En point de presse ce matin, Jean-Claude Gobé a décrié les mesures d’apaisement de la circulation récemment mises en place, indiquant qu’il y mettrait un terme aussitôt en poste.
«Oui on perdrait les 5-6 M$ dépensés, mais ce sera dans le passif de Marc Demers. Il aura gaspillé des millions dans des mesures inefficaces et qui ne satisfont pas les citoyens.»
Le politicien reverrait le partage de la route dans le but d’améliorer la fluidité de la circulation sur les grands artères, harmoniserait les travaux routiers afin qu’ils soient terminés plus rapidement; mettrait l’accent sur le verdissement des boulevards tout en réduisant les îlots de chaleur en collaboration avec les citoyens et commerçants et ferait de Laval une ville attrayante, «humaine et où il fait bon vivre».
«Par exemple, les voies réservées sont très peu utilisées, elles pourraient servir au covoiturage», avance-t-il.
Vélos et autobus
Jean-Claude Gobé a également fait mention des nombreuses pistes cyclables qui ont fait leur apparition dans le paysage lavallois. «Je n’ai rien contre, mais mettons-les dans des endroits stratégiques et sécuritaires où ça ne causerait pas de problème. Il faut aussi tenir compte de l’achalandage.»
Sur le transport en commun, M. Gobé mentionne que «le système est conçu pour le 9 à 5 et ça ne fonctionne pas pour tout le monde». Il estime que la mise en opération d’autobus électriques de 25-30 places «qui circuleraient à certaines heures ne nécessitant pas de gros véhicules» ferait en sorte que les gens «monteraient dans les autobus quand ils en ont besoin, dans des délais raisonnables».
«Il faut que le transport en commun soit densifié en termes de cadence et de couverture du territoire.»
Vitesse
Quant au problème de vitesse, Jean-Claude Gobé le réglerait avec l’installation de radars. «C’est malheureusement la seule façon. Quand les gens verront dans leur boîte aux lettres des contraventions de 150 ou 200 $, ils comprendront. Ça se fait dans certains pays d’Europe et ça fonctionne très bien.»
L’argent provenant de ces radars serait par la suite réinvesti dans la sécurité routière. «Il serait dédié à ça et uniquement à ça. Je veux établir une collaboration avec les commissions scolaires et que des policiers fassent le tour des écoles, surtout primaires, avec des petits équipements de code de la route pour que les jeunes sachent comment se comporter, que ce soit à bicyclette ou à pied, et en même temps les sensibiliser à la circulation routière..»
Avec la mise en œuvre de son plan, Jean-Claude Gobé souligne que cela favorisera «la prospérité» et améliorera la qualité de vie des Lavallois.
En point de presse ce matin, Jean-Claude Gobé a décrié les mesures d’apaisement de la circulation récemment mises en place, indiquant qu’il y mettrait un terme aussitôt en poste.
«Oui on perdrait les 5-6 M$ dépensés, mais ce sera dans le passif de Marc Demers. Il aura gaspillé des millions dans des mesures inefficaces et qui ne satisfont pas les citoyens.»
Le politicien reverrait le partage de la route dans le but d’améliorer la fluidité de la circulation sur les grands artères, harmoniserait les travaux routiers afin qu’ils soient terminés plus rapidement; mettrait l’accent sur le verdissement des boulevards tout en réduisant les îlots de chaleur en collaboration avec les citoyens et commerçants et ferait de Laval une ville attrayante, «humaine et où il fait bon vivre».
«Par exemple, les voies réservées sont très peu utilisées, elles pourraient servir au covoiturage», avance-t-il.
Vélos et autobus
Jean-Claude Gobé a également fait mention des nombreuses pistes cyclables qui ont fait leur apparition dans le paysage lavallois. «Je n’ai rien contre, mais mettons-les dans des endroits stratégiques et sécuritaires où ça ne causerait pas de problème. Il faut aussi tenir compte de l’achalandage.»
Sur le transport en commun, M. Gobé mentionne que «le système est conçu pour le 9 à 5 et ça ne fonctionne pas pour tout le monde». Il estime que la mise en opération d’autobus électriques de 25-30 places «qui circuleraient à certaines heures ne nécessitant pas de gros véhicules» ferait en sorte que les gens «monteraient dans les autobus quand ils en ont besoin, dans des délais raisonnables».
«Il faut que le transport en commun soit densifié en termes de cadence et de couverture du territoire.»
Vitesse
Quant au problème de vitesse, Jean-Claude Gobé le réglerait avec l’installation de radars. «C’est malheureusement la seule façon. Quand les gens verront dans leur boîte aux lettres des contraventions de 150 ou 200 $, ils comprendront. Ça se fait dans certains pays d’Europe et ça fonctionne très bien.»
L’argent provenant de ces radars serait par la suite réinvesti dans la sécurité routière. «Il serait dédié à ça et uniquement à ça. Je veux établir une collaboration avec les commissions scolaires et que des policiers fassent le tour des écoles, surtout primaires, avec des petits équipements de code de la route pour que les jeunes sachent comment se comporter, que ce soit à bicyclette ou à pied, et en même temps les sensibiliser à la circulation routière..»
Avec la mise en œuvre de son plan, Jean-Claude Gobé souligne que cela favorisera «la prospérité» et améliorera la qualité de vie des Lavallois.