En plus de ce financement, un montant additionnel de 682 321$ non récurrent est alloué à la région. Voilà ce qu’a annoncé la ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie, Lucie Charlebois, de passage à Laval, le 13 octobre.
L’argent sert, entre autres, à réduire les nombreuses listes d’attente pour l’obtention de services et à offrir un soutien financier aux organismes communautaires afin de créer de nouvelles places en répit, dépannage et gardiennage. Des outils seront développés pour les adolescents et jeunes adultes en lien avec leur projet de vie et la transition de l’école au marché du travail.
Éliminer les listes d’attente
«Il y a des listes d’attente pour le traitement comportemental intensif, d’autres pour du répit pour les familles, il y a des listes d’attente partout, avoue la ministre Charlebois. On vise l’élimination de la liste d’attente pour le programme d’intervention comportementale intensive. Dès la première année, dans l’ensemble du Québec, on veut diminuer cette liste de 45 %. La liste double tous les quatre ans.»
Place à l’amélioration
La ministre de la région de Laval, Francine Charbonneau, et la présidente-directrice générale du CISSS de Laval, Caroline Barbir, ont accueilli avec joie cet investissement qui a servi à réduire la liste d’attente. 225 personnes étaient en attente de services sur le territoire lavallois. Aujourd’hui, on en compte 112.
«Cet investissement nous donne des ailes, explique Mme Barbir. Ça me touche quand on reçoit les moyens d’agir! Personne ne trouve cela drôle les listes d’attente.
«28 familles ont reçu une subvention à la hausse, enchaîne-t-elle. 87 familles qui ne recevaient aucune somme du programme soutien à la famille en ont reçue. Nous en sommes très fiers.»
La présidente-directrice générale du CISSS de Laval et son équipe ont décidé de prioriser le service pour les jeunes de quatre ans, si bien qu’il n’y a aucune attente pour l’intervention comportementale intensive.
Mme Barbir a lancé des fleurs à ses 9500 employés et 1000 médecins qui œuvrent dans le domaine de la santé. «Ils ont choisi d’aider le monde. Ça prend de l’abnégation, de la générosité et du courage pour travailler dans le réseau de la santé. Ils le font par amour et conviction. Ils veulent changer des choses.»
40 M$ au Québec
À travers le Québec, c’est un montant de 29 M$ ainsi qu’une somme de 1,25 M$ pour la recherche et la formation que le gouvernement du Québec investira annuellement dans le cadre de son Plan d’action sur le trouble du spectre de l’autisme 2017-2022, dévoilé le 21 mars. De plus, 11 M$ pour cette année s’ajoutent pour la réduction des listes d’attente.
Ce plan comprend 35 actions et résulte du premier Forum québécois sur le trouble du spectre de l’autisme, tenu les 11 et 12 février 2016.
En plus de ce financement, un montant additionnel de 682 321$ non récurrent est alloué à la région. Voilà ce qu’a annoncé la ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie, Lucie Charlebois, de passage à Laval, le 13 octobre.
L’argent sert, entre autres, à réduire les nombreuses listes d’attente pour l’obtention de services et à offrir un soutien financier aux organismes communautaires afin de créer de nouvelles places en répit, dépannage et gardiennage. Des outils seront développés pour les adolescents et jeunes adultes en lien avec leur projet de vie et la transition de l’école au marché du travail.
Éliminer les listes d’attente
«Il y a des listes d’attente pour le traitement comportemental intensif, d’autres pour du répit pour les familles, il y a des listes d’attente partout, avoue la ministre Charlebois. On vise l’élimination de la liste d’attente pour le programme d’intervention comportementale intensive. Dès la première année, dans l’ensemble du Québec, on veut diminuer cette liste de 45 %. La liste double tous les quatre ans.»
Place à l’amélioration
La ministre de la région de Laval, Francine Charbonneau, et la présidente-directrice générale du CISSS de Laval, Caroline Barbir, ont accueilli avec joie cet investissement qui a servi à réduire la liste d’attente. 225 personnes étaient en attente de services sur le territoire lavallois. Aujourd’hui, on en compte 112.
«Cet investissement nous donne des ailes, explique Mme Barbir. Ça me touche quand on reçoit les moyens d’agir! Personne ne trouve cela drôle les listes d’attente.
«28 familles ont reçu une subvention à la hausse, enchaîne-t-elle. 87 familles qui ne recevaient aucune somme du programme soutien à la famille en ont reçue. Nous en sommes très fiers.»
La présidente-directrice générale du CISSS de Laval et son équipe ont décidé de prioriser le service pour les jeunes de quatre ans, si bien qu’il n’y a aucune attente pour l’intervention comportementale intensive.
Mme Barbir a lancé des fleurs à ses 9500 employés et 1000 médecins qui œuvrent dans le domaine de la santé. «Ils ont choisi d’aider le monde. Ça prend de l’abnégation, de la générosité et du courage pour travailler dans le réseau de la santé. Ils le font par amour et conviction. Ils veulent changer des choses.»
40 M$ au Québec
À travers le Québec, c’est un montant de 29 M$ ainsi qu’une somme de 1,25 M$ pour la recherche et la formation que le gouvernement du Québec investira annuellement dans le cadre de son Plan d’action sur le trouble du spectre de l’autisme 2017-2022, dévoilé le 21 mars. De plus, 11 M$ pour cette année s’ajoutent pour la réduction des listes d’attente.
Ce plan comprend 35 actions et résulte du premier Forum québécois sur le trouble du spectre de l’autisme, tenu les 11 et 12 février 2016.