Ces insectes profitent également des milliers de fleurs que l’on retrouve dans ce jardin et qui attirent également papillons et monarques, cette dernière espèce étant en voie de disparition. Le projet connaîtra son point culminant en septembre avec la première extraction de miel sur le territoire.
«On voulait sensibiliser les gens aux bonnes pratiques écologiques et ce sont aussi des choses qu’ils peuvent reproduire dans leur propre jardin, explique Adeline Deheunyck, du Service de l’environnement. Il est important de mettre l’accent sur les pollinisateurs quand on sait que 30 % de ce que l’on retrouve dans notre assiette proviennent du travail des abeilles.»
Jusqu’à présent, deux animations ont eu lieu en rapport avec ce projet, qui vient également différencier l’abeille de la guêpe. «Beaucoup de gens confondent les deux. Les abeilles ne s’intéressent pas à notre nourriture, seulement aux fleurs. Elles ne sont pas agressives et vont piquer seulement si elles sont agressées», souligne Mme Deheunyck.
D’ailleurs, des demandes pour assister à l’extraction du miel prévue le 23 septembre ont déjà été faites, mais les inscriptions ne sont pas encore ouvertes pour ce rendez-vous automnal. On s’attend à une récolte de 20 kg et la cuvée sera ensuite remise aux citoyens au kiosque du Service de l’environnement lors d’événements spéciaux ou distribuée à des organismes du territoire, fait savoir la Municipalité.
Aménagements
L’installation de ruches au parc urbain de Saint-Vincent-de-Paul vient rejoindre la liste des ajouts réalisés depuis deux ans afin de bonifier la Halte environnementale: plantation d’arbres fruitiers; aménagement de potagers en bacs et de kiosques les week-ends avec différentes thématiques.
«Oui, nous avons vu un regain. La réponse des gens pour les animations sur les abeilles a été bonne», admet Adeline Deheunyck.
L’implantation et l’entretien des ruches ont été confiés à l’entreprise Alvéole, située sur la rue Saint-Urbain, à Montréal, alors que l’aide financière provient en partie de la Fondation TD des amis de l’environnement. En 2015, le Groupe Banque TD avait d’ailleurs remis 25 000 $ pour l’aménagement de sentiers sur le site de l’avenue du Parc.
Protection
Les ruches peuvent être observées par les visiteurs du Centre de la nature. Elles sont protégées par des clôtures munies d’une moustiquaire. On peut donc les admirer en toute sécurité.
Des panneaux d’interprétation ont également été installés aux abords des ruches, sur lesquels les gens retrouvent de l’information sur les abeilles.
Ces insectes profitent également des milliers de fleurs que l’on retrouve dans ce jardin et qui attirent également papillons et monarques, cette dernière espèce étant en voie de disparition. Le projet connaîtra son point culminant en septembre avec la première extraction de miel sur le territoire.
«On voulait sensibiliser les gens aux bonnes pratiques écologiques et ce sont aussi des choses qu’ils peuvent reproduire dans leur propre jardin, explique Adeline Deheunyck, du Service de l’environnement. Il est important de mettre l’accent sur les pollinisateurs quand on sait que 30 % de ce que l’on retrouve dans notre assiette proviennent du travail des abeilles.»
Jusqu’à présent, deux animations ont eu lieu en rapport avec ce projet, qui vient également différencier l’abeille de la guêpe. «Beaucoup de gens confondent les deux. Les abeilles ne s’intéressent pas à notre nourriture, seulement aux fleurs. Elles ne sont pas agressives et vont piquer seulement si elles sont agressées», souligne Mme Deheunyck.
D’ailleurs, des demandes pour assister à l’extraction du miel prévue le 23 septembre ont déjà été faites, mais les inscriptions ne sont pas encore ouvertes pour ce rendez-vous automnal. On s’attend à une récolte de 20 kg et la cuvée sera ensuite remise aux citoyens au kiosque du Service de l’environnement lors d’événements spéciaux ou distribuée à des organismes du territoire, fait savoir la Municipalité.
Aménagements
L’installation de ruches au parc urbain de Saint-Vincent-de-Paul vient rejoindre la liste des ajouts réalisés depuis deux ans afin de bonifier la Halte environnementale: plantation d’arbres fruitiers; aménagement de potagers en bacs et de kiosques les week-ends avec différentes thématiques.
«Oui, nous avons vu un regain. La réponse des gens pour les animations sur les abeilles a été bonne», admet Adeline Deheunyck.
L’implantation et l’entretien des ruches ont été confiés à l’entreprise Alvéole, située sur la rue Saint-Urbain, à Montréal, alors que l’aide financière provient en partie de la Fondation TD des amis de l’environnement. En 2015, le Groupe Banque TD avait d’ailleurs remis 25 000 $ pour l’aménagement de sentiers sur le site de l’avenue du Parc.
Protection
Les ruches peuvent être observées par les visiteurs du Centre de la nature. Elles sont protégées par des clôtures munies d’une moustiquaire. On peut donc les admirer en toute sécurité.
Des panneaux d’interprétation ont également été installés aux abords des ruches, sur lesquels les gens retrouvent de l’information sur les abeilles.