«Pour l’ambiance, ç’aurait été vraiment plaisant d’avoir la Grèce et l’Italie, de confier Frank Bitzas, gérant du resto-bar dont les propriétaires sont d’origine italienne, qui se rabattra sur l’Allemagne comme favori, en gardant l’œil sur le Brésil aussi cher à son coeur. Ici, on aime tous les sports, mais la Coupe du Monde, c’est spécial. Des gens se donnent rendez-vous pour encourager leur pays d’origine ou celui de leurs parents.»
Pendant que la petite Karina et ses boucles d’or de presque trois ans déambulait en coup de vent entre les tables sans aucun intérêt pour ce qui se passait sur les quatre écrans de la salle à manger, il en allait tout autrement pour une douzaine d’aficionados du soccer, les yeux rivés sur la rivalité du ballon rond entre l’Espagne, championne du Mondial 2010, et le Portugal, qui a remporté la dernière Coupe d’Europe il y a deux ans.
Dès la quatrième minute, la vedette portugaise Cristiano Ronaldo se faisait faucher à l’entrée de la zone de réparation et obtenait ainsi le pénalty converti qui donnait l’avance 1-0 aux siens, avant d’y aller d’une seconde réussite 40 minutes plus tard.
En réplique, raffermissant une défensive d’abord suspecte, les Espagnols ont répliqué avec deux filets de Costa (24e, 55e) et un troisième par le pied de Nacho, à la 58e, avant que Ronaldo ne couronne un tour du chapeau sur un tir franc à la 87e minute de jeu, soldant l’affrontement par un score nul..
Trio portugais
Pour deux frères lavallois d’origine portugaise, Pedro et Tony Eluerio, le Juliano’s est un endroit porte-bonheur. «Quand le Portugal a gagné la Coupe d’Europe (2016), nous étions ici pour chaque match, a révélé l’aîné de 52 ans, Pedro. Nous ne voulions pas aller ailleurs et briser la séquence.»
Un troisième membre lusitanien, de passage avant de se rendre à l’aéroport pour s’envoler vers l’Europe, apprécie la qualité rassembleuse du Mondial. «Avec mes amis, quand on ne se voit pas pendant des mois, un match est toujours l’occasion de se revoir», a complété Jaime, un résident de Brossard de 23 ans.
Trio international
Pour les amateurs présents au resto-bar, on est là pour l’amour du soccer et pour décompresser d’une longue semaine de travail.
«C’est ça qui arrive quand nos pays ne sont pas représentés, expliquent les trois partisans rencontrés d’origine italienne, grecque et arménienne. On se fout de qui gagne, l’important c’est d’avoir des matchs excitants.»
Le Juliano’s demeure un endroit de prédilection pour regarder du soccer pendant la Coupe du monde. «Ce n’est pas la première fois, ni la dernière fois qu’on viendra pendant le prochain mois.»
«Pour l’ambiance, ç’aurait été vraiment plaisant d’avoir la Grèce et l’Italie, de confier Frank Bitzas, gérant du resto-bar dont les propriétaires sont d’origine italienne, qui se rabattra sur l’Allemagne comme favori, en gardant l’œil sur le Brésil aussi cher à son coeur. Ici, on aime tous les sports, mais la Coupe du Monde, c’est spécial. Des gens se donnent rendez-vous pour encourager leur pays d’origine ou celui de leurs parents.»
Pendant que la petite Karina et ses boucles d’or de presque trois ans déambulait en coup de vent entre les tables sans aucun intérêt pour ce qui se passait sur les quatre écrans de la salle à manger, il en allait tout autrement pour une douzaine d’aficionados du soccer, les yeux rivés sur la rivalité du ballon rond entre l’Espagne, championne du Mondial 2010, et le Portugal, qui a remporté la dernière Coupe d’Europe il y a deux ans.
Dès la quatrième minute, la vedette portugaise Cristiano Ronaldo se faisait faucher à l’entrée de la zone de réparation et obtenait ainsi le pénalty converti qui donnait l’avance 1-0 aux siens, avant d’y aller d’une seconde réussite 40 minutes plus tard.
En réplique, raffermissant une défensive d’abord suspecte, les Espagnols ont répliqué avec deux filets de Costa (24e, 55e) et un troisième par le pied de Nacho, à la 58e, avant que Ronaldo ne couronne un tour du chapeau sur un tir franc à la 87e minute de jeu, soldant l’affrontement par un score nul..
Trio portugais
Pour deux frères lavallois d’origine portugaise, Pedro et Tony Eluerio, le Juliano’s est un endroit porte-bonheur. «Quand le Portugal a gagné la Coupe d’Europe (2016), nous étions ici pour chaque match, a révélé l’aîné de 52 ans, Pedro. Nous ne voulions pas aller ailleurs et briser la séquence.»
Un troisième membre lusitanien, de passage avant de se rendre à l’aéroport pour s’envoler vers l’Europe, apprécie la qualité rassembleuse du Mondial. «Avec mes amis, quand on ne se voit pas pendant des mois, un match est toujours l’occasion de se revoir», a complété Jaime, un résident de Brossard de 23 ans.
Trio international
Pour les amateurs présents au resto-bar, on est là pour l’amour du soccer et pour décompresser d’une longue semaine de travail.
«C’est ça qui arrive quand nos pays ne sont pas représentés, expliquent les trois partisans rencontrés d’origine italienne, grecque et arménienne. On se fout de qui gagne, l’important c’est d’avoir des matchs excitants.»
Le Juliano’s demeure un endroit de prédilection pour regarder du soccer pendant la Coupe du monde. «Ce n’est pas la première fois, ni la dernière fois qu’on viendra pendant le prochain mois.»