Me Konstantinos Merakos (Chomedey), Stéphane Turmel (Fabre) et Stefano Piscitelli (Vimont) feront campagne sous la bannière du Parti conservateur du Québec à Laval.
«Notre parti attire des gens de qualité, nous en avons une fois de plus la preuve aujourd’hui, déclarait le chef Éric Duhaime par voie de communiqué le 27 juin. Ce sont des gens qui partagent nos valeurs de liberté [et] qui aspirent à vivre dans une province où tous peuvent pleinement se réaliser.»
Ces trois candidats, tous résidents du comté qu’ils convoitent, ont fait le choix d’«un État qui se serre la ceinture plutôt que le citoyen», poursuit le chef-fondateur du parti pour qui une saine gestion des finances publiques passe nécessairement par un État moins interventionniste.
Me Konstantinos Merakos
Me Konstantinos Merakos briguera les suffrages dans Chomedey, une forteresse libérale. Avocat chez Bergman & Associés, Me Merakos est diplômé de la London School of Economics, de Londres, et titulaire d’un doctorat en droit des universités d’Ottawa et de Montréal.
«J’ai choisi de me joindre au Parti conservateur du Québec et de me porter candidat parce que ce parti politique est le seul qui cherche à protéger les droits constitutionnels des gens tout en favorisant une économie forte, deux facteurs importants pour une société libre et démocratique», écrit-il. Me Merakos, qui se dépeint comme «un défenseur de la justice et un porte-parole pour les plus vulnérables de la société», fait le saut en politique avec pour «mission principale de restituer la cohésion sociale et la stabilité économique de notre belle province», ajoute le candidat conservateur d’origine grecque.
Le parti précise qu’à titre d’avocat et ancien adjoint législatif au parlement du Canada, il a travaillé sur divers dossiers relatifs aux droits de la personne, au droit à la protection de la jeunesse, aux droits des anciens combattants ainsi qu’aux droits constitutionnels.
Stéphane Turmel
Candidat conservateur dans Fabre, Stéphane Turmel est diplômé en technologie physique, département robotique du Cégep de La Pocatière, et de l’École de technologie supérieure (ETS) de l’Université du Québec, en génie de la production automatisée.
L’ingénieur, qui habite Sainte-Dorothée avec sa famille depuis 22 ans, dit avoir constaté durant la pandémie une «déconnexion entre la politique et le peuple québécois», qu’il s’engage à rétablir en travaillant de concert les citoyens et les autres élus de la région.
«La situation économique mondiale actuelle demande que nous réduisions les dépenses publiques tout en garantissant des services à la hauteur de la troisième ville en importance au Québec. Je projette de travailler étroitement avec les autres comtés et le maire de Laval pour minimiser nos dépenses et maximiser nos investissements en mettant à niveau nos infrastructures existantes qui sont vieillissantes, On n’a qu’à penser à nos infrastructures sportives», souligne Stéphane Turmel.
Stefano Piscitelli
Porte-couleur conservateur dans Vimont, Stefano Piscitelli est consultant en gestion de transformation d’affaires et numérique depuis près de 20 ans,
Père de quatre enfants, il s’est impliqué comme entraîneur-chef d’équipes sportives au sein de l’Association de hockey féminin de Laval et des associations sportives de hockey et de soccer de Monteuil.
«Le droit de faire des choix sans contraintes, de s’exprimer librement et de vivre dans le respect dans un pays qui permet à tous de concrétiser [leurs] rêves et de se réaliser pleinement», sont au cœur de l’action politique de celui qui a «vu ces droits s’éroder de plus en plus au cours des deux dernières année».
«Combien d’entre vous ont dû fermer leur entreprise, perdu leurs revenus, leur emploi ou se sont endettés? […] Combien d’entre vous ont perdu des amitiés, ont vu des liens familiaux se briser, ont des parents ou des grands-parents qui ont été isolés et [qu’ils n’ont] pu visiter pendant des mois?» questionne M. Piscitelli tout en dénonçant la consigne «inexplicable» du couvre-feu. «C’est pour toutes ces raisons, dont plusieurs ont affecté ma famille, que je m’implique en politique», termine-t-il