«Nous sommes très fébriles, le décompte est parti! de s’exclamer tout souriant Vincent Lussier, président de l’Amphithéâtre de la Place Bell. C’est comme les rénovations d’une maison, nous en sommes à régler les derniers petits détails. Nous allons être prêts pour accueillir le monde!»
Le 17 août, c’était au Carlo’s et Pepe de recevoir les anciens du Canadien de Montréal Chris Nilan et Yvan Cournoyer, des membres du personnel d’entraîneurs, sans oublier l’exubérante mascotte Cosmo, en compagnie de nombreux amateurs de hockey excités par le venue du club de la Ligue américaine de hockey (LAH) à Laval.
Pour l’occasion, les deux anciens joueurs du CH ont bien voulu partager leurs souvenirs de camp d’entraînement et leur point de vue sur le déménagement du club-école en sol lavallois.
«J’habite Blainville et je risque de venir pas mal souvent voir nos jeunes évoluer, de confier Yvan Cournoyer, l’ancien capitaine gagnant de 10 Coupes Stanley. Le spectacle va être fantastique. Les gens de la Rive-Nord qui évitent Montréal à cause des travaux vont avoir ça juste à côté de chez eux.»
Quand il pose les yeux sur les jeunes espoirs du tricolore, Yvan Cournoyer rend hommage à la famille Molson.
«J’ai passé à travers toutes les générations qui ont détenu le Canadien, ajoute-t-il. Dans ma vie de hockeyeur professionnel, j’ai eu deux équipes: le Canada de 1972, je vous laisse deviner l’autre!»
Signant sans relâche jerseys et autres objets aux couleurs de la Sainte Flanelle, Chris Nilan s’est remémoré son arrivée à Montréal en 1979.
«À mon premier camp, en 1979, je ne connaissais rien du hockey professionnel, de raconter le célèbre dur à cuire. Ç’a été un long apprentissage. J’ai été relégué à Halifax pour 200 $ la partie. Une fois là-bas, je n’avais qu’une idée: retourner à Montréal. Après 49 parties, le Canadien m’a rappelé et je ne suis jamais reparti!»
L’ancien numéro 30 croit que la proximité du club-école pourra jouer positivement ou négativement pour les prospects. «Il risque d’y avoir plus de pression et quelqu’un qui les observe constamment de près, si l’on compare à Terre-Neuve, souligne-t-il. Cependant, cela pourrait s’avérer formateur, les gars ayant rapidement une meilleure idée de ce que ça représente que de jouer pour cette équipe légendaire.»
Paroles de fan
Le prochain 5 à 7 aura lieu le jeudi 24 août au restaurant Les Enfants Terribles, les précédents s’étant déroulés aux Houston et Balthazar.
«C’est important pour nous de venir à la rencontre des gens et répondre à leurs questions, le Rocket étant un beau projet pour Laval», de préciser Vincent Lussier.
Les résidents de Chomedey Angelo Kontogonis et Dennis Konidis ne cachaient pas leur enthousiasme à quelques pas des légendes du hockey Nilan et Cournoyer.
«Ce sera aussi bon pour le Canadien que pour les citoyens, de dire M. Kontogonis. Nous allons pouvoir assister à de tels matchs à seulement cinq minutes de la maison.»
«C’était le temps qu’on obtienne une vraie équipe de hockey à Laval, de continuer M. Konidis. La ville est en plein essor économique et démographique.»
«J’ai déjà mes billets de saison, poursuit Daniel Dubé, de Laval-Ouest. Il y avait bien le hockey junior avec l’Armada, mais ce n’était pas assez. La recherche du hockey de qualité dans une vraie ambiance et le nouvel aréna, ce sera merveilleux.»
Claude Laporte, de Fabreville, possède également ses billets de saison. «L’arrivée du Rocket, c’est tout pour moi, dit-il. C’est extraordinaire de voir cette franchise partir des Maritimes et venir s’installer dans notre belle et grande ville. Avec toute cette effervescence, on devrait pouvoir attirer plus facilement des joueurs de qualité.»
Plus loin, deux amis passionnés autant de baseball que de hockey, se réjouissaient encore de cette nouvelle.
«Comme fan de hockey, c’est un honneur de voir Laval recevoir ce club-école, exprime Félix Crépelle, le préposé à l’équipement des Orioles de Montréal, de la Ligue de baseball junior élite du Québec. C’est une bonne affaire pour tout le monde. Ça va représenter moins de voyagement autant pour le personnel du grand club que les joueurs qui seront rappelés.»
«Ça ajoute un événement de divertissement pour la grande région de Montréal et surtout la Rive-Nord, d’ajouter Stéphane Busque, de Laval-des-Rapides. Personne n’aime trop se déplacer pour assister à une démonstration sportive. On va être loin du trafic du centre-ville!»
