C’est le juge Gilles Garneau qui avait rendu cette décision, le 28 novembre 2017, au palais de justice de Laval.
Suspendu pour deux ans par l’administration municipale, Christian Perreault avait été condamné à effectuer 50 heures de travaux communautaires sur cette même période.
L’homme, qui réside dans les Laurentides, doit aussi observer plusieurs conditions, dont ne pas se trouver dans un rayon de 100 mètres des domiciles et lieux de travail des deux anciens collègues qu’il a nié avoir importunés lors de sa comparution. Il devait aussi accomplir 150 heures de plus de service communautaire d’ici juillet 2018.
Depuis la permission d’en appeler de cette peine, Christian Perreault et ses avocats ont 45 jours pour produire son exposé de la cause.
Rappelons qu’en janvier 2016, des accusations avaient été déposées contre deux cols bleus du secteur de la voirie par quatre cadres, entraînant rapidement leur congédiement par la Ville de Laval après une enquête administrative. Christian Perreault était alors employé depuis 1993.
Les quatre plaignants soutenaient avoir été victimes d’intimidation et menaces depuis plus de 10 ans.
C’est le juge Gilles Garneau qui avait rendu cette décision, le 28 novembre 2017, au palais de justice de Laval.
Suspendu pour deux ans par l’administration municipale, Christian Perreault avait été condamné à effectuer 50 heures de travaux communautaires sur cette même période.
L’homme, qui réside dans les Laurentides, doit aussi observer plusieurs conditions, dont ne pas se trouver dans un rayon de 100 mètres des domiciles et lieux de travail des deux anciens collègues qu’il a nié avoir importunés lors de sa comparution. Il devait aussi accomplir 150 heures de plus de service communautaire d’ici juillet 2018.
Depuis la permission d’en appeler de cette peine, Christian Perreault et ses avocats ont 45 jours pour produire son exposé de la cause.
Rappelons qu’en janvier 2016, des accusations avaient été déposées contre deux cols bleus du secteur de la voirie par quatre cadres, entraînant rapidement leur congédiement par la Ville de Laval après une enquête administrative. Christian Perreault était alors employé depuis 1993.
Les quatre plaignants soutenaient avoir été victimes d’intimidation et menaces depuis plus de 10 ans.