La veille, le Conseil régional de la culture de Laval (CRCL) obtenait enfin la reconnaissance du ministère de la Culture et des Communications, assortie d’une enveloppe de 170 000 $.
«Nous entrons dans une nouvelle ère», a fièrement lancé la présidente du conseil, Sylvie Lessard, devant quelque 200 participants réunis au Collège Letendre samedi matin à l’occasion du Sommet.
Quelques instants plus tôt, le maire Marc Demers, venu ouvrir le Sommet, avait parlé d’«un moment stratégique important et historique pour la culture».
Diagnostic
Seule ombre au tableau de cette journée de réflexion et d’échanges: le report de quelques jours du dévoilement fort attendu du rapport diagnostic dressant sur 250 pages l’état des lieux de la culture à Laval.
Cela dit, les enjeux du développement culturel identifiés dans ce grand «portrait de famille» ont permis de jeter les bases du Sommet duquel découlera un Plan quinquennal de développement stratégique, dont le dépôt est prévu pour 2018.
«La construction de ce plan débute aujourd’hui, a indiqué Marianne Coineau, directrice générale du Conseil, avant que les citoyens, représentants d’organismes, travailleurs culturels, artistes et artisans ne se dirigent vers le premier atelier. Nous nous souhaitons un plan d’action audacieux et ambitieux qui fédère l’ensemble des acteurs culturels et partenaires régionaux autour d’une feuille de route commune.»
Enjeux
Essentiellement, les quatre grands enjeux tournaient autour de la vitalité culturelle lavalloise et la consolidation financière des organisations locales et régionales, la mise à niveau des infrastructures et équipements, l’accroissement de l’engagement financier des gouvernements et le soutien au développement de partenariats avec les milieux municipal, scolaire, économique, sociocommunautaire et touristique, l’amélioration de l’accès à l’offre culturelle pour l’ensemble de la population et, finalement, la promotion et le rayonnement de la culture au-delà des frontières lavalloises.
«Pour développer des alliances et collaborations, encore faut-il se connaître et se reconnaître mutuellement, a rappelé Mme Coineau. Le diagnostic nous aura permis de mesurer notre capacité réelle à travailler en synergie pour l’intérêt collectif et dans le respect de nos mandats respectifs. C’est l’une des plus belles victoires de ce chantier.»
Financement public
En clôture, le maire Demers a fait savoir qu’il poursuivait ses négociations avec le ministère de la Culture et des Communications afin que la troisième grande ville du Québec puisse toucher sa juste part en matière de financement public.
Il demande, entre autres, une mise à niveau des bibliothèques, la construction d’un centre de création artistique professionnelle, un soutien financier pour les centres d’interprétation en culture scientifique de même que le financement du centre d’archives privées de Laval et de la salle Alfred-Pellan de la Maison des arts.
La veille, le Conseil régional de la culture de Laval (CRCL) obtenait enfin la reconnaissance du ministère de la Culture et des Communications, assortie d’une enveloppe de 170 000 $.
«Nous entrons dans une nouvelle ère», a fièrement lancé la présidente du conseil, Sylvie Lessard, devant quelque 200 participants réunis au Collège Letendre samedi matin à l’occasion du Sommet.
Quelques instants plus tôt, le maire Marc Demers, venu ouvrir le Sommet, avait parlé d’«un moment stratégique important et historique pour la culture».
Diagnostic
Seule ombre au tableau de cette journée de réflexion et d’échanges: le report de quelques jours du dévoilement fort attendu du rapport diagnostic dressant sur 250 pages l’état des lieux de la culture à Laval.
Cela dit, les enjeux du développement culturel identifiés dans ce grand «portrait de famille» ont permis de jeter les bases du Sommet duquel découlera un Plan quinquennal de développement stratégique, dont le dépôt est prévu pour 2018.
«La construction de ce plan débute aujourd’hui, a indiqué Marianne Coineau, directrice générale du Conseil, avant que les citoyens, représentants d’organismes, travailleurs culturels, artistes et artisans ne se dirigent vers le premier atelier. Nous nous souhaitons un plan d’action audacieux et ambitieux qui fédère l’ensemble des acteurs culturels et partenaires régionaux autour d’une feuille de route commune.»
Enjeux
Essentiellement, les quatre grands enjeux tournaient autour de la vitalité culturelle lavalloise et la consolidation financière des organisations locales et régionales, la mise à niveau des infrastructures et équipements, l’accroissement de l’engagement financier des gouvernements et le soutien au développement de partenariats avec les milieux municipal, scolaire, économique, sociocommunautaire et touristique, l’amélioration de l’accès à l’offre culturelle pour l’ensemble de la population et, finalement, la promotion et le rayonnement de la culture au-delà des frontières lavalloises.
«Pour développer des alliances et collaborations, encore faut-il se connaître et se reconnaître mutuellement, a rappelé Mme Coineau. Le diagnostic nous aura permis de mesurer notre capacité réelle à travailler en synergie pour l’intérêt collectif et dans le respect de nos mandats respectifs. C’est l’une des plus belles victoires de ce chantier.»
Financement public
En clôture, le maire Demers a fait savoir qu’il poursuivait ses négociations avec le ministère de la Culture et des Communications afin que la troisième grande ville du Québec puisse toucher sa juste part en matière de financement public.
Il demande, entre autres, une mise à niveau des bibliothèques, la construction d’un centre de création artistique professionnelle, un soutien financier pour les centres d’interprétation en culture scientifique de même que le financement du centre d’archives privées de Laval et de la salle Alfred-Pellan de la Maison des arts.