Étudiante en deuxième année au Collège Vanier, la jeune femme de 19 ans présentera un travail de recherche sur la biotechnologie, notamment les molécules chaperonnes.
Kulsum a décidé de travailler sur ce projet pour tenter de connaître la cause de la maladie d’Alzheimer, dont sa grand-mère Sabira souffre. «C’est important que l’on fasse des recherches pour trouver quelque chose pour guérir cette terrible maladie», mentionne-t-elle.
De nombreuses maladies, les amyloses, l’Alzheimer, le Parkinson, ou encore le diabète de type 2 sont liées à un défaut dans le repliement des protéines cellulaire ou encore à leur agrégation.
«Les protéines chaperonnes aident au repliement moléculaire correct d’autres protéines, ce qui permet d’éviter la formation d’agrégats protéiques, précise la jeune femme. Ces agrégats, dus à des interactions hydrophobes, peuvent être accentués par le stress, notamment la haute température.»
Encadrement
Ce concours jumelle des jeunes scientifiques exceptionnels à des mentors pour concevoir de véritables projets de recherche en laboratoire. Les participants ont engendré plusieurs percées scientifiques prometteuses au fil des ans.
Kulsum Tai a apprécié l’ambiance de défi intellectuel et académique, mais surtout les judicieux conseils du Dr Jason Young, chercheur à l’Université McGill. «J’ai adoré travailler dans un vrai laboratoire avec des experts», termine-t-elle.
Finale nationale
Kulsum ne sait pas si elle gagnera le concours. Toutefois, elle aimerait bien impressionner les juges au concours régional afin de représenter le Québec à la finale nationale 2018 qui se tiendra à Toronto, du 7 au 9 mai.
Étudiante en deuxième année au Collège Vanier, la jeune femme de 19 ans présentera un travail de recherche sur la biotechnologie, notamment les molécules chaperonnes.
Kulsum a décidé de travailler sur ce projet pour tenter de connaître la cause de la maladie d’Alzheimer, dont sa grand-mère Sabira souffre. «C’est important que l’on fasse des recherches pour trouver quelque chose pour guérir cette terrible maladie», mentionne-t-elle.
De nombreuses maladies, les amyloses, l’Alzheimer, le Parkinson, ou encore le diabète de type 2 sont liées à un défaut dans le repliement des protéines cellulaire ou encore à leur agrégation.
«Les protéines chaperonnes aident au repliement moléculaire correct d’autres protéines, ce qui permet d’éviter la formation d’agrégats protéiques, précise la jeune femme. Ces agrégats, dus à des interactions hydrophobes, peuvent être accentués par le stress, notamment la haute température.»
Encadrement
Ce concours jumelle des jeunes scientifiques exceptionnels à des mentors pour concevoir de véritables projets de recherche en laboratoire. Les participants ont engendré plusieurs percées scientifiques prometteuses au fil des ans.
Kulsum Tai a apprécié l’ambiance de défi intellectuel et académique, mais surtout les judicieux conseils du Dr Jason Young, chercheur à l’Université McGill. «J’ai adoré travailler dans un vrai laboratoire avec des experts», termine-t-elle.
Finale nationale
Kulsum ne sait pas si elle gagnera le concours. Toutefois, elle aimerait bien impressionner les juges au concours régional afin de représenter le Québec à la finale nationale 2018 qui se tiendra à Toronto, du 7 au 9 mai.