De passage à Laval le 13 novembre, le ministre a rencontré une douzaine d’entreprises ainsi que des organismes communautaires et socioéconomiques dans le cadre d’une tournée des régions qui culminera le 5 décembre avec la tenue du Forum sur la valorisation de la diversité et la lutte contre la discrimination.
Essentiellement, ce grand rendez-vous permettra d’annoncer des mesures concrètes visant à faciliter l’intégration des immigrants en emploi, indique le ministre qui voit l’immigration comme «une des solutions à ces enjeux de pénurie».
Besoins criants
M. Heurtel évoque la situation de quasi plein-emploi dans plusieurs régions du Québec, alors que les taux de chômage s’élèvent jusqu’à 20 % dans certaines communautés culturelles.
«Il y a des entreprises qui refusent des mandats présentement en raison d’un manque de main-d’œuvre», souligne le ministre tout en évoquant les perspectives selon lesquelles la région de Laval devra pourvoir 40 000 postes d’ici 2019.
De son côté, le député de Laval-des-Rapides et adjoint parlementaire du ministre des Finances, Saul Polo, ne manque pas de rappeler que «plus de 25 % de la population lavalloise est d’origine immigrante».
Le fait d’engager ces travailleurs qualifiés, diplômés et disponibles à l’emploi assure non seulement la pérennité et le développement des entreprises, mais contribue également «à maintenir une cohésion sociale», notamment dans les secteurs à forte concentration d’immigrants comme Laval-des-Rapides, Pont-Viau et Chomedey, soutient M. Polo.
«David [Heurtel] est venu écouter les problèmes et besoins des employeurs, mais surtout les solutions qu’ils ont à proposer», poursuit-il.
À cet égard, le principal intéressé reconnaît que les pistes de solution à dégager doivent «venir de la base», d’autant qu’il entend adapter les moyens selon les particularités propres à chacune des régions.
En étroite collaboration avec Emploi Québec, le ministère de l’Immigration verra à coordonner le travail des différents acteurs sur le terrain, accompagner les organismes régionaux, tels le Centre lavallois pour l’intégration et la cohésion sociale (CLICS) et Perspective Carrière, et développer des projets pilotes, termine David Heurtel.
À ce chapitre, la Chambre de commerce et d’industrie de Laval pourrait se voir confier très prochainement un programme d’aide à l’intégration des immigrants et minorités visibles en emploi en vertu duquel des employeurs seraient admissibles à un financement salarial de 30 semaines.
De passage à Laval le 13 novembre, le ministre a rencontré une douzaine d’entreprises ainsi que des organismes communautaires et socioéconomiques dans le cadre d’une tournée des régions qui culminera le 5 décembre avec la tenue du Forum sur la valorisation de la diversité et la lutte contre la discrimination.
Essentiellement, ce grand rendez-vous permettra d’annoncer des mesures concrètes visant à faciliter l’intégration des immigrants en emploi, indique le ministre qui voit l’immigration comme «une des solutions à ces enjeux de pénurie».
Besoins criants
M. Heurtel évoque la situation de quasi plein-emploi dans plusieurs régions du Québec, alors que les taux de chômage s’élèvent jusqu’à 20 % dans certaines communautés culturelles.
«Il y a des entreprises qui refusent des mandats présentement en raison d’un manque de main-d’œuvre», souligne le ministre tout en évoquant les perspectives selon lesquelles la région de Laval devra pourvoir 40 000 postes d’ici 2019.
De son côté, le député de Laval-des-Rapides et adjoint parlementaire du ministre des Finances, Saul Polo, ne manque pas de rappeler que «plus de 25 % de la population lavalloise est d’origine immigrante».
Le fait d’engager ces travailleurs qualifiés, diplômés et disponibles à l’emploi assure non seulement la pérennité et le développement des entreprises, mais contribue également «à maintenir une cohésion sociale», notamment dans les secteurs à forte concentration d’immigrants comme Laval-des-Rapides, Pont-Viau et Chomedey, soutient M. Polo.
«David [Heurtel] est venu écouter les problèmes et besoins des employeurs, mais surtout les solutions qu’ils ont à proposer», poursuit-il.
À cet égard, le principal intéressé reconnaît que les pistes de solution à dégager doivent «venir de la base», d’autant qu’il entend adapter les moyens selon les particularités propres à chacune des régions.
En étroite collaboration avec Emploi Québec, le ministère de l’Immigration verra à coordonner le travail des différents acteurs sur le terrain, accompagner les organismes régionaux, tels le Centre lavallois pour l’intégration et la cohésion sociale (CLICS) et Perspective Carrière, et développer des projets pilotes, termine David Heurtel.
À ce chapitre, la Chambre de commerce et d’industrie de Laval pourrait se voir confier très prochainement un programme d’aide à l’intégration des immigrants et minorités visibles en emploi en vertu duquel des employeurs seraient admissibles à un financement salarial de 30 semaines.