«Notre nouvel entraîneur venu de Grèce, Haris Pavlides, est arrivé avec une défensive que personne d’autre ne pratique dans le monde et qui nous sert très bien, d’affirmer celle qui était substitut lors des Championnats du monde de natation 2017, en Hongrie. C’est très risqué, car ça demande une concentration et un effort collectif de tous les instants, mais réussir un top 4, c’est assez incroyable!»
Il s’agit du meilleur résultat depuis 2009 pour la formation féminine canadienne. L’avenir s’avère donc prometteur pour une nouvelle garde de joueuses.
En début de tournoi, l’équipe s’est imposée, notamment avec Ymane Hage devant le filet contre le Brésil et la Nouvelle-Zélande. Après une défaite crève-cœur contre l’Italie en ronde préliminaire, le Canada a créé la surprise en quarts de finale, éliminant l’équipe hôtesse de la Hongrie dont le water-polo est un sport national.
«Nous avons gagné un match impressionnant où la foule de 8000 personnes était contre nous, souligne la Lavalloise de 21 ans qui n’avait pas rejoint la formation nationale depuis 3 ans en raison de blessures et compétitions sur le sol américain. Ensuite, contre l’Espagne, nous n’avons pas bien commencé et malgré un bon retour dans la partie, il y avait trop de barrières. Il était trop tard.»
Les filles se sont également inclinées lors du match pour l’obtention de la médaille de bronze contre la Russie, Ymane ayant relayé la gardienne numéro un qui venait de flancher plusieurs fois après été bombardée de partout.
«Les Russes sont fortes et imprévisibles!»
Tout en gardant un œil de plus en plus intéressé sur les prochains Jeux olympiques, Ymane Hage se prépare pour les Jeux universitaires mondiaux qui se dérouleront à Taipei (Taiwan) du 19 au 30 août où elle sera cette fois la gardienne titulaire de l’équipe nationale.
«Notre nouvel entraîneur venu de Grèce, Haris Pavlides, est arrivé avec une défensive que personne d’autre ne pratique dans le monde et qui nous sert très bien, d’affirmer celle qui était substitut lors des Championnats du monde de natation 2017, en Hongrie. C’est très risqué, car ça demande une concentration et un effort collectif de tous les instants, mais réussir un top 4, c’est assez incroyable!»
Il s’agit du meilleur résultat depuis 2009 pour la formation féminine canadienne. L’avenir s’avère donc prometteur pour une nouvelle garde de joueuses.
En début de tournoi, l’équipe s’est imposée, notamment avec Ymane Hage devant le filet contre le Brésil et la Nouvelle-Zélande. Après une défaite crève-cœur contre l’Italie en ronde préliminaire, le Canada a créé la surprise en quarts de finale, éliminant l’équipe hôtesse de la Hongrie dont le water-polo est un sport national.
«Nous avons gagné un match impressionnant où la foule de 8000 personnes était contre nous, souligne la Lavalloise de 21 ans qui n’avait pas rejoint la formation nationale depuis 3 ans en raison de blessures et compétitions sur le sol américain. Ensuite, contre l’Espagne, nous n’avons pas bien commencé et malgré un bon retour dans la partie, il y avait trop de barrières. Il était trop tard.»
Les filles se sont également inclinées lors du match pour l’obtention de la médaille de bronze contre la Russie, Ymane ayant relayé la gardienne numéro un qui venait de flancher plusieurs fois après été bombardée de partout.
«Les Russes sont fortes et imprévisibles!»
Tout en gardant un œil de plus en plus intéressé sur les prochains Jeux olympiques, Ymane Hage se prépare pour les Jeux universitaires mondiaux qui se dérouleront à Taipei (Taiwan) du 19 au 30 août où elle sera cette fois la gardienne titulaire de l’équipe nationale.