Le Complexe aquatique, dont la construction est prévue pour le mois d’août, devrait accueillir à l’été 2020 les Jeux du Québec. Laval devra attendre quelques mois avant d’obtenir la réponse.
«On s’attend à recevoir un montant d’argent de la part de Québec et Ottawa, indiquent les conseillers municipaux David De Cotis et Nicholas Borne. Les gouvernements ont remis des subventions pour la Place Bell, mais aussi pour les prochains Jeux cet été à Thetford Mines. On s’attend aux mêmes démarches.»
Une demande officielle est actuellement en préparation et sera acheminée sous peu. Il s’agira d’un montage financier dans le cadre du Fonds Chantier Canada.
Les deux politiciens sont d’avis que le contexte est favorable. Il faut rappeler que les élections provinciales approchent aussi à grands pas. Ils aimeraient bien avoir une réponse avant le scrutin du 1er octobre.
Et si les gouvernements devaient faire la sourde oreille? «Nous avons l’argent pour ce projet de 60 M$, assure David De Cotis, responsable des sports à Laval. Le chantier débutera sous peu. On ne dépassera pas le budget, il n’y a pas d’inquiétude.»
Trois phases
La phase 1 a été complétée récemment par l’entrepreneur Bernard Sauvé excavation inc.. Par ailleurs, Christine Hudon, chargée de projet pour le consortium NFOE-HCMA, a indiqué que la phase 2, qui comprend certains travaux de fondation, d’excavation et de préparation du terrain, s’amorcera sous peu. Les travaux seront effectués par Coffrages Synergy inc. au cours de l’été.
Les soumissions pour la construction (enveloppe du bâtiment, bassins, stationnement souterrain et aménagement paysager) seront lancées pour la troisième et dernière phase d’ici quelques jours. «Nous croyons pouvoir atteindre notre échéancier et livrer le Complexe aquatique en 2020, précise Mme Hudon. Nous n’avons pas pris beaucoup de répit depuis le début. On travaille intensément.»
Toujours selon Mme Hudon, le Complexe aquatique sera unique. «Il aura ses propres caractéristiques, sa propre personnalité et son traitement architectural. J’ai bien hâte de voir le produit fini.»
Mme Hudon croit que son équipe a gagné des points auprès du jury grâce notamment à l’intégration harmonieuse avec le boisé. «Notre projet respecte le boisé voisin, poursuit Mme Hudon. Le Complexe se retrouve dedans. Nous avons opté pour une forme emblématique, circulaire. Il s’intègre avec son voisin, le Cosmodôme. Ce bâtiment atteindra les plus hauts standards énergétiques.»
Mme Hudon a également vanté le bassin récréatif. «Dès qu’on entre dans le bâtiment, on est tout de suite mis en contact avec le bassin récréatif, mentionne-t-elle fièrement. Ce sera un endroit exceptionnel pour les Lavallois. Il y a un grand mur vitré qui donne immédiatement sur le hall d’entrée.»
Pour la communauté
«Ces deux nouvelles infrastructures sportives serviront pour les athlètes aux Jeux du Québec, mais aussi pour les athlètes en devenir. La population aussi pourra en bénéficier que ce soit pour la baignade ou pour la course», termine Nicholas Borne, conseiller de Laval-les-Îles.
Le Complexe aquatique, dont la construction est prévue pour le mois d’août, devrait accueillir à l’été 2020 les Jeux du Québec. Laval devra attendre quelques mois avant d’obtenir la réponse.
«On s’attend à recevoir un montant d’argent de la part de Québec et Ottawa, indiquent les conseillers municipaux David De Cotis et Nicholas Borne. Les gouvernements ont remis des subventions pour la Place Bell, mais aussi pour les prochains Jeux cet été à Thetford Mines. On s’attend aux mêmes démarches.»
Une demande officielle est actuellement en préparation et sera acheminée sous peu. Il s’agira d’un montage financier dans le cadre du Fonds Chantier Canada.
Les deux politiciens sont d’avis que le contexte est favorable. Il faut rappeler que les élections provinciales approchent aussi à grands pas. Ils aimeraient bien avoir une réponse avant le scrutin du 1er octobre.
Et si les gouvernements devaient faire la sourde oreille? «Nous avons l’argent pour ce projet de 60 M$, assure David De Cotis, responsable des sports à Laval. Le chantier débutera sous peu. On ne dépassera pas le budget, il n’y a pas d’inquiétude.»
Trois phases
La phase 1 a été complétée récemment par l’entrepreneur Bernard Sauvé excavation inc.. Par ailleurs, Christine Hudon, chargée de projet pour le consortium NFOE-HCMA, a indiqué que la phase 2, qui comprend certains travaux de fondation, d’excavation et de préparation du terrain, s’amorcera sous peu. Les travaux seront effectués par Coffrages Synergy inc. au cours de l’été.
Les soumissions pour la construction (enveloppe du bâtiment, bassins, stationnement souterrain et aménagement paysager) seront lancées pour la troisième et dernière phase d’ici quelques jours. «Nous croyons pouvoir atteindre notre échéancier et livrer le Complexe aquatique en 2020, précise Mme Hudon. Nous n’avons pas pris beaucoup de répit depuis le début. On travaille intensément.»
Toujours selon Mme Hudon, le Complexe aquatique sera unique. «Il aura ses propres caractéristiques, sa propre personnalité et son traitement architectural. J’ai bien hâte de voir le produit fini.»
Mme Hudon croit que son équipe a gagné des points auprès du jury grâce notamment à l’intégration harmonieuse avec le boisé. «Notre projet respecte le boisé voisin, poursuit Mme Hudon. Le Complexe se retrouve dedans. Nous avons opté pour une forme emblématique, circulaire. Il s’intègre avec son voisin, le Cosmodôme. Ce bâtiment atteindra les plus hauts standards énergétiques.»
Mme Hudon a également vanté le bassin récréatif. «Dès qu’on entre dans le bâtiment, on est tout de suite mis en contact avec le bassin récréatif, mentionne-t-elle fièrement. Ce sera un endroit exceptionnel pour les Lavallois. Il y a un grand mur vitré qui donne immédiatement sur le hall d’entrée.»
Pour la communauté
«Ces deux nouvelles infrastructures sportives serviront pour les athlètes aux Jeux du Québec, mais aussi pour les athlètes en devenir. La population aussi pourra en bénéficier que ce soit pour la baignade ou pour la course», termine Nicholas Borne, conseiller de Laval-les-Îles.