Après les gens de Chomedey fréquentant la Place St-Martin et l’école Saint-Paul, ce sera au tour de citoyens de Pont-Viau de profiter de cette approche basée sur le développement global des enfants et adolescents présentant des problèmes de santé et socialisation en milieu défavorisé. Cette pratique a été mise de l’avant et implantée à travers le Québec par le célèbre Dr Julien.
«Nous pensons pouvoir recevoir jusqu’à 200 familles du secteur, d’affirmer Mylène Du Bois, directrice générale du Centre de pédiatrie sociale de Laval. Nous n’offrons pas un épisode de services, mais bien un suivi des enfants, adolescents, parents pour autant d’années que nécessaire.»
Sur place, les familles auront droit aux services d’une travailleuse sociale et psychoéducatrice à temps plein, d’un médecin un jour par semaine, ainsi que de l’équipe volante de différents spécialistes apte à répondre à des retards de développement, problèmes de comportement ou d’adaptation, troubles émotifs et psychosociaux, signes d’hyperactivité et défis scolaires.
«Les enfants que l’on voit, il faut qu’ils soient proches, de préciser Dre Angie Brockman, qui fait partie du projet depuis trois ans et demi. On a été étonné d’apprendre que 20 % des enfants arrivaient en maternelle sans les prérequis. Il faut travailler là-dessus en misant sur la méthode du Dr Julien basée sur l’accessibilité.»
Nécessité comblée
«Les besoins sont énormes, notamment dans le secteur près d’ici qu’on appelle Bousquet et faut y être sensibles en tant qu’élu, de déclarer Saul Polo, député de Laval-des-Rapides, qui reconnaissait que de besoins identiques existent dans Saint-François et Laval-Ouest. Faut valoriser cette approche des points satellites sous un seul chapeau, le Centre de pédiatrie sociale, qui est spécifique à Laval. Ça évite les guerres de clocher.»
L’implantation de ces services dans une école, un second partenariat avec la Commission scolaire de Laval (CSDL), demeurait le scénario idéal.
«Ces locaux sont la formule gagnante dont on nous a fait cadeau après ceux compris dans l’école Saint-Paul, l’an passé, de souligner Mylène Du Bois, en s’adressant à la présidente de la CSDL, Louise Lortie. Avant d’aller plus loin, nous allons d’abord consolider notre équipe et nos trois premiers satellites, entre autres, sur le plan financier.»
Après les gens de Chomedey fréquentant la Place St-Martin et l’école Saint-Paul, ce sera au tour de citoyens de Pont-Viau de profiter de cette approche basée sur le développement global des enfants et adolescents présentant des problèmes de santé et socialisation en milieu défavorisé. Cette pratique a été mise de l’avant et implantée à travers le Québec par le célèbre Dr Julien.
«Nous pensons pouvoir recevoir jusqu’à 200 familles du secteur, d’affirmer Mylène Du Bois, directrice générale du Centre de pédiatrie sociale de Laval. Nous n’offrons pas un épisode de services, mais bien un suivi des enfants, adolescents, parents pour autant d’années que nécessaire.»
Sur place, les familles auront droit aux services d’une travailleuse sociale et psychoéducatrice à temps plein, d’un médecin un jour par semaine, ainsi que de l’équipe volante de différents spécialistes apte à répondre à des retards de développement, problèmes de comportement ou d’adaptation, troubles émotifs et psychosociaux, signes d’hyperactivité et défis scolaires.
«Les enfants que l’on voit, il faut qu’ils soient proches, de préciser Dre Angie Brockman, qui fait partie du projet depuis trois ans et demi. On a été étonné d’apprendre que 20 % des enfants arrivaient en maternelle sans les prérequis. Il faut travailler là-dessus en misant sur la méthode du Dr Julien basée sur l’accessibilité.»
Nécessité comblée
«Les besoins sont énormes, notamment dans le secteur près d’ici qu’on appelle Bousquet et faut y être sensibles en tant qu’élu, de déclarer Saul Polo, député de Laval-des-Rapides, qui reconnaissait que de besoins identiques existent dans Saint-François et Laval-Ouest. Faut valoriser cette approche des points satellites sous un seul chapeau, le Centre de pédiatrie sociale, qui est spécifique à Laval. Ça évite les guerres de clocher.»
L’implantation de ces services dans une école, un second partenariat avec la Commission scolaire de Laval (CSDL), demeurait le scénario idéal.
«Ces locaux sont la formule gagnante dont on nous a fait cadeau après ceux compris dans l’école Saint-Paul, l’an passé, de souligner Mylène Du Bois, en s’adressant à la présidente de la CSDL, Louise Lortie. Avant d’aller plus loin, nous allons d’abord consolider notre équipe et nos trois premiers satellites, entre autres, sur le plan financier.»