Cette instance, qui réunit une trentaine de partenaires provenant de milieux gouvernementaux, institutionnels et agroalimentaires, se décline en six comités consultatifs chargés de veiller à la gestion du territoire, à la commercialisation et la transformation des produits de la ferme de même qu’aux secteurs alimentaire manufacturier, de l’horticulture ornementale, de la réduction du gaspillage et de la valorisation.
Nomination
Lors d’un récent point de presse annonçant cette refonte, le directeur général adjoint au développement économique à la Ville, Marc Tremblay, a présenté le nouveau commissaire de l’Agropôle, Stéphane Lalande.
«Issu d’une famille d’entrepreneurs agricoles, Stéphane a une vaste expérience en développement économique, dont 15 ans comme directeur d’un CLD», a-t-il mentionné.
Succédant à Nancy Guay, qui a quitté l’organisation l’été dernier, M. Lalande se voit, entre autres, confier la coordination des travaux de la grande Table.
De la terre à la table
Directeur régional du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) et directeur territorial pour la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), Jacques Beaupré a parlé de cette initiative locale comme «le fruit d’une réflexion qui nous mène de la terre à la table».
«Producteurs, transformateurs, distributeurs, détaillants et consommateurs, tous les acteurs du système alimentaire y sont réunis pour réaliser un véritable plan de développement de la zone agricole avec une vision à long terme».
Un leader syndical plus heureux
Le président du Syndicat local de l’Union des producteurs agricoles (UPA) Laval, Gilles Lacroix, était particulièrement heureux, d’autant que «la Table de concertation était menacée de disparaître», a-t-il dit, avant d’ajouter qu’«avec nos efforts, on a réussi à convaincre le ministère de l’Agriculture de sa pertinence».
Le leader syndical, qui en début d’année avait fait une virulente sortie au conseil municipal en dénonçant la lenteur de l’administration Demers à mettre en place le PDZA, était visiblement revenu à de meilleurs sentiments.
Il a notamment indiqué que «lorsqu’on est capables de parler avec nos élus et nos partenaires, on arrive à de grandes choses».
En poste depuis 30 ans, M. Lacroix a fait valoir le dynamisme de cette industrie qui occupe près de 30 % du territoire de l’île Jésus.
Une affirmation que le maire Marc Demers a étayée de quelques chiffres, dont les 1400 emplois et 60 M$ que génèrent les 120 exploitations agricoles.
Cette instance, qui réunit une trentaine de partenaires provenant de milieux gouvernementaux, institutionnels et agroalimentaires, se décline en six comités consultatifs chargés de veiller à la gestion du territoire, à la commercialisation et la transformation des produits de la ferme de même qu’aux secteurs alimentaire manufacturier, de l’horticulture ornementale, de la réduction du gaspillage et de la valorisation.
Nomination
Lors d’un récent point de presse annonçant cette refonte, le directeur général adjoint au développement économique à la Ville, Marc Tremblay, a présenté le nouveau commissaire de l’Agropôle, Stéphane Lalande.
«Issu d’une famille d’entrepreneurs agricoles, Stéphane a une vaste expérience en développement économique, dont 15 ans comme directeur d’un CLD», a-t-il mentionné.
Succédant à Nancy Guay, qui a quitté l’organisation l’été dernier, M. Lalande se voit, entre autres, confier la coordination des travaux de la grande Table.
De la terre à la table
Directeur régional du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) et directeur territorial pour la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), Jacques Beaupré a parlé de cette initiative locale comme «le fruit d’une réflexion qui nous mène de la terre à la table».
«Producteurs, transformateurs, distributeurs, détaillants et consommateurs, tous les acteurs du système alimentaire y sont réunis pour réaliser un véritable plan de développement de la zone agricole avec une vision à long terme».
Un leader syndical plus heureux
Le président du Syndicat local de l’Union des producteurs agricoles (UPA) Laval, Gilles Lacroix, était particulièrement heureux, d’autant que «la Table de concertation était menacée de disparaître», a-t-il dit, avant d’ajouter qu’«avec nos efforts, on a réussi à convaincre le ministère de l’Agriculture de sa pertinence».
Le leader syndical, qui en début d’année avait fait une virulente sortie au conseil municipal en dénonçant la lenteur de l’administration Demers à mettre en place le PDZA, était visiblement revenu à de meilleurs sentiments.
Il a notamment indiqué que «lorsqu’on est capables de parler avec nos élus et nos partenaires, on arrive à de grandes choses».
En poste depuis 30 ans, M. Lacroix a fait valoir le dynamisme de cette industrie qui occupe près de 30 % du territoire de l’île Jésus.
Une affirmation que le maire Marc Demers a étayée de quelques chiffres, dont les 1400 emplois et 60 M$ que génèrent les 120 exploitations agricoles.