Ils étaient présents à la conférence de presse et ont tenu à remercier le Canada, le Québec et Laval. Ils ont pu constater la grande générosité des Québécois.
Ils considèrent s’être très bien intégrés à la communauté lavalloise et ont été agréablement surpris de l’accueil chaleureux des Québécois. Les principaux défis de l’intégration pour les nouveaux arrivants étaient la barrière de la langue et trouver un emploi.
Des fleurs pour Lana
Howeida et Nashwan ont lancé des fleurs à la responsable des bénévoles au Relais, Lana Kana An. «Elle a été d’un très grand support, précise Nashwan. J’ai dû suivre quelques formations, car on ne reconnaissait pas mon diplôme et je voulais travailler dans le même domaine.»
Il était déchiré entre se trouver un emploi et apprendre le français. Ingénieur civil en Syrie, il ne pouvait pas pratiquer son métier au Québec et a donc décidé de parfaire ses connaissances.
M. Kassis attend d’ailleurs avec impatience la note de son examen de l’Ordre des ingénieurs du Québec. «J’ai déjà reçu mon certificat en santé et sécurité du travail ainsi qu’en inspection des bâtiments», raconte-t-il fièrement.
«En Syrie, on utilise beaucoup le béton dans les constructions alors qu’au Québec, on préfère le bois. C’est différent.»
Nashwan est arrivé au pays avec son épouse et leurs deux enfants le 29 décembre 2015.
«J’ai dû apprendre une nouvelle langue. Ce fut très difficile, termine celui qui parle arabe et anglais. Je suis très heureux d’être ici, loin des bombardements.»
Moments difficiles
Howeida est arrivée le 1er janvier 2016 à Laval avec son époux et 3 enfants (20 ans, 16 ans et 14 ans). «Ce fut difficile au début, surtout pour la langue. De plus, mon mari a été hospitalisé. Et que dire de la température.»
Mme Tannous a pu compter sur le support et réconfort de Lana. Elle ne croyait pas en recevoir autant de ses nouveaux concitoyens. «Ça va mieux, dit-elle avec émotion. Je parle maintenant le français. Je me suis inscrite dans un cours de garderie et je fais du bénévolat.»
À leur tour de s’impliquer
Howeida et Nashwan ont décidé à leur tour de donner au suivant en s’impliquant bénévolement au Relais communautaire de Laval. «Cet organisme nous a donné beaucoup, mentionnent-ils les yeux brillants. Ça nous permet de pratiquer le français et d’aider les autres.»
Autre texte à lire: Centraide vers 2,5 M$ aux organismes de Laval.
Ils étaient présents à la conférence de presse et ont tenu à remercier le Canada, le Québec et Laval. Ils ont pu constater la grande générosité des Québécois.
Ils considèrent s’être très bien intégrés à la communauté lavalloise et ont été agréablement surpris de l’accueil chaleureux des Québécois. Les principaux défis de l’intégration pour les nouveaux arrivants étaient la barrière de la langue et trouver un emploi.
Des fleurs pour Lana
Howeida et Nashwan ont lancé des fleurs à la responsable des bénévoles au Relais, Lana Kana An. «Elle a été d’un très grand support, précise Nashwan. J’ai dû suivre quelques formations, car on ne reconnaissait pas mon diplôme et je voulais travailler dans le même domaine.»
Il était déchiré entre se trouver un emploi et apprendre le français. Ingénieur civil en Syrie, il ne pouvait pas pratiquer son métier au Québec et a donc décidé de parfaire ses connaissances.
M. Kassis attend d’ailleurs avec impatience la note de son examen de l’Ordre des ingénieurs du Québec. «J’ai déjà reçu mon certificat en santé et sécurité du travail ainsi qu’en inspection des bâtiments», raconte-t-il fièrement.
«En Syrie, on utilise beaucoup le béton dans les constructions alors qu’au Québec, on préfère le bois. C’est différent.»
Nashwan est arrivé au pays avec son épouse et leurs deux enfants le 29 décembre 2015.
«J’ai dû apprendre une nouvelle langue. Ce fut très difficile, termine celui qui parle arabe et anglais. Je suis très heureux d’être ici, loin des bombardements.»
Moments difficiles
Howeida est arrivée le 1er janvier 2016 à Laval avec son époux et 3 enfants (20 ans, 16 ans et 14 ans). «Ce fut difficile au début, surtout pour la langue. De plus, mon mari a été hospitalisé. Et que dire de la température.»
Mme Tannous a pu compter sur le support et réconfort de Lana. Elle ne croyait pas en recevoir autant de ses nouveaux concitoyens. «Ça va mieux, dit-elle avec émotion. Je parle maintenant le français. Je me suis inscrite dans un cours de garderie et je fais du bénévolat.»
À leur tour de s’impliquer
Howeida et Nashwan ont décidé à leur tour de donner au suivant en s’impliquant bénévolement au Relais communautaire de Laval. «Cet organisme nous a donné beaucoup, mentionnent-ils les yeux brillants. Ça nous permet de pratiquer le français et d’aider les autres.»
Autre texte à lire: Centraide vers 2,5 M$ aux organismes de Laval.