«En abordant des sujets comme la mort, la vie, l’écoute, le partage, je n’ai rien inventé dans ce recueil intitulé Philosophie Zen, mais le sujet principal demeure le bonheur et sa recherche en continu dans nos vies, de confier l’homme qui s’adonne aux exercices de cette pensée orientale depuis plus de 40 ans.
La perte de son père à l’âge de 13 ans a plongé le Lavallois dans une recherche sur soi-même, et les questions fondamentales, qui perdure encore aujourd’hui.
Sur une base quotidienne, il continue de s’adonner à la méditation de forme zen durant des séances allant de 30 minutes à 2 heures, sans négliger l’art du bonsaï dont il est aussi spécialiste.
De faire le chemin de Compostelle, en 2007, à l’âge de 67 ans, a également beaucoup nourri sa démarche.
Longue réflexion
Jean-Guy Arpin a consacré deux ans à l’écriture de Philosophie Zen, de 2008 à 2010, avant de bien peaufiner l’œuvre en soupesant chaque pensée. «Je n’écris pas vite, mais quand je commence, je suis dans ma bulle et reste accroché tant que je n’ai pas fini.»
Ayant eu une première carrière dans la vente, dans les secteurs immobilier et informatique, l’auteur ne se considère ni gourou ni maître, mais possède une longue expérience des philosophies et de la vie, où changer «notre façon de percevoir les choses qui se passent alentour peut changer notre état en mieux».
Le résident d’Havre-des-Îles prépare déjà son prochain opus, un ensemble de courts textes dont le titre devrait être «Le plus beau jour, c’est aujourd’hui», soit une réflexion sur la philosophie zen et ses notions, entre autres, d’égo et humilité.