Dans le cadre de notre série de portraits mettant en vedette les joueurs du Rocket de Laval, l’attaquant format géant Michael McCarron admet être quelque peu superstitieux.
Quelle personne a été ton modèle en grandissant et pourquoi?
Ayant grandi à Détroit, j’ai toujours aimé Darren McCarty. Toutefois, j’opterais plus pour Steve Yzerman. Il est facilement l’un des cinq meilleurs capitaines de l’histoire de la ligue. Il ne prenait jamais une soirée de repos et savait comment gagner les matchs importants.
Quel type de musique écoutes-tu?
J’écoute pas mal de tout. Je dirais qu’en me rendant à l’aréna, j’écoute du country et avant les rencontres, j’écoute du techno et du rap.
Quel artiste écoutes-tu?
J’aime bien Drake évidemment, mais aussi Tiesto. Pour ce qui est du country, il en a plusieurs.
Qu’est-ce que tu aimes le plus de Laval?
Le Centropolis, c’est vraiment une belle place. Je suis allé quelques fois au cinéma. Dans l’ensemble, c’est pas mal là que je passe mon temps, quand je sors.
Que ferais-tu si tu n’étais pas un joueur de hockey?
Je serais joueur de golf professionnel. J’aime tellement ça être sur le terrain.
Es-tu quelqu’un de superstitieux?
Un peu, oui. J’ai toujours la même routine avant les rencontres, que ce soit ce que je mange le matin ou le fait que j’attache toujours mon patin droit en premier.
Est-ce que tu fais les choses différemment quand ça va moins bien?
Je ne change jamais rien. Je fais toujours la même chose avant une partie.
Qui est le clown dans le vestiaire?
Définitivement Brett Lernout. Il fait toujours rire les gars.
Comment décrirais-tu l’atmosphère à la Place Bell?
Les partisans sont excellents et très bruyant. Dès qu’on va se mettre à gagner des matchs, les gens vont être encore plus intenses.