Vingt-neuf programmes de formation professionnelle offerts à la Commission scolaire de Laval (CSDL) étaient représentés à l’établissement de Saint-François afin de proposer un atelier concret aux élèves et expérimenter des métiers à l’école.
Du pâtissier au pompier, en passant par le mécanicien automobile, l’arboriculteur-élagueur ou le coiffeur, les élèves pouvaient s’informer sur les métiers de leur choix, discuter avec les spécialistes et en apprendre davantage sur les huit centres de formation professionnelle à Laval, qui s’adressent aux 16 ans et plus. La durée est entre six mois et deux ans.
Les enseignants de l’école Horizon Jeunesse ont eu l’idée de lancer le projet en 2015. Amélie Sincennes, conseillère en orientation, coordonne l’événement.
«Nous voulons leur faire connaître les programmes offerts, assure-t-elle. Ce sont souvent des parcours méconnus. Certains voient le diplôme professionnel de mauvais œil, réservé à des jeunes avec des difficultés. Ce n’est vraiment pas le cas.»
Mme Sincennes mentionne que cette journée permet aux élèves de mettre la main à la pâte, de toucher. «On ne fait pas que remettre un dépliant. Les jeunes manipulent les plantes, le ciment, etc.»
Vitrier et dessin industriel
Ceux qui voudront devenir pompier ou cuisinier doivent savoir que ces programmes sont contingentés. Par contre, les personnes intéressées à travailler comme vitrier ou en dessin industriel auront les portes grandes ouvertes. «Le taux de placement est excellent comme vitrier. Il faut être en bonne condition physique. En dessin industriel, il y a plus d’offres de travail que de jeunes.»
Tala El Atrach, Lee James et Eliana Villagran, en quatrième secondaire, ont apprécié découvrir ces métiers. «Cette initiative est excellente, car nous pouvons essayer des choses. Ça m’a permis de jouer dans la terre, de poser des questions, de connaître les salaires, etc.», admet Eliana qui pourrait se diriger vers l’esthétique ou la coiffure.
Lee aimerait bien travailler avec des ordinateurs, en dessin industriel, tandis que Tala veut étudier pour devenir notaire. Elle ira donc au cégep. «J’ai bien aimé la pâtisserie, souligne Tala. Mon père est déjà un chef cuisinier. Je connais bien ce domaine.»
Témoignages
Trois ambassadeurs de l’édition printemps 2017, Kevin Bates (cuisinier), Winddy Noël-Lejeune (électromécanique) et Anthony Mailloux (pompier) ont livré des témoignages aux élèves en tant que diplômés de la formation professionnelle. Ces derniers exercent maintenant un métier qu’ils jugent passionnant.
«Je voulais partager mon parcours. On m’a posé la question. Le métier de chef cuisinier n’est pas uniquement réservé aux hommes», souligne Kevin, un ancien élève de l’école Leblanc. Ce dernier travaille comme chef au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM).
Quatre écoles visitées
Mon École en FP! n’en est pas à sa première édition. L’événement a déjà visité les écoles Horizon Jeunesse (école initiatrice du projet), Mont-de-La Salle et Saint-Maxime.
Regroupés sous la bannière Ma Carrière Se Dessine.com, les huit centres de formation professionnelle de la CSDL étaient sur place.
Vingt-neuf programmes de formation professionnelle offerts à la Commission scolaire de Laval (CSDL) étaient représentés à l’établissement de Saint-François afin de proposer un atelier concret aux élèves et expérimenter des métiers à l’école.
Du pâtissier au pompier, en passant par le mécanicien automobile, l’arboriculteur-élagueur ou le coiffeur, les élèves pouvaient s’informer sur les métiers de leur choix, discuter avec les spécialistes et en apprendre davantage sur les huit centres de formation professionnelle à Laval, qui s’adressent aux 16 ans et plus. La durée est entre six mois et deux ans.
Les enseignants de l’école Horizon Jeunesse ont eu l’idée de lancer le projet en 2015. Amélie Sincennes, conseillère en orientation, coordonne l’événement.
«Nous voulons leur faire connaître les programmes offerts, assure-t-elle. Ce sont souvent des parcours méconnus. Certains voient le diplôme professionnel de mauvais œil, réservé à des jeunes avec des difficultés. Ce n’est vraiment pas le cas.»
Mme Sincennes mentionne que cette journée permet aux élèves de mettre la main à la pâte, de toucher. «On ne fait pas que remettre un dépliant. Les jeunes manipulent les plantes, le ciment, etc.»
Vitrier et dessin industriel
Ceux qui voudront devenir pompier ou cuisinier doivent savoir que ces programmes sont contingentés. Par contre, les personnes intéressées à travailler comme vitrier ou en dessin industriel auront les portes grandes ouvertes. «Le taux de placement est excellent comme vitrier. Il faut être en bonne condition physique. En dessin industriel, il y a plus d’offres de travail que de jeunes.»
Tala El Atrach, Lee James et Eliana Villagran, en quatrième secondaire, ont apprécié découvrir ces métiers. «Cette initiative est excellente, car nous pouvons essayer des choses. Ça m’a permis de jouer dans la terre, de poser des questions, de connaître les salaires, etc.», admet Eliana qui pourrait se diriger vers l’esthétique ou la coiffure.
Lee aimerait bien travailler avec des ordinateurs, en dessin industriel, tandis que Tala veut étudier pour devenir notaire. Elle ira donc au cégep. «J’ai bien aimé la pâtisserie, souligne Tala. Mon père est déjà un chef cuisinier. Je connais bien ce domaine.»
Témoignages
Trois ambassadeurs de l’édition printemps 2017, Kevin Bates (cuisinier), Winddy Noël-Lejeune (électromécanique) et Anthony Mailloux (pompier) ont livré des témoignages aux élèves en tant que diplômés de la formation professionnelle. Ces derniers exercent maintenant un métier qu’ils jugent passionnant.
«Je voulais partager mon parcours. On m’a posé la question. Le métier de chef cuisinier n’est pas uniquement réservé aux hommes», souligne Kevin, un ancien élève de l’école Leblanc. Ce dernier travaille comme chef au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM).
Quatre écoles visitées
Mon École en FP! n’en est pas à sa première édition. L’événement a déjà visité les écoles Horizon Jeunesse (école initiatrice du projet), Mont-de-La Salle et Saint-Maxime.
Regroupés sous la bannière Ma Carrière Se Dessine.com, les huit centres de formation professionnelle de la CSDL étaient sur place.