’évasion fiscale, d’assurer l’équité entre tous les joueurs de l’industrie et de contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
«Au bout de la ligne, tout le monde sortira gagnant. La balle est dans le camp du gouvernement et nous espérons qu’il accepte nos propositions», termine Georges Tannous.