L’économie ne s’annonce pas très reluisante pour 2023. Selon un récent sondage de la firme Léger, 21 % des Québécois ont pris la résolution de s’occuper davantage de leurs finances et de leur épargne. En conséquence, le nombre de personnes qui songent à investir dans des produits financiers et des arrangements préalables augmente.
Un peu d’histoire
Au cours des dernières années, il y a eu un regain d’intérêt pour les produits financiers tels que les arrangements préalables, car de plus en plus de gens commencent à réfléchir à une façon de ne pas laisser le fardeau financier de leurs funérailles à leurs enfants et aux membres de leur famille. Bien que l’introduction de ce produit sécuritaire ait fait son apparition au Québec en 1967, il tire ses origines d’une pratique très répandue sous d’autres formes depuis l’Antiquité.
Les historiens soupçonnent qu’il y a déjà 4 500 ans, les Égyptiens avaient mis en place des systèmes de cotisations pour s’assurer que leur famille pouvait payer leur enterrement. Sir William Matthew Flinders Petrie, un célèbre égyptologue britannique, s’est intéressé à l’histoire du soldat Senefru, qui était membre d’une association de familles appelée « guilde de tailleurs de pierre de la nécropole ». Ils auraient été responsables de la majorité des cimetières et des sépultures de l’époque. Senefru semblait être un soldat sans richesse personnelle et sans lien professionnel avec les tailleurs de pierre; on pense que Senefru effectuait des paiements à la guilde afin de payer son enterrement le moment venu. Les anciens Égyptiens avaient une culture qui accordait une grande importance aux arrangements funéraires et à la qualité de leur vie éternelle après la mort. Cela explique probablement pourquoi un pauvre soldat s’est attardé à la planification de ses funérailles. Il n’avait pas les moyens des grands pharaons, avec leurs pyramides monumentales, et devait penser à ce qui arriverait après sa mort.
Plus tard, dans l’Europe médiévale et au-delà, on vit l’apparition d’un type d’assurance funéraire et de clubs funéraires. Semblables à l’idée des guildes, les clubs funéraires permettaient aux familles de la classe ouvrière d’effectuer de petits paiements chaque semaine. En retour, tous les frais funéraires seraient payés au décès d’un membre de leur famille.
Les solutions de l’Antiquité ont tracé la voie à un outil sécuritaire et très encadré par le gouvernement : les arrangements préalables. En y souscrivant aujourd’hui auprès de la Coopérative funéraire du Grand Montréal, vous vous assurez de faciliter les choix pour votre famille et de lui indiquer vos volontés quant à vos funérailles, en fonction de vos croyances, en payant au prix d’aujourd’hui et en vous protégeant contre les augmentations de coûts.
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