Avec la popularité des produits écologiques sur le marché, le Canada constate une recrudescence de déclarations environnementales fausses, trompeuses ou non fondées.
De plus en plus d’entreprises font la promotion de leurs produits et services comme plus écologiques qu’ils ne le sont, ce qui est illégal au pays.
Cette pratique, l’écoblanchiment, peut apparaître sous de nombreuses formes, que ce soit dans les indications, les adjectifs, les couleurs et les symboles utilisés pour créer une fausse impression qu’un produit est plus «vert» qu’il ne l’est.
Selon le Réseau international de contrôle et de protection des consommateurs, près de 40% des prétentions écologiques publiées en ligne pourraient tromper les consommateurs.
Plusieurs pistes de réflexion peuvent aider à mieux cerner si le produit est véritablement «vert». D’abord, une déclaration générale telle que «respectueux de l’environnement» sans autres détails risque de donner lieu à une mauvaise interprétation.
De plus, les images de la nature comme l’eau, les nuages et ou des plantes peuvent tromper les consommateurs.
Lorsqu’un produit est trompeur, le Bureau de la concurrence peut en être informé. (J.B.)