Il a livré un message d’espoir aux 25 élèves de la professeure de français Véronique Gaudet durant cette Semaine qui se déroulait jusqu’au 7 octobre sur le thème de l’alphabétisation, Savoir, c’est pouvoir! Il a raconté son parcours et partagé avec les élèves l’activité prévue: rédiger un texte explicatif en équipe.
Il a aussi valorisé le travail des enseignantes de l’école publique et l’importance de la relation maître-élève dans le parcours des jeunes. «L’école publique ne m’a jamais abandonné», explique-t-il aux adolescents.
Les élèves étaient surpris d’apprendre que seulement 11 % des Québécois sont en mesure de résumer des informations de textes longs, complexes ou de juger de la fiabilité des sources lors de recherches sur le Web. Les causes de l’analphabétisme sont nombreuses: la faible scolarisation des parents, les conditions de vie difficiles, la pauvreté, l’échec et le décrochage scolaire, les troubles d’apprentissage, etc.
Des fleurs aux enseignants
«Philippe affirme aujourd’hui que s’il a réussi, c’est notamment grâce aux enseignants qui l’ont soutenu», précise Marie-Josée Nantel, conseillère aux communications de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE) qui initie cette Semaine pour l’école publique depuis huit ans.
Philippe Laprise a pris le relais de la comédienne et auteure Claire Pimparé, qui agissait à titre de porte-parole depuis la première année de la SPEP en 2009.
Aux yeux de la FAE, Philippe Laprise incarne avec brio le succès que génère l’école publique, une école accessible et qui accueille tous les élèves, peu importe leurs différences.
Dans le cadre de la 7e SPEP, le porte-parole a mis en lumière les succès des classes spécialisées et de l’adaptation scolaire. La FAE l’avait d’ailleurs honoré, lui qui s’est fait diagnostiquer, il y a quelques années, un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) en même temps que l’un de ses enfants.
«Sa conjointe enseigne et ses enfants fréquentent l’école publique comme lui l’a fait. Il croit que la Semaine pour l’école publique devrait être célébrée pas juste durant sept jours, mais à l’année», termine Mme Nantel.
Il a livré un message d’espoir aux 25 élèves de la professeure de français Véronique Gaudet durant cette Semaine qui se déroulait jusqu’au 7 octobre sur le thème de l’alphabétisation, Savoir, c’est pouvoir! Il a raconté son parcours et partagé avec les élèves l’activité prévue: rédiger un texte explicatif en équipe.
Il a aussi valorisé le travail des enseignantes de l’école publique et l’importance de la relation maître-élève dans le parcours des jeunes. «L’école publique ne m’a jamais abandonné», explique-t-il aux adolescents.
Les élèves étaient surpris d’apprendre que seulement 11 % des Québécois sont en mesure de résumer des informations de textes longs, complexes ou de juger de la fiabilité des sources lors de recherches sur le Web. Les causes de l’analphabétisme sont nombreuses: la faible scolarisation des parents, les conditions de vie difficiles, la pauvreté, l’échec et le décrochage scolaire, les troubles d’apprentissage, etc.
Des fleurs aux enseignants
«Philippe affirme aujourd’hui que s’il a réussi, c’est notamment grâce aux enseignants qui l’ont soutenu», précise Marie-Josée Nantel, conseillère aux communications de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE) qui initie cette Semaine pour l’école publique depuis huit ans.
Philippe Laprise a pris le relais de la comédienne et auteure Claire Pimparé, qui agissait à titre de porte-parole depuis la première année de la SPEP en 2009.
Aux yeux de la FAE, Philippe Laprise incarne avec brio le succès que génère l’école publique, une école accessible et qui accueille tous les élèves, peu importe leurs différences.
Dans le cadre de la 7e SPEP, le porte-parole a mis en lumière les succès des classes spécialisées et de l’adaptation scolaire. La FAE l’avait d’ailleurs honoré, lui qui s’est fait diagnostiquer, il y a quelques années, un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) en même temps que l’un de ses enfants.
«Sa conjointe enseigne et ses enfants fréquentent l’école publique comme lui l’a fait. Il croit que la Semaine pour l’école publique devrait être célébrée pas juste durant sept jours, mais à l’année», termine Mme Nantel.