Dans le cadre de la série de portraits des joueurs du Rocket de Laval, l’attaquant de 27 ans, Alex Belzile, révèle être content de revenir dans ses pantoufles après trois ans à San Antonio.
Quand tu as commencé à jouer au hockey, qui t’a encouragé?
Mes parents m’ont vraiment supporté. Je n’ai pas eu un parcours très commun, jouant très longtemps dans le calibre CC. Ils m’ont toujours dit de m’amuser et d’aimer ce que je faisais. Je suis vraiment un passionné de hockey et jamais ils m’ont conseillé de trouver autre chose même quand je jouais dans des petits niveaux. Sur le plan hockey, Peter Forsberg était un joueur très intense avec une bonne vision de jeu, deux aspects que je veux amener sur la glace.
Qu’est-ce que tu aimes de Laval ?
Tout est à proximité. Si je veux quelque chose, je le rentre dans mon GPS et ce n’est pas loin. J’aime la ville. C’est une très belle place. C’est mon premier hiver en trois ans. Il fait plus froid qu’à San Antonio, mais je suis bien dans mes pantoufles.
Quels sont tes intérêts en dehors du hockey?
Je suis un grand sportif. Plus jeune, je pratiquais le tennis et golf, deux sports que je suis attentivement. Je joue aussi aux jeux vidéo, mais ceux de sport. Je n’aime pas les jeux de guerre.
Quel type de personne es-tu au quotidien?
Je suis quelqu’un de très positif et énergique. Les personnes qui me connaissent bien savent que je suis parfois un peu énervé. Quand je suis à l’aise avec des gens, j’aime ça mettre de l’action.
Si tu n’étais pas un joueur de hockey, que ferais-tu ?
Probablement que je serais un enseignant. Je suis très patient et c’est le fun d’apprendre à des jeunes qui veulent. La clé c’est de savoir s’adapter, peu importe le message que tu veux faire passer. Je crois que c’est une des forces de Joël [Bouchard]. Il passe très bien son message et le fait différemment avec plusieurs personnes. Si tu dis quelque chose à 20 gars, tu dois t’adapter aux personnalités.
Es-tu superstitieux?
Non, pas vraiment. Je change toujours mon échauffement avant les parties. Ma seule routine, c’est de toujours m’habiller du côté gauche en premier.