Les responsables du programme souhaitent mettre sur pied des formations dans les catégories benjamine et cadette. Le camp d’entraînement débutera en février.
Petits nouveaux
En 2017, le directeur adjoint, Alain Paul, et la coordonnatrice, Manon Morrissette, avaient comme mission de bâtir une nouvelle équipe d’entraîneurs pour les Gladiateurs dans la catégorie juvénile D-2B.
«Stéphane Pépin, entraîneur-chef, Michel Aupin, le coordonnateur-offensif, ainsi que leurs adjoints, Pierre-Olivier Dutrisac, Éric Belisle, Marco Santori et Éric Perron, ont su transmettre aux joueurs des valeurs de persévérance et de discipline nécessaires à la pratique de ce sport», affirme Manon Morrissette.
La formation des Gladiateurs était composée de joueurs de 15 à 17 ans, dont plus de la moitié n’avait jamais pratiqué ce sport. «Ils n’ont pas connu la victoire, mais ils n’ont jamais abandonné, mentionne Mme Morrissette. Le sport contribue grandement à la persévérance scolaire et développe un fort sentiment d’appartenance chez les jeunes. C’est pour ces raisons que l’école secondaire Georges-Vanier fait tout en son pouvoir afin de bâtir ces équipes sportives.»
Pas de terrain
Fait inusité, les Gladiateurs n’ont pas pu jouer sur leur terrain qui n’était pas réglementaire. Georges-Vanier a donc disputé ses matchs locaux à Laval Liberty. «Nous allons approcher le conseiller Paolo Galati pour rénover le terrain et le rendre conforme», de conclure Manon Morrissette.
Les responsables du programme souhaitent mettre sur pied des formations dans les catégories benjamine et cadette. Le camp d’entraînement débutera en février.
Petits nouveaux
En 2017, le directeur adjoint, Alain Paul, et la coordonnatrice, Manon Morrissette, avaient comme mission de bâtir une nouvelle équipe d’entraîneurs pour les Gladiateurs dans la catégorie juvénile D-2B.
«Stéphane Pépin, entraîneur-chef, Michel Aupin, le coordonnateur-offensif, ainsi que leurs adjoints, Pierre-Olivier Dutrisac, Éric Belisle, Marco Santori et Éric Perron, ont su transmettre aux joueurs des valeurs de persévérance et de discipline nécessaires à la pratique de ce sport», affirme Manon Morrissette.
La formation des Gladiateurs était composée de joueurs de 15 à 17 ans, dont plus de la moitié n’avait jamais pratiqué ce sport. «Ils n’ont pas connu la victoire, mais ils n’ont jamais abandonné, mentionne Mme Morrissette. Le sport contribue grandement à la persévérance scolaire et développe un fort sentiment d’appartenance chez les jeunes. C’est pour ces raisons que l’école secondaire Georges-Vanier fait tout en son pouvoir afin de bâtir ces équipes sportives.»
Pas de terrain
Fait inusité, les Gladiateurs n’ont pas pu jouer sur leur terrain qui n’était pas réglementaire. Georges-Vanier a donc disputé ses matchs locaux à Laval Liberty. «Nous allons approcher le conseiller Paolo Galati pour rénover le terrain et le rendre conforme», de conclure Manon Morrissette.