Judith Cajelais, enseignante et animatrice, a fait découvrir les forces liées au vol des avions aux nombreux élèves, dont la classe de Karina Demontigny. Les jeunes ont appris que les avions pouvaient voler grâce à la circulation de l’air, la portance, poussée, gravité et traînée. Plusieurs ont démontré un grand intérêt pour l’aéronautique en échangeant avec Mme Cajelais. Ils ont activement participé à la formation, dont le point culminant était de fabriquer un planeur et le faire voler.
Après avoir réalisé leur œuvre en classe, les élèves ont pris le chemin du gymnase et ont fait l’essai de leur planeur. Sur le sol, on retrouvait le nom de quelques villes canadiennes en commençant par Montréal jusqu’à Vancouver. Certains ont dépassé l’Ouest canadien.
Le jeune Adam El Houbba, qui veut devenir un spécialiste en robotique, a adoré son expérience. «C’était assez facile pour moi de construire un planeur, lance-t-il fièrement en haussant les épaules. Mon père est ingénieur mécanique. Il m’a inspiré.»
Bombardier et Aéro Montréal
Ce projet, initié chez Bombardier et mené par Aéro Montréal, vise à susciter l’enthousiasme des jeunes à l’égard de la science et technologie, tout particulièrement l’aérospatiale, et à contribuer à la persévérance scolaire. Il comporte deux volets: «Passion pour l’aviation» destinée aux élèves du premier cycle du secondaire et «Passion naissante» qui vise les élèves du deuxième cycle du primaire.
Ces deux volets sont déployés dans le cadre d’un atelier en classe avec le matériel pédagogique adapté pour les enseignants.
École secondaire
Une seule école secondaire, Saint-Martin, participera au projet. Le programme «Passion pour l’aviation» propose aux élèves d’améliorer un prototype de planeur en s’appuyant sur des concepts scientifiques et technologiques pertinents. Les élèves seront également initiés à l’utilisation de différents matériaux ainsi qu’aux techniques de travail utilisées dans la conception d’un avion.
Les députés Monique Sauvé (Fabre), Saul Polo (Laval-des-Rapides), la présidente-directrice générale d’Aéro Montréal, Suzanne Benoit et la présidente de la Commission scolaire de Laval (CSDL), Louise Lortie, avaient convié les journalistes à une conférence de presse. Plus de 500 élèves provenant de 10 écoles pourront suivre les programmes «Passion pour l’aviation» et «Passion naissante» d’ici la fin de l’année.
Importance des sciences
Quelques personnes ont pris la parole avant le grand lancement, vantant l’importance des sciences. Suzanne Benoit, pdg d’Aéro Montréal, a révélé que son entreprise a toujours été engagée auprès de la relève afin d’éveiller l’intérêt pour des carrières en aérospatiale. La présidente de la Commission scolaire de Laval (CSDL), Louise Lortie, trouve important de participer à ces programmes qui s’inscrivent dans une approche orientante, une démarche aidant les élèves à découvrir leurs passions. «C’est plus facile d’apprendre quand on s’amuse», insiste-t-elle.
Mme Sauvé a confié que ce projet éveillera la curiosité des jeunes pour les sciences et technologies
Enfin, M. Polo a mentionné que le Québec était un champion en aéronautique dans le monde. «Nous faisons partie des trois endroits où on fabrique de A à Z des avions, avec Toulouse et Seattle. J’espère que ces programmes vous stimuleront pour que vous deveniez les champions de demain.»
Judith Cajelais, enseignante et animatrice, a fait découvrir les forces liées au vol des avions aux nombreux élèves, dont la classe de Karina Demontigny. Les jeunes ont appris que les avions pouvaient voler grâce à la circulation de l’air, la portance, poussée, gravité et traînée. Plusieurs ont démontré un grand intérêt pour l’aéronautique en échangeant avec Mme Cajelais. Ils ont activement participé à la formation, dont le point culminant était de fabriquer un planeur et le faire voler.
Après avoir réalisé leur œuvre en classe, les élèves ont pris le chemin du gymnase et ont fait l’essai de leur planeur. Sur le sol, on retrouvait le nom de quelques villes canadiennes en commençant par Montréal jusqu’à Vancouver. Certains ont dépassé l’Ouest canadien.
Le jeune Adam El Houbba, qui veut devenir un spécialiste en robotique, a adoré son expérience. «C’était assez facile pour moi de construire un planeur, lance-t-il fièrement en haussant les épaules. Mon père est ingénieur mécanique. Il m’a inspiré.»
Bombardier et Aéro Montréal
Ce projet, initié chez Bombardier et mené par Aéro Montréal, vise à susciter l’enthousiasme des jeunes à l’égard de la science et technologie, tout particulièrement l’aérospatiale, et à contribuer à la persévérance scolaire. Il comporte deux volets: «Passion pour l’aviation» destinée aux élèves du premier cycle du secondaire et «Passion naissante» qui vise les élèves du deuxième cycle du primaire.
Ces deux volets sont déployés dans le cadre d’un atelier en classe avec le matériel pédagogique adapté pour les enseignants.
École secondaire
Une seule école secondaire, Saint-Martin, participera au projet. Le programme «Passion pour l’aviation» propose aux élèves d’améliorer un prototype de planeur en s’appuyant sur des concepts scientifiques et technologiques pertinents. Les élèves seront également initiés à l’utilisation de différents matériaux ainsi qu’aux techniques de travail utilisées dans la conception d’un avion.
Les députés Monique Sauvé (Fabre), Saul Polo (Laval-des-Rapides), la présidente-directrice générale d’Aéro Montréal, Suzanne Benoit et la présidente de la Commission scolaire de Laval (CSDL), Louise Lortie, avaient convié les journalistes à une conférence de presse. Plus de 500 élèves provenant de 10 écoles pourront suivre les programmes «Passion pour l’aviation» et «Passion naissante» d’ici la fin de l’année.
Importance des sciences
Quelques personnes ont pris la parole avant le grand lancement, vantant l’importance des sciences. Suzanne Benoit, pdg d’Aéro Montréal, a révélé que son entreprise a toujours été engagée auprès de la relève afin d’éveiller l’intérêt pour des carrières en aérospatiale. La présidente de la Commission scolaire de Laval (CSDL), Louise Lortie, trouve important de participer à ces programmes qui s’inscrivent dans une approche orientante, une démarche aidant les élèves à découvrir leurs passions. «C’est plus facile d’apprendre quand on s’amuse», insiste-t-elle.
Mme Sauvé a confié que ce projet éveillera la curiosité des jeunes pour les sciences et technologies
Enfin, M. Polo a mentionné que le Québec était un champion en aéronautique dans le monde. «Nous faisons partie des trois endroits où on fabrique de A à Z des avions, avec Toulouse et Seattle. J’espère que ces programmes vous stimuleront pour que vous deveniez les champions de demain.»