Wow! Ce mot était sur toutes les lèvres et plusieurs personnes arboraient un large sourire comme le maire, qui avait peine à retenir sa joie. Les invités ont eu droit à un tour guidé de ce complexe multifonctionnel de 200 M$. Le premier arrêt a eu lieu à la patinoire communautaire olympique comptant 2500 sièges. «Les sièges sont très confortables, souligne le maire. Ce sont les mêmes à la grande patinoire du Rocket. Il n’y aura pas de jaloux.»
Par la suite, la visite s’est transportée au domicile du Rocket de Laval qui compte 10 000 sièges. Outre le hockey, de nombreux spectacles y seront présentés. Le maire Demers avait réservé une surprise à ses hôtes en présentant sur l’écran géant un message de promotion du nouvel amphithéâtre. «C’est un échantillon de ce que l’on pourra voir à la Place Bell», souligne-t-il les yeux brillants.
Lors de la conférence de presse, les invités ont pu également voir la deuxième glace communautaire qui sera réservée au hockey et à la ringuette.
Meilleures installations de la LAH
Enfin, il y avait la visite du vestiaire du Rocket de Laval, où les infrastructures sont de calibre de la Ligue nationale de hockey (LNH). Chandails, gants et casques ornaient le vestiaire. Il n’y manquait que les noms et numéros derrière les chandails. «Certaines équipes de la Ligue américaine seront jaloux de notre vestiaire», souligne Vincent Lucier, président du Rocket.
Centre-ville
«Avec la Place Bell, Laval pose un jalon important au cœur de son centre-ville, insiste Marc Demers. Elle a été construite selon les règles de l’art et constitue un moteur important du développement économique du secteur. Plus encore, la Place Bell répond aux besoins exprimés par les associations sportives, qui attendaient depuis longtemps des équipements de ce niveau.»
Respect du budget et de l’échéancier
Le maire s’est dit satisfait d’avoir respecté le budget et l’échéancier de ce projet grâce au travail du trio composé de Pomerleau, evenko et la Ville. Rappelons que la Place Bell, dont la construction a débuté en novembre 2014, a été réalisée en un peu moins de trois ans et le bâtiment a été livré en avance sur l’échéancier. Le maire est fier de souligner que les coûts de construction ont été inférieurs à l’enveloppe budgétaire de 200 M$. De ce montant, plus de 46,3 M$ proviennent du Programme d’infrastructures Québec-Municipalités administré par le ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire.
«La Place Bell sera un lieu de rencontre unique où convergeront le sport et la culture», souhaite Marc Demers.
Pour sa part, la ministre Francine Charbonneau croit que la Place Bell deviendra un lieu phare pour la collectivité de la banlieue nord et de la région métropolitaine et aura des retombées concrètes sur le développement sportif, culturel et économique de Laval.
«La construction de la Place Bell et l’arrivée du Rocket constituent pour notre organisation une importante réalisation tant sur le plan sportif que culturel, ajoute Geoff Molson. Notre objectif est de donner à Laval une équipe de hockey compétitive, des spectacles et des événements diversifiés sous la direction d’evenko, tout en jouant un rôle de premier plan au sein de la communauté.»
Œuvres d’art
La Place Bell exhibe deux œuvres d’art. Telle une haie d’honneur, l’installation Faire la vague, de Michel Goulet, accueille les visiteurs sur le parterre extérieur. L’œuvre est constituée de 14 mâts, lesquels font référence aux 14 ex-municipalités de Laval. Dans le hall, la sculpture La voie des souffles, de l’artiste Louise Viger, fera quant à elle scintiller ses formes et ses couleurs symboliques: l’or, l’argent et le bronze.
Hommage à Henri Richard
Une œuvre d’art sera érigée sur les murs de l’entrée principale de la Place Bell au printemps prochain afin de rendre hommage à l’ancien numéro 16 du Canadien de Montréal, Henri Richard. Ce dernier réside depuis plusieurs décennies à Laval et a marqué l’histoire du Tricolore avec son record de 11 conquêtes de la coupe Stanley. L’œuvre sera réalisée par le biais d’un concours ouvert à tous les artistes québécois.
Bien entouré
Le maire était entouré par le président du conseil d’administration de la Cité de la culture et du sport de Laval, Marcel Alexander, le président et chef de la direction, Club de hockey Canadien, Geoff Molson, le vice-président, relations avec l’industrie, de Bell, Pierre Rodrigue, ainsi que de la ministre de la région de Laval, Francine Charbonneau. Donald Audette, ancien joueur de hockey professionnel, et Jacob Chicoine, jeune porte-couleurs les Patriotes de Laval étaient présents pour souligner l’importance de ce nouveau complexe pour les athlètes de demain.
Autres textes à lire: Un amphithéâtre digne de la ligue nationale de hockey.
Donald Audette aurait aimé bénéficier des installations de la Place Bell.
Jacques Aubé entend maximiser l’utilisation de la Place Bell.
