Dans un sondage mené au Royaume-Uni, 27 % des répondants souhaitent que leur dernier adieu soit un événement d’une certaine envergure. Chez les 18-24 ans, la génération connectée, 40 % d’entre eux souhaiteraient une cérémonie avec de la visibilité et qui leur donnerait toute l’attention désirée.
Bien que 54 % des personnes interrogées aient tout de même déclaré qu’elles aimeraient un service funéraire plus personnel, comment respecter la volonté de nos proches décédés et leur offrir un adieu à leur image?
Dans les premiers moments de l’Histoire, les nécrologies ou les annonces de décès publiées n’étaient pas monnaie courante. Il existe des preuves de nécrologies datant du 17e siècle, et il était de coutume au 19e siècle que des personnalités publiques fassent annoncer leur décès à la communauté ou au pays.
Cependant, ce n’est qu’au 20e siècle que les nécrologies pour monsieur-madame-tout-le-monde sont devenues populaires. Au Québec, la pratique d’annoncer le décès d’un individu sur une tribune publique a débuté via la publication de nécrologies dans les journaux. Dans les années 1960, les avis de décès étaient non seulement partagés dans ceux-ci, mais aussi à la radio. Encore aujourd’hui, on se surprend d’entendre à la radio de l’auto un segment nécrologique sur certaines radios communautaires du Québec.
Aujourd’hui, les avis de décès sont aussi répertoriés sur Internet et, bien entendu, sur les réseaux sociaux des proches du défunt.
On estime que 2,5 milliards de personnes ont assisté aux funérailles de la princesse Diana… (Source : BBC)
Tout comme les processions funéraires traditionnelles d’aujourd’hui, les Romains organisaient des processions pour honorer leurs défunts. Plus la procession était populeuse et bruyante, plus le défunt devait être riche ou important. Pour cette raison, des pleureuses professionnelles étaient parfois embauchées pour s’assurer que le cortège soit aussi grand et bruyant que possible et parfois pour ajouter un peu d’émotion à l’atmosphère triste d’un enterrement. Ces personnes recevaient un compte-rendu de la vie du défunt et étaient payées pour parler aux membres de la famille comme s’ils étaient des amis.
Bien entendu, cette pratique vous fait peut-être sourciller, mais peu importe votre popularité ou la taille de votre cercle d’amis, la meilleure façon de vous assurer d’avoir des funérailles à votre image est de rencontrer l’un de nos conseillers en planification funéraire. https://www.cfgrandmontreal.com/arrangements-prealables/