«Ce n’est pas dans les cartons de changer notre politique, souligne le porte-parole de la CSDL, Jean-Pierre Archambault. Il n’y aura pas de changement concernant les aliments allergènes.»
M. Archambault a indiqué qu’une analyse sera réalisée sur cette nouvelle directive et pratique à la CSDM.
L’époque où arachides, œufs, lait, fraises et kiwis étaient bannis est révolue dans les établissements de Montréal. Cette décision a été prise parce que la CSDM ne pouvait pas garantir un milieu sans allergène. La CSDM a préféré miser sur l’éducation et la sensibilisation. «Cela crée trop souvent un faux sentiment de sécurité auprès des enfants allergiques et de leurs familles», pouvait-on lire dans une communication envoyée aux parents.
À Laval, les écoles ne semblent pas prêtes à faire ce virage à 180 degrés. Chaque commission scolaire est en effet autonome sur cette question.
Adaptatition
Au fil des ans, les écoles ont dû s’adapter à la réalité des enfants allergiques et prendre des moyens concrets pour les protéger. Les politiques lavalloises varient d’une école à l’autre, mais elles respectent généralement quelques principes de base, comme l’interdiction de consommer des aliments très allergènes à l’école (arachides et noix) et le non-partage des plats et des aliments.
Aliments à risque
Rappelons que huit aliments sont responsables de 90 % des réactions allergiques: le lait de vache, les œufs, le soya, le blé, les arachides, les noix, le poisson et les fruits de mer. Certains d’entre eux sont des allergènes causant des réactions sévères, voire même la mort.
«Ce n’est pas dans les cartons de changer notre politique, souligne le porte-parole de la CSDL, Jean-Pierre Archambault. Il n’y aura pas de changement concernant les aliments allergènes.»
M. Archambault a indiqué qu’une analyse sera réalisée sur cette nouvelle directive et pratique à la CSDM.
L’époque où arachides, œufs, lait, fraises et kiwis étaient bannis est révolue dans les établissements de Montréal. Cette décision a été prise parce que la CSDM ne pouvait pas garantir un milieu sans allergène. La CSDM a préféré miser sur l’éducation et la sensibilisation. «Cela crée trop souvent un faux sentiment de sécurité auprès des enfants allergiques et de leurs familles», pouvait-on lire dans une communication envoyée aux parents.
À Laval, les écoles ne semblent pas prêtes à faire ce virage à 180 degrés. Chaque commission scolaire est en effet autonome sur cette question.
Adaptatition
Au fil des ans, les écoles ont dû s’adapter à la réalité des enfants allergiques et prendre des moyens concrets pour les protéger. Les politiques lavalloises varient d’une école à l’autre, mais elles respectent généralement quelques principes de base, comme l’interdiction de consommer des aliments très allergènes à l’école (arachides et noix) et le non-partage des plats et des aliments.
Aliments à risque
Rappelons que huit aliments sont responsables de 90 % des réactions allergiques: le lait de vache, les œufs, le soya, le blé, les arachides, les noix, le poisson et les fruits de mer. Certains d’entre eux sont des allergènes causant des réactions sévères, voire même la mort.