Pendant que 150 cols bleus manifestaient à l’extérieur, Jean-Claude Gobé, d’Action Laval, Sonia Baudelot, d’Avenir Laval, Marc Demers, du Mouvement lavallois, Michel Trottier, de Parti Laval, ainsi qu’Alain Lecompte, de l’Alliance des conseillers autonomes, ont d’abord exposé leur plateforme électorale en ouverture de cette soirée gratuite et ouverte au public.
«À chaque quatre ans, nous voulons permettre aux gens d’entendre en direct ce que les candidats ont à dire sur les problématiques touchant directement les populations vulnérables et groupes communautaires au quotidien», d’affirmer Marc Longchamps, directeur général de la CDCL.
Trois enjeux majeurs
La grande salle du Centre Saint-Joseph faisait salle comble avec tout près de 150 personnes présentes. Les politiciens se sont d’abord exprimés sur la lutte à la pauvreté et à l’exclusion sociale.
Un consensus a semblé ressortir fortement sur la nécessité de favoriser des mesures d’employabilité . Le maintien de la réserve foncière dégagée de la politique du logement a semblé rassuré l’assemblée qui voit là l’opportunité d’enfin garnir le territoire lavallois de logements sociaux suffisants.
Après avoir parlé de participation citoyenne, certains s’engageant à maintenir le droit au référendum, d’autres voulant plutôt miser sur des instances de consultation, donc sans poids statutaire ou décisionnel, le quintette d’aspirants maires a abordé soutien à l’action communautaire autonome. Tous se sont prononcés en faveur d’un travail en étroite collaboration avec les organismes du milieu.
Par la suite, une quinzaine de citoyens ont posé leur question, la préoccupation de l’environnement, nécessité d’interprètes pour personnes non voyantes ou malentendantes lors de catastrophes, tarification réduite pour les personnes peu scolarisées ou ayant un handicap intellectuel, l’hébergement et les pistes cyclables arrivant en tête de liste de leurs préoccupations.
Pendant que 150 cols bleus manifestaient à l’extérieur, Jean-Claude Gobé, d’Action Laval, Sonia Baudelot, d’Avenir Laval, Marc Demers, du Mouvement lavallois, Michel Trottier, de Parti Laval, ainsi qu’Alain Lecompte, de l’Alliance des conseillers autonomes, ont d’abord exposé leur plateforme électorale en ouverture de cette soirée gratuite et ouverte au public.
«À chaque quatre ans, nous voulons permettre aux gens d’entendre en direct ce que les candidats ont à dire sur les problématiques touchant directement les populations vulnérables et groupes communautaires au quotidien», d’affirmer Marc Longchamps, directeur général de la CDCL.
Trois enjeux majeurs
La grande salle du Centre Saint-Joseph faisait salle comble avec tout près de 150 personnes présentes. Les politiciens se sont d’abord exprimés sur la lutte à la pauvreté et à l’exclusion sociale.
Un consensus a semblé ressortir fortement sur la nécessité de favoriser des mesures d’employabilité . Le maintien de la réserve foncière dégagée de la politique du logement a semblé rassuré l’assemblée qui voit là l’opportunité d’enfin garnir le territoire lavallois de logements sociaux suffisants.
Après avoir parlé de participation citoyenne, certains s’engageant à maintenir le droit au référendum, d’autres voulant plutôt miser sur des instances de consultation, donc sans poids statutaire ou décisionnel, le quintette d’aspirants maires a abordé soutien à l’action communautaire autonome. Tous se sont prononcés en faveur d’un travail en étroite collaboration avec les organismes du milieu.
Par la suite, une quinzaine de citoyens ont posé leur question, la préoccupation de l’environnement, nécessité d’interprètes pour personnes non voyantes ou malentendantes lors de catastrophes, tarification réduite pour les personnes peu scolarisées ou ayant un handicap intellectuel, l’hébergement et les pistes cyclables arrivant en tête de liste de leurs préoccupations.