«Nous sommes très fébriles, le décompte est parti! de s’exclamer tout souriant Vincent Lussier, président de l’Amphithéâtre de la Place Bell. C’est comme les rénovations d’une maison, nous en sommes à régler les derniers petits détails. Nous allons être prêts pour accueillir le monde!»
Le 17 août, c’était au Carlo’s et Pepe de recevoir les anciens du Canadien de Montréal Chris Nilan et Yvan Cournoyer, des membres du personnel d’entraîneurs, sans oublier l’exubérante mascotte Cosmo, en compagnie de nombreux amateurs de hockey excités par le venue du club de la Ligue américaine de hockey (LAH) à Laval.
Pour l’occasion, les deux anciens joueurs du CH ont bien voulu partager leurs souvenirs de camp d’entraînement et leur point de vue sur le déménagement du club-école en sol lavallois.
«J’habite Blainville et je risque de venir pas mal souvent voir nos jeunes évoluer, de confier Yvan Cournoyer, l’ancien capitaine gagnant de 10 Coupes Stanley. Le spectacle va être fantastique. Les gens de la Rive-Nord qui évitent Montréal à cause des travaux vont avoir ça juste à côté de chez eux.»
Quand il pose les yeux sur les jeunes espoirs du tricolore, Yvan Cournoyer rend hommage à la famille Molson.
«J’ai passé à travers toutes les générations qui ont détenu le Canadien, ajoute-t-il. Dans ma vie de hockeyeur professionnel, j’ai eu deux équipes: le Canada de 1972, je vous laisse deviner l’autre!»
Signant sans relâche jerseys et autres objets aux couleurs de la Sainte Flanelle, Chris Nilan s’est remémoré son arrivée à Montréal en 1979.
«À mon premier camp, en 1979, je ne connaissais rien du hockey professionnel, de raconter le célèbre dur à cuire. Ç’a été un long apprentissage. J’ai été relégué à Halifax pour 200 $ la partie. Une fois là-bas, je n’avais qu’une idée: retourner à Montréal. Après 49 parties, le Canadien m’a rappelé et je ne suis jamais reparti!»
L’ancien numéro 30 croit que la proximité du club-école pourra jouer positivement ou négativement pour les prospects. «Il risque d’y avoir plus de pression et quelqu’un qui les observe constamment de près, si l’on compare à Terre-Neuve, souligne-t-il. Cependant, cela pourrait s’avérer formateur, les gars ayant rapidement une meilleure idée de ce que ça représente que de jouer pour cette équipe légendaire.»
Paroles de fan
Le prochain 5 à 7 aura lieu le jeudi 24 août au restaurant Les Enfants Terribles, les précédents s’étant déroulés aux Houston et Balthazar.
«C’est important pour nous de venir à la rencontre des gens et répondre à leurs questions, le Rocket étant un beau projet pour Laval», de préciser Vincent Lussier.
Les résidents de Chomedey Angelo Kontogonis et Dennis Konidis ne cachaient pas leur enthousiasme à quelques pas des légendes du hockey Nilan et Cournoyer.
«Ce sera aussi bon pour le Canadien que pour les citoyens, de dire M. Kontogonis. Nous allons pouvoir assister à de tels matchs à seulement cinq minutes de la maison.»
«C’était le temps qu’on obtienne une vraie équipe de hockey à Laval, de continuer M. Konidis. La ville est en plein essor économique et démographique.»
«J’ai déjà mes billets de saison, poursuit Daniel Dubé, de Laval-Ouest. Il y avait bien le hockey junior avec l’Armada, mais ce n’était pas assez. La recherche du hockey de qualité dans une vraie ambiance et le nouvel aréna, ce sera merveilleux.»
Claude Laporte, de Fabreville, possède également ses billets de saison. «L’arrivée du Rocket, c’est tout pour moi, dit-il. C’est extraordinaire de voir cette franchise partir des Maritimes et venir s’installer dans notre belle et grande ville. Avec toute cette effervescence, on devrait pouvoir attirer plus facilement des joueurs de qualité.»
Plus loin, deux amis passionnés autant de baseball que de hockey, se réjouissaient encore de cette nouvelle.
«Comme fan de hockey, c’est un honneur de voir Laval recevoir ce club-école, exprime Félix Crépelle, le préposé à l’équipement des Orioles de Montréal, de la Ligue de baseball junior élite du Québec. C’est une bonne affaire pour tout le monde. Ça va représenter moins de voyagement autant pour le personnel du grand club que les joueurs qui seront rappelés.»
«Ça ajoute un événement de divertissement pour la grande région de Montréal et surtout la Rive-Nord, d’ajouter Stéphane Busque, de Laval-des-Rapides. Personne n’aime trop se déplacer pour assister à une démonstration sportive. On va être loin du trafic du centre-ville!»