Yves Robillard, député de Marc-Aurèle-Fortin, en a fait l’annonce, le 19 mai, au nom de Mélanie Joly, ministre du Patrimoine canadien.
Éco-Nature œuvre à la protection, la conservation et la mise en valeur de la rivière des Mille Îles depuis plus de 30 ans. Pour le directeur général de l’organisme, Luc Ménard, cette contribution financière majeure est appréciée et permettra de faire rayonner l’endroit à travers ses espaces muséaux, scientifiques et d’animation.
Nouveau pavillon
Le projet de construction d’un nouveau pavillon d’accueil certifié LEED-Or totalise un investissement de 12 M$, réparti entre le gouvernement du Québec, la Communauté métropolitaine de Montréal et la Ville de Laval.
Le bâtiment comprendra trois étages. On y retrouvera un laboratoire d’écologie, une salle des camps de jour, un centre de location d’équipements, café-restaurant, une salle d’exposition et une salle de projection. Des espaces pour les employés et des salles multifonctionnelles seront aménagés au deuxième étage. L’inauguration est prévue en février 2018. Malgré les travaux de construction, toutes les activités sont maintenues. D’ailleurs, il y a eu l’ouverture des camps de jour, le 20 mai.
«Ce projet structurant permettra au Parc de la Rivière-des-Mille-Îles de renforcer sa position à titre de parc d’envergure à vocation régionale et contribuera à faire rayonner le tourisme dans la grande région métropolitaine, précise M. Ménard. Nous pourrons passer de la pratique à la théorie grâce à ce laboratoire scientifique.»
M. Ménard est d’avis que ce nouveau bâtiment favorisera un équilibre entre la protection, conservation et l’accessibilité, le tout au moyen d’activités attrayantes pour le public. «Nous sommes uniques, on se distinguera de tout autre équipement du même type.»
Rapprochement avec la nature
L’environnement fait partie des quatre grands thèmes pour les célébrations des 150 ans du Canada. Ce projet s’inscrit donc dans la volonté du gouvernement canadien de rapprocher les citoyens à la nature pour éveiller leur conscience environnementale.
«Notre environnement est une source de richesse et de fierté, souligne par voie de communiqué Mélanie Joly, ministre du Patrimoine canadien. Éco-Nature joue un rôle clé en encourageant la population à découvrir la beauté naturelle de son pays et à se sensibiliser davantage à l’environnement pour mieux protéger son écosystème.»
Yves Robillard s’est réjoui de savoir que la réalisation de cet important projet donnera à Éco-Nature les moyens de poursuivre sa mission de sensibilisation et d’éducation, auprès des jeunes qui auront un rôle crucial à jouer en tant que gardiens des milieux naturels.
150 000 visiteurs
Éco-Nature accueille près de 150 000 visiteurs par année. Il offre des programmes éducatifs destinés aux groupes scolaires et aux familles; des services de location d’embarcations nautiques non motorisées, de croisière et de pêche; ainsi que des activités hivernales.
Inondations
Dans un autre ordre d’idées, les inondations n’ont causé aucun dommage au bâtiment et très peu au terrain. «Nous avons retardé l’installation de deux chapiteaux et avons dû refaire un plancher», termine Luc Ménard.
Yves Robillard, député de Marc-Aurèle-Fortin, en a fait l’annonce, le 19 mai, au nom de Mélanie Joly, ministre du Patrimoine canadien.
Éco-Nature œuvre à la protection, la conservation et la mise en valeur de la rivière des Mille Îles depuis plus de 30 ans. Pour le directeur général de l’organisme, Luc Ménard, cette contribution financière majeure est appréciée et permettra de faire rayonner l’endroit à travers ses espaces muséaux, scientifiques et d’animation.
Nouveau pavillon
Le projet de construction d’un nouveau pavillon d’accueil certifié LEED-Or totalise un investissement de 12 M$, réparti entre le gouvernement du Québec, la Communauté métropolitaine de Montréal et la Ville de Laval.
Le bâtiment comprendra trois étages. On y retrouvera un laboratoire d’écologie, une salle des camps de jour, un centre de location d’équipements, café-restaurant, une salle d’exposition et une salle de projection. Des espaces pour les employés et des salles multifonctionnelles seront aménagés au deuxième étage. L’inauguration est prévue en février 2018. Malgré les travaux de construction, toutes les activités sont maintenues. D’ailleurs, il y a eu l’ouverture des camps de jour, le 20 mai.
«Ce projet structurant permettra au Parc de la Rivière-des-Mille-Îles de renforcer sa position à titre de parc d’envergure à vocation régionale et contribuera à faire rayonner le tourisme dans la grande région métropolitaine, précise M. Ménard. Nous pourrons passer de la pratique à la théorie grâce à ce laboratoire scientifique.»
M. Ménard est d’avis que ce nouveau bâtiment favorisera un équilibre entre la protection, conservation et l’accessibilité, le tout au moyen d’activités attrayantes pour le public. «Nous sommes uniques, on se distinguera de tout autre équipement du même type.»
Rapprochement avec la nature
L’environnement fait partie des quatre grands thèmes pour les célébrations des 150 ans du Canada. Ce projet s’inscrit donc dans la volonté du gouvernement canadien de rapprocher les citoyens à la nature pour éveiller leur conscience environnementale.
«Notre environnement est une source de richesse et de fierté, souligne par voie de communiqué Mélanie Joly, ministre du Patrimoine canadien. Éco-Nature joue un rôle clé en encourageant la population à découvrir la beauté naturelle de son pays et à se sensibiliser davantage à l’environnement pour mieux protéger son écosystème.»
Yves Robillard s’est réjoui de savoir que la réalisation de cet important projet donnera à Éco-Nature les moyens de poursuivre sa mission de sensibilisation et d’éducation, auprès des jeunes qui auront un rôle crucial à jouer en tant que gardiens des milieux naturels.
150 000 visiteurs
Éco-Nature accueille près de 150 000 visiteurs par année. Il offre des programmes éducatifs destinés aux groupes scolaires et aux familles; des services de location d’embarcations nautiques non motorisées, de croisière et de pêche; ainsi que des activités hivernales.
Inondations
Dans un autre ordre d’idées, les inondations n’ont causé aucun dommage au bâtiment et très peu au terrain. «Nous avons retardé l’installation de deux chapiteaux et avons dû refaire un plancher», termine Luc Ménard.