Grâce à la collaboration du Service de police de Laval et de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), la Commission scolaire de Laval (CSDL) a proposé cette activité aux élèves des établissements suivants: Georges-Vanier, École d’éducation internationale de Laval, Horizon Jeunesse, Centre de qualification professionnelle et d’entrepreneuriat de Laval et Leblanc.
Julie Tassé, agente de développement en promotion et prévention à la CSDL, et les policiers, Julie Boulay et Maxime Rheault, se sont servis des documents de la SAAQ pour mettre le projet sur pied. Ils étaient appuyés par 16 policiers.
Conséquences
Cette conférence de 75 minutes avait pour objectif de sensibiliser et conscientiser les finissants aux conséquences associées à la vitesse, à ne pas porter la ceinture, aux textos et surtout aux dangers de l’alcool et de la drogue au volant.
«Le dépôt du projet de loi fédéral sur la légalisation de la marijuana ramène dans l’actualité la problématique de la conduite avec les facultés affaiblies par les stupéfiants chez les jeunes», souligne l’agent Maxime Rheault.
La conférence était divisée en trois segments, soit un jeu-questionnaire «Savoir conduire vs savoir se conduire», le visionnement du film de la SAAQ Le pouvoir de tout changer d’une durée de 18 minutes, et, enfin, un jeu-questionnaire du Service de police de Laval. Les élèves sont invités à faire des choix éclairés lorsqu’ils prennent la route.
Court métrage réaliste
«Le court métrage développé par la SAAQ colle à la réalité. Ça se passe dans un party de jeunes. On pouvait entendre une mouche voler lors de la projection», enchaîne l’agent Rheault.
Afin de rendre l’exercice plus convivial, les policiers invitent six jeunes sur la scène. Ils répondent aux questions et certains mettent des lunettes Fatal Vision qui brouillent la vue comme si on avait les facultés affaiblies. «On les fait marcher sur une ligne, etc. C’est le côté humoristique avant de parler des conseils et conséquences», explique l’agent Rheault.
Trop d’accidents pour les jeunes
En 2014, les statistiques recueillies par la SAAQ démontraient que 10 % des titulaires de permis de conduire sont des jeunes conducteurs âgés de 16 à 24 ans et qu’ils sont impliqués dans 20 % des accidents de la route avec blessures c orporelles.
«La CSDL espère par cette activité diminuer ces statistiques sur le territoire lavallois», souligne le porte-parole de la CSDL, Jean-Pierre Archambault.
Billets Cool Taxi
En prévision des bals de finissants et s’inscrivant dans l’activité de prévention «Le pouvoir de tout changer», le service éducatif a fait l’achat de billets de Cool Taxi. On sait que le coupon Cool Taxi peut être utilisé comme de l’argent comptant pour payer une course en taxi. On le remet au chauffeur en guise de paiement.
«Chaque école ayant un niveau de cinquième secondaire recevra quatre billets de Cool Taxi d’une valeur de 10 $ chacun», précise M. Archambault.
Pacte pour la vie et trousse de survie
Les agents invitent tous les élèves des écoles concernées à participer à son concours Survis à ton après-bal pour gagner une trousse de survie, du 12 au 16 juin.
D’autre part, les policiers invitent les parents et leurs enfants à signer le Pacte pour la vie, une initiative de la SAAQ. Ceux-ci seront invités à discuter avec leurs parents et amis, afin que leur choix de retour à la maison soit connu.
«Les jeunes doivent parler à leurs parents et ne pas hésiter à les appeler, peu importe l’heure, s’ils ont consommé de l’alcool, insiste M. Rheault. Que ce soit le parent qui doive se faire réveiller en pleine nuit pour aller chercher son enfant ou prendre des Cool Taxi, toutes les idées sont bonnes pour ne pas prendre le volant en état d’ébriété. Étant donné que les conférences ont pris fin le 28 avril, c’est une façon de se remémorer les différents conseils.»
Tolérance zéro
Enfin, Jean-Pierre Archambault a insisté pour dire que l’alcool n’était pas toléré au bal des finissants des différentes écoles secondaires du territoire. «Ce qui se passe après le bal n’est pas de notre contrôle. Ce n’est pas de notre juridiction», termine-t-il.
