Sans contrat de travail depuis le 1er janvier 2018, des membres du Syndicat des travailleuses et travailleurs en loisirs de la ville de Laval (STTLVL) se sont faits voir et entendre pour un deuxième fois en autant de mois devant l’hôtel de ville à la séance du conseil municipal du 7 mai.
Le message est toujours le même: on demande à l’administration Demers d’accorder les mandats nécessaires à ses représentants pour faire débloquer les négociations qui, depuis un mois, se poursuivent en présence d’un conciliateur.
Le Syndicat réclame un important rattrapage salarial, affirmant que la majorité de ses membres touchent un salaire en moyenne 25 % inférieur à celui versé pour un travail équivalant dans les 14 autres grandes municipalités au Québec. Plus de détail à venir.