La procédure d’enregistrement s’adressait à quelque 1800 résidents du quartier situé au sud du boulevard de la Concorde et copropriétaires des tours d’habitation Urbania qui bordent les rues Émile-Martineau et Lucien-Paiement dans le quadrilatère Montmorency-Concorde.
À cinq jours du Réveillon
Parmi les instigateurs de cette mobilisation citoyenne, l’ex-élu de Laval-des-Rapides, Pierre Anthian, était particulièrement fier non seulement de l’atteinte, mais également du dépassement par plus de 30 voix le seuil des 190 signatures requises en cette journée de pluie verglaçante.
«Cinq jours avant Noël, avec seulement six jours de préavis, cela révèle à quel point les citoyens étaient déterminés à voir leur sort s’améliorer dans un secteur résidentiel qui part à la dérive en raison de la trop forte proximité du centre-ville», a-t-il réagi le 20 décembre, non sans souligner les difficiles conditions météorologiques de la veille.
S’il n’avait pas été ainsi bloqué, le projet de règlement L-2001-3736 aurait exigé 1850 cases de stationnement pour desservir Espace Montmorency, soit quelque centaines de cases de moins que ce qu’exigerait le règlement actuel.
Craintes et demandes
Les résidents des rues voisines, qui se plaignent d’être envahis par les clients de la Place Bell en quête de stationnement, craignent que la situation ne s’envenime le jour où la tour à bureaux de 16 étages, l’hôtel de 300 chambres, le spa, les boutiques, restaurants, cafés et autres commerces ouvriront.
Précisons qu’Espace Montmorency, qui culminera à 20 étages, abritera une dizaine d’immeubles qui offriront 1,4 million de pieds carrés d’aire louable où sont appelées à travailler pas moins de 3500 personnes.
«Nos demandes sont simples, mesurables, réalistes et justifiées: 100 % du stationnement sur rue dédié aux résidents d’Urbania et à ceux vivant au sud de la Concorde, avec des vignettes amovibles pour la visite», termine M. Anthian.
La procédure d’enregistrement s’adressait à quelque 1800 résidents du quartier situé au sud du boulevard de la Concorde et copropriétaires des tours d’habitation Urbania qui bordent les rues Émile-Martineau et Lucien-Paiement dans le quadrilatère Montmorency-Concorde.
À cinq jours du Réveillon
Parmi les instigateurs de cette mobilisation citoyenne, l’ex-élu de Laval-des-Rapides, Pierre Anthian, était particulièrement fier non seulement de l’atteinte, mais également du dépassement par plus de 30 voix le seuil des 190 signatures requises en cette journée de pluie verglaçante.
«Cinq jours avant Noël, avec seulement six jours de préavis, cela révèle à quel point les citoyens étaient déterminés à voir leur sort s’améliorer dans un secteur résidentiel qui part à la dérive en raison de la trop forte proximité du centre-ville», a-t-il réagi le 20 décembre, non sans souligner les difficiles conditions météorologiques de la veille.
S’il n’avait pas été ainsi bloqué, le projet de règlement L-2001-3736 aurait exigé 1850 cases de stationnement pour desservir Espace Montmorency, soit quelque centaines de cases de moins que ce qu’exigerait le règlement actuel.
Craintes et demandes
Les résidents des rues voisines, qui se plaignent d’être envahis par les clients de la Place Bell en quête de stationnement, craignent que la situation ne s’envenime le jour où la tour à bureaux de 16 étages, l’hôtel de 300 chambres, le spa, les boutiques, restaurants, cafés et autres commerces ouvriront.
Précisons qu’Espace Montmorency, qui culminera à 20 étages, abritera une dizaine d’immeubles qui offriront 1,4 million de pieds carrés d’aire louable où sont appelées à travailler pas moins de 3500 personnes.
«Nos demandes sont simples, mesurables, réalistes et justifiées: 100 % du stationnement sur rue dédié aux résidents d’Urbania et à ceux vivant au sud de la Concorde, avec des vignettes amovibles pour la visite», termine M. Anthian.