Wow! Ce mot était sur toutes les lèvres et plusieurs personnes arboraient un large sourire comme le maire, qui avait peine à retenir sa joie. Les invités ont eu droit à un tour guidé de ce complexe multifonctionnel de 200 M$. Le premier arrêt a eu lieu à la patinoire communautaire olympique comptant 2500 sièges. «Les sièges sont très confortables, souligne le maire. Ce sont les mêmes à la grande patinoire du Rocket. Il n’y aura pas de jaloux.»
Par la suite, la visite s’est transportée au domicile du Rocket de Laval qui compte 10 000 sièges. Outre le hockey, de nombreux spectacles y seront présentés. Le maire Demers avait réservé une surprise à ses hôtes en présentant sur l’écran géant un message de promotion du nouvel amphithéâtre. «C’est un échantillon de ce que l’on pourra voir à la Place Bell», souligne-t-il les yeux brillants.
Lors de la conférence de presse, les invités ont pu également voir la deuxième glace communautaire qui sera réservée au hockey et à la ringuette.
Meilleures installations de la LAH
Enfin, il y avait la visite du vestiaire du Rocket de Laval, où les infrastructures sont de calibre de la Ligue nationale de hockey (LNH). Chandails, gants et casques ornaient le vestiaire. Il n’y manquait que les noms et numéros derrière les chandails. «Certaines équipes de la Ligue américaine seront jaloux de notre vestiaire», souligne Vincent Lucier, président du Rocket.
Centre-ville
«Avec la Place Bell, Laval pose un jalon important au cœur de son centre-ville, insiste Marc Demers. Elle a été construite selon les règles de l’art et constitue un moteur important du développement économique du secteur. Plus encore, la Place Bell répond aux besoins exprimés par les associations sportives, qui attendaient depuis longtemps des équipements de ce niveau.»
Respect du budget et de l’échéancier
Le maire s’est dit satisfait d’avoir respecté le budget et l’échéancier de ce projet grâce au travail du trio composé de Pomerleau, evenko et la Ville. Rappelons que la Place Bell, dont la construction a débuté en novembre 2014, a été réalisée en un peu moins de trois ans et le bâtiment a été livré en avance sur l’échéancier. Le maire est fier de souligner que les coûts de construction ont été inférieurs à l’enveloppe budgétaire de 200 M$. De ce montant, plus de 46,3 M$ proviennent du Programme d’infrastructures Québec-Municipalités administré par le ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire.
«La Place Bell sera un lieu de rencontre unique où convergeront le sport et la culture», souhaite Marc Demers.
Pour sa part, la ministre Francine Charbonneau croit que la Place Bell deviendra un lieu phare pour la collectivité de la banlieue nord et de la région métropolitaine et aura des retombées concrètes sur le développement sportif, culturel et économique de Laval.
«La construction de la Place Bell et l’arrivée du Rocket constituent pour notre organisation une importante réalisation tant sur le plan sportif que culturel, ajoute Geoff Molson. Notre objectif est de donner à Laval une équipe de hockey compétitive, des spectacles et des événements diversifiés sous la direction d’evenko, tout en jouant un rôle de premier plan au sein de la communauté.»
Œuvres d’art
La Place Bell exhibe deux œuvres d’art. Telle une haie d’honneur, l’installation Faire la vague, de Michel Goulet, accueille les visiteurs sur le parterre extérieur. L’œuvre est constituée de 14 mâts, lesquels font référence aux 14 ex-municipalités de Laval. Dans le hall, la sculpture La voie des souffles, de l’artiste Louise Viger, fera quant à elle scintiller ses formes et ses couleurs symboliques: l’or, l’argent et le bronze.
Hommage à Henri Richard
Une œuvre d’art sera érigée sur les murs de l’entrée principale de la Place Bell au printemps prochain afin de rendre hommage à l’ancien numéro 16 du Canadien de Montréal, Henri Richard. Ce dernier réside depuis plusieurs décennies à Laval et a marqué l’histoire du Tricolore avec son record de 11 conquêtes de la coupe Stanley. L’œuvre sera réalisée par le biais d’un concours ouvert à tous les artistes québécois.
Bien entouré
Le maire était entouré par le président du conseil d’administration de la Cité de la culture et du sport de Laval, Marcel Alexander, le président et chef de la direction, Club de hockey Canadien, Geoff Molson, le vice-président, relations avec l’industrie, de Bell, Pierre Rodrigue, ainsi que de la ministre de la région de Laval, Francine Charbonneau. Donald Audette, ancien joueur de hockey professionnel, et Jacob Chicoine, jeune porte-couleurs les Patriotes de Laval étaient présents pour souligner l’importance de ce nouveau complexe pour les athlètes de demain.
Autres textes à lire: Un amphithéâtre digne de la ligue nationale de hockey.
Donald Audette aurait aimé bénéficier des installations de la Place Bell.
Jacques Aubé entend maximiser l’utilisation de la Place Bell.