L’ancien, installé il y a 11 ans, présentait de sérieuses failles, indique le président des Habitations Saint-Christophe, Michel Larin.
«Il était désuet, non fonctionnel et même dangereux, rapporte-t-il, citant notamment les nombreuses fausses alarmes. C’était des modules dans les chambres qui étaient sur une ligne téléphonique et les appels allaient sur un ordinateur qui fonctionnait à moitié. Le temps de réponse était très long et parfois, les préposées ne recevaient même pas les appels [des résidents en détresse].»
L’été dernier, on s’est tourné vers le député Saul Polo afin d’obtenir une aide financière. La demande a été entendue: le ministre Gaétan Barrette a octroyé un soutien de 10 000 $ par le biais de son budget discrétionnaire et l’élu de Laval-des-Rapides a offert 1000 $. La Caisse Desjardins des Grands boulevards de Laval est venue compléter la facture avec un support financier de 15 000 $.
«Tout a été installé en une semaine, mentionne Michel Larin. Les bracelets que chaque résident porte fonctionne maintenant avec une radiofréquence, plus besoin de ligne téléphonique. En appuyant sur le bouton, l’appel va directement à la préposée et le temps de réponse est beaucoup plus court. Ça fait une grande différence pour les gens.»
Liens
Durant son allocution, Saul Polo a souligné les liens qu’il a tissés avec les résidents des Habitations Saint-Christophe depuis son élection en 2014. «Je me suis lié d’amitié et de sympathie avec Saint-Christophe. Au bout de ces démarches [d’aide], il y a la sécurité des gens et le respect du travail des professionnels qui vivaient un stress [en raison d’un système désuet]», a mentionné le député.
Quant à Nathalie Vaillancourt, représentante de la Caisse Desjardins des Grands boulevards de Laval, elle a souligné que c’était la première fois que l’institution financière appuyait un projet à cette résidence qui a été aménagée dans une ancienne église. «C’est un projet vital et nécessaire, la décision de l’appuyer a été facile à prendre.»
Finalement, le gestionnaire des Habitations Saint-Christophe, Jean-Pierre Fortin, était lui aussi soulagé pour les résidents. «On commençait sérieusement à être inquiets. Il y avait plus de fausses alertes que de véritables alertes et on sentait qu’une situation malheureuse était sur le point de se produire.»
L’ancien, installé il y a 11 ans, présentait de sérieuses failles, indique le président des Habitations Saint-Christophe, Michel Larin.
«Il était désuet, non fonctionnel et même dangereux, rapporte-t-il, citant notamment les nombreuses fausses alarmes. C’était des modules dans les chambres qui étaient sur une ligne téléphonique et les appels allaient sur un ordinateur qui fonctionnait à moitié. Le temps de réponse était très long et parfois, les préposées ne recevaient même pas les appels [des résidents en détresse].»
L’été dernier, on s’est tourné vers le député Saul Polo afin d’obtenir une aide financière. La demande a été entendue: le ministre Gaétan Barrette a octroyé un soutien de 10 000 $ par le biais de son budget discrétionnaire et l’élu de Laval-des-Rapides a offert 1000 $. La Caisse Desjardins des Grands boulevards de Laval est venue compléter la facture avec un support financier de 15 000 $.
«Tout a été installé en une semaine, mentionne Michel Larin. Les bracelets que chaque résident porte fonctionne maintenant avec une radiofréquence, plus besoin de ligne téléphonique. En appuyant sur le bouton, l’appel va directement à la préposée et le temps de réponse est beaucoup plus court. Ça fait une grande différence pour les gens.»
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Durant son allocution, Saul Polo a souligné les liens qu’il a tissés avec les résidents des Habitations Saint-Christophe depuis son élection en 2014. «Je me suis lié d’amitié et de sympathie avec Saint-Christophe. Au bout de ces démarches [d’aide], il y a la sécurité des gens et le respect du travail des professionnels qui vivaient un stress [en raison d’un système désuet]», a mentionné le député.
Quant à Nathalie Vaillancourt, représentante de la Caisse Desjardins des Grands boulevards de Laval, elle a souligné que c’était la première fois que l’institution financière appuyait un projet à cette résidence qui a été aménagée dans une ancienne église. «C’est un projet vital et nécessaire, la décision de l’appuyer a été facile à prendre.»
Finalement, le gestionnaire des Habitations Saint-Christophe, Jean-Pierre Fortin, était lui aussi soulagé pour les résidents. «On commençait sérieusement à être inquiets. Il y avait plus de fausses alertes que de véritables alertes et on sentait qu’une situation malheureuse était sur le point de se produire.»