L’athlète de Pont-Viau a disposé de la Britannique Destinee Martins en deux manches de 6-4 et 6-0 lors de l’ultime rencontre.
«Je suis très heureuse d’avoir gagné ce premier titre, lance la jeune championne dans une entrevue accordée au Courrier Laval la veille de participer au quart de finale d’un troisième tournoi au Zimbabwe. Je ne suis pas surprise de mes succès. Mes efforts ont été récompensés.»
Une semaine plus tôt, Tiffany avait baissé pavillon en trois manches de 6-4, 1-6 et 0-6 en finale face à Martins, le 5 août. Tiffany a également mis la main sur le titre en double avec son partenaire Zara Lennon, de l’île Maurice, à ce premier tournoi en sol africain.
«Je suis plus forte physiquement et j’ai amélioré l’aspect mental. Les parties que je gagne maintenant, çauraient été des défaites avant. Je pense différemment. Je suis positive et je me fais plus confiance.»
Elle admet sans détour que les parties peuvent parfois être difficiles et les parcours parsemés d’embûches.
Un bond extraordinaire
Tout comme son compatriote Denis Shapovalov, la nouvelle coqueluche du tennis canadien, Tiffany a fait un bond incroyable de 470 places au classement ITF junior grâce à son brio en Afrique australe. Elle occupe le 272e rang mondial.
Tiffany s’envolera pour l’île Maurice où elle sera en action dans deux tournois.
«J’aimerais vraiment gagner encore, poursuit celle qui a obtenu son diplôme de cinquième secondaire à l’Académie des Estacades, à Trois-Rivières. Je veux améliorer mon classement.»
Pourquoi avoir opté pour le Zimbabwe? Tiffany a précisé qu’avoir trois tournois au même endroit en peu de temps limitait les déplacements. «Je me retrouvais aussi sur une surface dure, ma préférée.»
Tiffany peut compter sur l’aide et les judicieux conseils l’entraîneur Yannick Dumas. Deux joueurs québécois, Parker Collins et Christophe Pognon, disputent aussi les mêmes tournois chez les hommes.
Universités américaines
Tiffany aimerait bien poursuivre sa carrière aux États-Unis tout comme Alexis Galarnea, qui étudie présentement à la North Carolina State University. «Je vais suivre des cours en ligne à l’Université d’Oklahoma. Je ne sais pas encore dans quel domaine. Je pense aux universités américaines, tout dépendra de mes résultats.»
L’athlète de Pont-Viau a disposé de la Britannique Destinee Martins en deux manches de 6-4 et 6-0 lors de l’ultime rencontre.
«Je suis très heureuse d’avoir gagné ce premier titre, lance la jeune championne dans une entrevue accordée au Courrier Laval la veille de participer au quart de finale d’un troisième tournoi au Zimbabwe. Je ne suis pas surprise de mes succès. Mes efforts ont été récompensés.»
Une semaine plus tôt, Tiffany avait baissé pavillon en trois manches de 6-4, 1-6 et 0-6 en finale face à Martins, le 5 août. Tiffany a également mis la main sur le titre en double avec son partenaire Zara Lennon, de l’île Maurice, à ce premier tournoi en sol africain.
«Je suis plus forte physiquement et j’ai amélioré l’aspect mental. Les parties que je gagne maintenant, çauraient été des défaites avant. Je pense différemment. Je suis positive et je me fais plus confiance.»
Elle admet sans détour que les parties peuvent parfois être difficiles et les parcours parsemés d’embûches.
Un bond extraordinaire
Tout comme son compatriote Denis Shapovalov, la nouvelle coqueluche du tennis canadien, Tiffany a fait un bond incroyable de 470 places au classement ITF junior grâce à son brio en Afrique australe. Elle occupe le 272e rang mondial.
Tiffany s’envolera pour l’île Maurice où elle sera en action dans deux tournois.
«J’aimerais vraiment gagner encore, poursuit celle qui a obtenu son diplôme de cinquième secondaire à l’Académie des Estacades, à Trois-Rivières. Je veux améliorer mon classement.»
Pourquoi avoir opté pour le Zimbabwe? Tiffany a précisé qu’avoir trois tournois au même endroit en peu de temps limitait les déplacements. «Je me retrouvais aussi sur une surface dure, ma préférée.»
Tiffany peut compter sur l’aide et les judicieux conseils l’entraîneur Yannick Dumas. Deux joueurs québécois, Parker Collins et Christophe Pognon, disputent aussi les mêmes tournois chez les hommes.
Universités américaines
Tiffany aimerait bien poursuivre sa carrière aux États-Unis tout comme Alexis Galarnea, qui étudie présentement à la North Carolina State University. «Je vais suivre des cours en ligne à l’Université d’Oklahoma. Je ne sais pas encore dans quel domaine. Je pense aux universités américaines, tout dépendra de mes résultats.»