La deuxième édition de l’Indice mensuel de bonheur au travail d’ADP Canada rapporte un score national de bonheur de 6,6 sur 10.
Cela représente une baisse de 0,1 par rapport aux résultats obtenus en mars.
Les principaux facteurs de bonheur serait la satisfaction globale, l’équilibre travail-vie personnelle et la flexibilité. À l’inverse, les options d’avancement de carrière, ainsi que la rémunération et les avantages sociaux ont en revanche reçu les niveaux de satisfaction les plus faibles en avril, et ce, pour un deuxième mois de suite.
Le Québec (-0,4) est l’une des provinces qui a connu la baisse la plus importante du taux de bonheur au travail, tout juste devant la Saskatchewan et le Manitoba (-0,6). La note québécoise pointe désormais à 6,6 sur 10.
Générations
Notons que la génération Z, qui comprend les 18 à 24 ans, a connu la plus forte diminution de bonheur en avril, soit -0,4. Elle est maintenant la tranche d’âge la moins heureuse au travail.
Les milléniaux de 25 à 40 ans (6,6 sur 10) et la génération X de 41 à 55 ans (6,5 sur 10) ont tous deux constaté une baisse de 0,1 sur 10, tandis que les baby-boomers (56 à 75 ans) demeurent stables avec un score de 7,3.
«La génération Z obtient le score de bonheur au travail le plus faible en avril, qui semble être principalement tiré vers le bas par les opportunités d’avancement professionnel, puisque seulement un quart des répondants de cette génération se dit satisfaite par les options offertes,», précise Holger Kormann, président d’ADP Canada, par communiqué. (N.P.)