«Ce sera un lieu d’échange d’idées pour réfléchir sur des enjeux et collaborer pour initier des projets, explique Louise Hodder, directrice générale du Pôle régional d’économie sociale de Laval (le PRESL). Le Laboratoire permettra d’accroître de manière significative la création, consolidation et l’expansion des entreprises collectives et sociales ainsi que les initiatives citoyennes, le tout à travers une démarche portée vers la collaboration entre acteurs, la cocréation et le design thinking.»
Une richesse
Jean-Martin Aussant admet que le lancement du Laboratoire est une excellente initiative, tout en précisant que des expériences similaires se font dans les régions de Lanaudière et l’Outaouais. Ce genre de projet est primordial à Laval, pour que le Québec demeure un leader dans le monde en économie sociale, croit-il.
«Laval est très bien équipée pour devenir un leader en économie sociale, affirme-t-il sans détour. Le Pôle régional a un conseil d’administration très riche ancré dans sa collectivité dans des domaines variés.»
Engagements des politiciens
Sonia Baudelot (Avenir Laval), Marc Demers (Mouvement lavallois), Michel Trottier (Parti Laval), Jean-Claude Gobé (Action Laval), Alain Lecompte et Cynthia Leblanc (Alliance des conseillers autonomes) se sont prononcés sur la place de l’économie sociale dans le développement économique de la municipalité, dévoilant quelques engagements.
Mme Baudelot a parlé de mettre en ligne sur le site Internet de la Ville: un réseau où les gens pourront s’informer en économie sociale, tandis que M. Gobé veut devenir un partenaire de l’économie sociale.
«Nous avons beaucoup fait pour l’économie sociale et poursuivrons dans cette orientation, mentionne le maire sortant Marc Demers. Nous avons le devoir d’accompagner le Pôle régional.»
Alain Lecompte et Cynthia Leblanc croient que les conseillers municipaux sont la première porte d’entrée pour les bonnes idées et l’économie sociale.
S’il est élu, Michel Trottier s’engage à une collaboration entière de la Ville à l’innovation et économie sociale en investissant et modulant les services. «Je vous offre des postures et non pas des promesses.»
Pour sa part, la directrice générale du Pôle, Louise Hodder, affirme que les politiciens doivent faire la différence entre l’économie sociale et le communautaire. «L’économie sociale a des biens et services à vendre et a une autonomie financière. Nous avons besoin d’eux», précise-t-elle.
CSDL un partenaire
Par ailleurs, le Pôle régional d’économie sociale de Laval a souligné la mise sur pied d’une formation en entrepreneuriat collectif, en partenariat avec la Commission scolaire de Laval (CSDL).
«Offert par Formation Korpus, ce programme vise à outiller les entrepreneurs collectifs actuels et futurs, afin qu’ils soient aptes à relever les défis propres à l’entrepreneuriat collectif et ainsi assurer le succès de leur entreprise», termine Louise Hodder.
«Ce sera un lieu d’échange d’idées pour réfléchir sur des enjeux et collaborer pour initier des projets, explique Louise Hodder, directrice générale du Pôle régional d’économie sociale de Laval (le PRESL). Le Laboratoire permettra d’accroître de manière significative la création, consolidation et l’expansion des entreprises collectives et sociales ainsi que les initiatives citoyennes, le tout à travers une démarche portée vers la collaboration entre acteurs, la cocréation et le design thinking.»
Une richesse
Jean-Martin Aussant admet que le lancement du Laboratoire est une excellente initiative, tout en précisant que des expériences similaires se font dans les régions de Lanaudière et l’Outaouais. Ce genre de projet est primordial à Laval, pour que le Québec demeure un leader dans le monde en économie sociale, croit-il.
«Laval est très bien équipée pour devenir un leader en économie sociale, affirme-t-il sans détour. Le Pôle régional a un conseil d’administration très riche ancré dans sa collectivité dans des domaines variés.»
Engagements des politiciens
Sonia Baudelot (Avenir Laval), Marc Demers (Mouvement lavallois), Michel Trottier (Parti Laval), Jean-Claude Gobé (Action Laval), Alain Lecompte et Cynthia Leblanc (Alliance des conseillers autonomes) se sont prononcés sur la place de l’économie sociale dans le développement économique de la municipalité, dévoilant quelques engagements.
Mme Baudelot a parlé de mettre en ligne sur le site Internet de la Ville: un réseau où les gens pourront s’informer en économie sociale, tandis que M. Gobé veut devenir un partenaire de l’économie sociale.
«Nous avons beaucoup fait pour l’économie sociale et poursuivrons dans cette orientation, mentionne le maire sortant Marc Demers. Nous avons le devoir d’accompagner le Pôle régional.»
Alain Lecompte et Cynthia Leblanc croient que les conseillers municipaux sont la première porte d’entrée pour les bonnes idées et l’économie sociale.
S’il est élu, Michel Trottier s’engage à une collaboration entière de la Ville à l’innovation et économie sociale en investissant et modulant les services. «Je vous offre des postures et non pas des promesses.»
Pour sa part, la directrice générale du Pôle, Louise Hodder, affirme que les politiciens doivent faire la différence entre l’économie sociale et le communautaire. «L’économie sociale a des biens et services à vendre et a une autonomie financière. Nous avons besoin d’eux», précise-t-elle.
CSDL un partenaire
Par ailleurs, le Pôle régional d’économie sociale de Laval a souligné la mise sur pied d’une formation en entrepreneuriat collectif, en partenariat avec la Commission scolaire de Laval (CSDL).
«Offert par Formation Korpus, ce programme vise à outiller les entrepreneurs collectifs actuels et futurs, afin qu’ils soient aptes à relever les défis propres à l’entrepreneuriat collectif et ainsi assurer le succès de leur entreprise», termine Louise Hodder.