Grâce à la collaboration du Service de police de Laval et de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), la Commission scolaire de Laval (CSDL) a proposé cette activité aux élèves des établissements suivants: Georges-Vanier, École d’éducation internationale de Laval, Horizon Jeunesse, Centre de qualification professionnelle et d’entrepreneuriat de Laval et Leblanc.
Julie Tassé, agente de développement en promotion et prévention à la CSDL, et les policiers, Julie Boulay et Maxime Rheault, se sont servis des documents de la SAAQ pour mettre le projet sur pied. Ils étaient appuyés par 16 policiers.
Conséquences
Cette conférence de 75 minutes avait pour objectif de sensibiliser et conscientiser les finissants aux conséquences associées à la vitesse, à ne pas porter la ceinture, aux textos et surtout aux dangers de l’alcool et de la drogue au volant.
«Le dépôt du projet de loi fédéral sur la légalisation de la marijuana ramène dans l’actualité la problématique de la conduite avec les facultés affaiblies par les stupéfiants chez les jeunes», souligne l’agent Maxime Rheault.
La conférence était divisée en trois segments, soit un jeu-questionnaire «Savoir conduire vs savoir se conduire», le visionnement du film de la SAAQ Le pouvoir de tout changer d’une durée de 18 minutes, et, enfin, un jeu-questionnaire du Service de police de Laval. Les élèves sont invités à faire des choix éclairés lorsqu’ils prennent la route.
Court métrage réaliste
«Le court métrage développé par la SAAQ colle à la réalité. Ça se passe dans un party de jeunes. On pouvait entendre une mouche voler lors de la projection», enchaîne l’agent Rheault.
Afin de rendre l’exercice plus convivial, les policiers invitent six jeunes sur la scène. Ils répondent aux questions et certains mettent des lunettes Fatal Vision qui brouillent la vue comme si on avait les facultés affaiblies. «On les fait marcher sur une ligne, etc. C’est le côté humoristique avant de parler des conseils et conséquences», explique l’agent Rheault.
Trop d’accidents pour les jeunes
En 2014, les statistiques recueillies par la SAAQ démontraient que 10 % des titulaires de permis de conduire sont des jeunes conducteurs âgés de 16 à 24 ans et qu’ils sont impliqués dans 20 % des accidents de la route avec blessures c orporelles.
«La CSDL espère par cette activité diminuer ces statistiques sur le territoire lavallois», souligne le porte-parole de la CSDL, Jean-Pierre Archambault.
Billets Cool Taxi
En prévision des bals de finissants et s’inscrivant dans l’activité de prévention «Le pouvoir de tout changer», le service éducatif a fait l’achat de billets de Cool Taxi. On sait que le coupon Cool Taxi peut être utilisé comme de l’argent comptant pour payer une course en taxi. On le remet au chauffeur en guise de paiement.
«Chaque école ayant un niveau de cinquième secondaire recevra quatre billets de Cool Taxi d’une valeur de 10 $ chacun», précise M. Archambault.
Pacte pour la vie et trousse de survie
Les agents invitent tous les élèves des écoles concernées à participer à son concours Survis à ton après-bal pour gagner une trousse de survie, du 12 au 16 juin.
D’autre part, les policiers invitent les parents et leurs enfants à signer le Pacte pour la vie, une initiative de la SAAQ. Ceux-ci seront invités à discuter avec leurs parents et amis, afin que leur choix de retour à la maison soit connu.
«Les jeunes doivent parler à leurs parents et ne pas hésiter à les appeler, peu importe l’heure, s’ils ont consommé de l’alcool, insiste M. Rheault. Que ce soit le parent qui doive se faire réveiller en pleine nuit pour aller chercher son enfant ou prendre des Cool Taxi, toutes les idées sont bonnes pour ne pas prendre le volant en état d’ébriété. Étant donné que les conférences ont pris fin le 28 avril, c’est une façon de se remémorer les différents conseils.»
Tolérance zéro
Enfin, Jean-Pierre Archambault a insisté pour dire que l’alcool n’était pas toléré au bal des finissants des différentes écoles secondaires du territoire. «Ce qui se passe après le bal n’est pas de notre contrôle. Ce n’est pas de notre juridiction», termine-t-il.