«Je pense que ça témoigne du fait qu’il voit en [le Musée Armand-Frappier] une institution d’éducation informelle importante à Laval», commente Mme Archambault.
Pour se faire, l’ex-directeur d’école propose que l’on prévoie dans les plans des classes permanentes dont disposeraient les commissions scolaires lavalloises.
«Ce serait vraiment formidable, mais il faut voir aussi les besoins du milieu», poursuit-elle, précisant qu’un programme à concentration scientifique ne peut pas se développer en silo, mais en étroit partenariat avec le réseau d’enseignement public.
Aussi, l’impact budgétaire de l’ajout de mètres carrés à ce projet estimé à 8,4 M$ n’est pas sans compliquer les choses.
«Ç’a pris des années à effectuer ce montage financier et à rassembler les ressources [pour la construction d’un nouveau Musée]. Maintenant, d’en ajouter, il est peut-être un peu tard», ne cache pas l’âme dirigeante derrière le Bio-Centre tout en rappelant que le maître d’œuvre demeure l’administration Demers.
Vocation
En plus des expositions et des activités en laboratoire, le Musée Armand-Frappier anime aussi des ateliers en milieu scolaire en complément à l’enseignement dispensé par les professeurs et en adéquation avec le programme régulier, précise Mme Archambault.
À propos de l’exposition Les allergies font jaser qui a cours, elle souligne fièrement qu’il s’agit d’un projet éducatif réalisé conjointement avec des élèves de cinquième année de l’école Simon-Vanier et leur enseignant.
«Au printemps dernier, on a testé avec eux les activités de laboratoire et en contexte d’exposition qu’on offre maintenant à tous. Les jeunes ont interviewé des scientifiques […] Qu’on ait ou non ces classes permanentes au BioCentre, c’est sûr qu’on va multiplier ce type d’initiative-là et répondre aux besoins des enseignants en offrant des activités stimulantes pour les élèves», termine la principale intéressée.
«Je pense que ça témoigne du fait qu’il voit en [le Musée Armand-Frappier] une institution d’éducation informelle importante à Laval», commente Mme Archambault.
Pour se faire, l’ex-directeur d’école propose que l’on prévoie dans les plans des classes permanentes dont disposeraient les commissions scolaires lavalloises.
«Ce serait vraiment formidable, mais il faut voir aussi les besoins du milieu», poursuit-elle, précisant qu’un programme à concentration scientifique ne peut pas se développer en silo, mais en étroit partenariat avec le réseau d’enseignement public.
Aussi, l’impact budgétaire de l’ajout de mètres carrés à ce projet estimé à 8,4 M$ n’est pas sans compliquer les choses.
«Ç’a pris des années à effectuer ce montage financier et à rassembler les ressources [pour la construction d’un nouveau Musée]. Maintenant, d’en ajouter, il est peut-être un peu tard», ne cache pas l’âme dirigeante derrière le Bio-Centre tout en rappelant que le maître d’œuvre demeure l’administration Demers.
Vocation
En plus des expositions et des activités en laboratoire, le Musée Armand-Frappier anime aussi des ateliers en milieu scolaire en complément à l’enseignement dispensé par les professeurs et en adéquation avec le programme régulier, précise Mme Archambault.
À propos de l’exposition Les allergies font jaser qui a cours, elle souligne fièrement qu’il s’agit d’un projet éducatif réalisé conjointement avec des élèves de cinquième année de l’école Simon-Vanier et leur enseignant.
«Au printemps dernier, on a testé avec eux les activités de laboratoire et en contexte d’exposition qu’on offre maintenant à tous. Les jeunes ont interviewé des scientifiques […] Qu’on ait ou non ces classes permanentes au BioCentre, c’est sûr qu’on va multiplier ce type d’initiative-là et répondre aux besoins des enseignants en offrant des activités stimulantes pour les élèves», termine la principale intéressée.