L’argent servira cette fois à des travaux sur la maçonnerie des fondations (pierres, joints, imperméabilité) du bâtiment inauguré en 1856. «Nous avons reçu plusieurs subventions pour l’église, indique le curé Michel Bouchard. Après ces travaux, tout l’extérieur aura été restauré, il ne restera que des choses à l’intérieur.»
Au fil des ans, l’électricité, le toit, le pont couvert (annexe à la sacristie), la maçonnerie avant et arrière, entre autres, ont fait l’objet de travaux.
Dans l’église, la consolidation du jubé arrière et la mise à niveau de l’orgue figurent sur la liste de rénovation à venir. «On aimerait aussi que l’église soit repeinte, mais c’est plus difficile d’obtenir des subventions pour des travaux de cette nature», fait remarquer le curé Bouchard.
À travers la province, le gouvernement, par le biais du Conseil du patrimoine religieux, mandataire du ministère de la Culture et des Communications, a accordé 10 M$ pour la période 2016-2017 dédiés à la restauration d’une cinquantaine de biens meubles et immeubles religieux.
Rappelons que l’église du boulevard Sainte-Rose, la troisième de la paroisse créée le 16 mars 1740, a été reconnue «bien culturel» par le ministère des Affaires culturelles le 27 décembre 1974.
L’argent servira cette fois à des travaux sur la maçonnerie des fondations (pierres, joints, imperméabilité) du bâtiment inauguré en 1856. «Nous avons reçu plusieurs subventions pour l’église, indique le curé Michel Bouchard. Après ces travaux, tout l’extérieur aura été restauré, il ne restera que des choses à l’intérieur.»
Au fil des ans, l’électricité, le toit, le pont couvert (annexe à la sacristie), la maçonnerie avant et arrière, entre autres, ont fait l’objet de travaux.
Dans l’église, la consolidation du jubé arrière et la mise à niveau de l’orgue figurent sur la liste de rénovation à venir. «On aimerait aussi que l’église soit repeinte, mais c’est plus difficile d’obtenir des subventions pour des travaux de cette nature», fait remarquer le curé Bouchard.
À travers la province, le gouvernement, par le biais du Conseil du patrimoine religieux, mandataire du ministère de la Culture et des Communications, a accordé 10 M$ pour la période 2016-2017 dédiés à la restauration d’une cinquantaine de biens meubles et immeubles religieux.
Rappelons que l’église du boulevard Sainte-Rose, la troisième de la paroisse créée le 16 mars 1740, a été reconnue «bien culturel» par le ministère des Affaires culturelles le 27 décembre 1974.