« Je suis très content de ces résultats, affirme-t-il. C’est quand même un parti qui n’existait pas il y a un an et demi qui devient l’opposition officielle. Avec près de 21 % des votes. »
Au sein du conseil municipal, c’est Claude Larochelle, avec 47,15 % de voix dans Fabreville, qui le représentera.
« Tout conseil qui se respecte devrait être inclusif pour les bonnes idées des autres partis, mentionne Michel Trottier. Maintenant, pour nous, le vrai travail commence. Nous serons les chiens de garde des Lavallois. »
Il considère tout de même que le grand nombre de candidats – il y avait 7 candidats à la mairie et presque autant par district – a probablement dilué les votes et assuré la victoire de Marc Demers. Rappelons que le maire sortant a été réélu avec 46,24 % des voix, tandis que les six autres candidats ont cumulé 53,76 % des votes.
« Il faut rallier les autres partis, précise le chef de Parti Laval. C’est riche pour une municipalité d’avoir plein de gens qui se présentent, mais il faut que ce soit structuré. »
Défaite pour Gobé
Pour sa part, Jean-Claude Gobé, de la formation Action Laval, a perdu son titre de chef de l’opposition officielle, avec seulement 1 candidat élu et 16,04 % des votes.
Après cette décision des Lavallois, il réagira par voix de communiqué lundi, au courant de la journée.
Au conseil municipal, son parti sera tout de même représenté par Agalia Revelakis. Elle a obtenu 47 % des voix dans Chomedey.
Les autres candidats
Sonia Baudelot, à la tête d’Avenir Laval, a réussi à rafler 15,61 % des votes : un résultat avoisinant ceux de 2013.
Le conseiller sortant Alain Lecompte, le candidat à la mairie connu pour avoir détruit les pancartes électorales de Jean-Claude Gobé, a obtenu 0,69 % des votes.
De leur côté, Hélène Goupil et Nicolas Lemire, deux candidats indépendants, ont respectivement obtenu 0,67 % et 0,34 % des voix.
« Je suis très content de ces résultats, affirme-t-il. C’est quand même un parti qui n’existait pas il y a un an et demi qui devient l’opposition officielle. Avec près de 21 % des votes. »
Au sein du conseil municipal, c’est Claude Larochelle, avec 47,15 % de voix dans Fabreville, qui le représentera.
« Tout conseil qui se respecte devrait être inclusif pour les bonnes idées des autres partis, mentionne Michel Trottier. Maintenant, pour nous, le vrai travail commence. Nous serons les chiens de garde des Lavallois. »
Il considère tout de même que le grand nombre de candidats – il y avait 7 candidats à la mairie et presque autant par district – a probablement dilué les votes et assuré la victoire de Marc Demers. Rappelons que le maire sortant a été réélu avec 46,24 % des voix, tandis que les six autres candidats ont cumulé 53,76 % des votes.
« Il faut rallier les autres partis, précise le chef de Parti Laval. C’est riche pour une municipalité d’avoir plein de gens qui se présentent, mais il faut que ce soit structuré. »
Défaite pour Gobé
Pour sa part, Jean-Claude Gobé, de la formation Action Laval, a perdu son titre de chef de l’opposition officielle, avec seulement 1 candidat élu et 16,04 % des votes.
Après cette décision des Lavallois, il réagira par voix de communiqué lundi, au courant de la journée.
Au conseil municipal, son parti sera tout de même représenté par Agalia Revelakis. Elle a obtenu 47 % des voix dans Chomedey.
Les autres candidats
Sonia Baudelot, à la tête d’Avenir Laval, a réussi à rafler 15,61 % des votes : un résultat avoisinant ceux de 2013.
Le conseiller sortant Alain Lecompte, le candidat à la mairie connu pour avoir détruit les pancartes électorales de Jean-Claude Gobé, a obtenu 0,69 % des votes.
De leur côté, Hélène Goupil et Nicolas Lemire, deux candidats indépendants, ont respectivement obtenu 0,67 % et 0,34 % des voix.