Les deux paliers de gouvernement ont ainsi investi 250 000 $ chacun par année dans le cadre du Programme Mobilisation-Diversité.
L’entente permettra la mise en œuvre des stratégies pour faciliter l’accueil et l’intégration des personnes immigrantes à la communauté lavalloise et le soutien notamment des projets novateurs favorisant l’harmonisation des interventions des partenaires en matière d’immigration.
«Laval est la deuxième ville qui reçoit le plus de personnes immigrantes, a confié la ministre Weil. Il est primordial de s’assurer que les meilleures conditions possibles pour s’intégrer et s’établir de façon durable soient réunies. Les initiatives et les actions qui seront mises en place permettront de rendre la région encore plus attrayante pour les personnes immigrantes.»
Mme Weil a insisté pour dire que l’immigration s’avérait un pôle important pour le Québec.
Île accueillante
Francine Charbonneau, ministre responsable de la région de Laval, a fait remarquer en point de presse que la Municipalité était une communauté riche par sa diversité culturelle, qui a une longue expérience en intégration des personnes immigrantes. «Un programme comme celui-ci est bénéfique autant pour les personnes immigrantes que les sociétés d’accueil. Laval ouvre ses portes de façon naturelle.»
Pour sa part, le maire Demers n’a pas caché que la ville était une terre d’accueil pour l’immigration. «Cette entente fera des petits, car il y aura de nombreuses signatures avec les organismes communautaires. À Laval, l’économie est florissante, les gens de l’immigration y contribuent. On leur donne la main. Par la suite, ils seront un actif pour la communauté.»
Relais Communautaire
En 2016-17, ce programme a permis à 17 projets lavallois de voir le jour, grâce à une contribution de 200 000 $ du gouvernement provincial et de la municipalité. D’ailleurs, le Relais Communautaire a pu compter sur 10 000 $ pour réaliser le sien auprès des réfugiés syriens.
Denise Ouimet, directrice générale du Relais Communautaire de Pont-Viau, a pris la parole et vanté ce programme. Son organisme a pu multiplier les démarches pour harmoniser les rapports des communautés culturelles avec la communauté d’accueil. Elle a eu aussi un bon mot pour Lana Kanaan, qui s’est chargée de la traduction et a mené à bien le projet.
«Ce programme a permis de faire de la formation pour les bénévoles. Cela a rejoint 188 personnes. Nous leur avons parlé dans leur langue, c’est important.»
Cet organisme de première ligne accueille 59 communautés différentes. Près de la moitié des gens sont arrivés à Laval depuis moins de cinq ans. «Nous nous occupons du dépannage alimentaire, du logis et des vêtements. On touche les plus vulnérables. Nous avons aussi accueilli les migrants, les Haïtiens, récemment.»
Tension
Mme Ouimet avoue que la tension a monté entre la communauté accueillante et les immigrants. «Nous avions moins de ressources et plus de bouches à nourrir. Nous avons fait des pieds et des mains pour harmoniser le tout.»
Elle a conclu en demandant au maire de délier encore une fois les cordons de la bourse pour son organisme avec la signature de cette nouvelle entente.
Les deux paliers de gouvernement ont ainsi investi 250 000 $ chacun par année dans le cadre du Programme Mobilisation-Diversité.
L’entente permettra la mise en œuvre des stratégies pour faciliter l’accueil et l’intégration des personnes immigrantes à la communauté lavalloise et le soutien notamment des projets novateurs favorisant l’harmonisation des interventions des partenaires en matière d’immigration.
«Laval est la deuxième ville qui reçoit le plus de personnes immigrantes, a confié la ministre Weil. Il est primordial de s’assurer que les meilleures conditions possibles pour s’intégrer et s’établir de façon durable soient réunies. Les initiatives et les actions qui seront mises en place permettront de rendre la région encore plus attrayante pour les personnes immigrantes.»
Mme Weil a insisté pour dire que l’immigration s’avérait un pôle important pour le Québec.
Île accueillante
Francine Charbonneau, ministre responsable de la région de Laval, a fait remarquer en point de presse que la Municipalité était une communauté riche par sa diversité culturelle, qui a une longue expérience en intégration des personnes immigrantes. «Un programme comme celui-ci est bénéfique autant pour les personnes immigrantes que les sociétés d’accueil. Laval ouvre ses portes de façon naturelle.»
Pour sa part, le maire Demers n’a pas caché que la ville était une terre d’accueil pour l’immigration. «Cette entente fera des petits, car il y aura de nombreuses signatures avec les organismes communautaires. À Laval, l’économie est florissante, les gens de l’immigration y contribuent. On leur donne la main. Par la suite, ils seront un actif pour la communauté.»
Relais Communautaire
En 2016-17, ce programme a permis à 17 projets lavallois de voir le jour, grâce à une contribution de 200 000 $ du gouvernement provincial et de la municipalité. D’ailleurs, le Relais Communautaire a pu compter sur 10 000 $ pour réaliser le sien auprès des réfugiés syriens.
Denise Ouimet, directrice générale du Relais Communautaire de Pont-Viau, a pris la parole et vanté ce programme. Son organisme a pu multiplier les démarches pour harmoniser les rapports des communautés culturelles avec la communauté d’accueil. Elle a eu aussi un bon mot pour Lana Kanaan, qui s’est chargée de la traduction et a mené à bien le projet.
«Ce programme a permis de faire de la formation pour les bénévoles. Cela a rejoint 188 personnes. Nous leur avons parlé dans leur langue, c’est important.»
Cet organisme de première ligne accueille 59 communautés différentes. Près de la moitié des gens sont arrivés à Laval depuis moins de cinq ans. «Nous nous occupons du dépannage alimentaire, du logis et des vêtements. On touche les plus vulnérables. Nous avons aussi accueilli les migrants, les Haïtiens, récemment.»
Tension
Mme Ouimet avoue que la tension a monté entre la communauté accueillante et les immigrants. «Nous avions moins de ressources et plus de bouches à nourrir. Nous avons fait des pieds et des mains pour harmoniser le tout.»
Elle a conclu en demandant au maire de délier encore une fois les cordons de la bourse pour son organisme avec la signature de cette nouvelle entente.