«C’est correct si cela peut aider à ce que le travail des policiers soit mieux reconnu par les gens», de confier Lucie D., 63 ans, de Laval-des-Rapides, en attendant du lait pour le café brûlant et gratuit que venait de lui servir une agente face aux escaliers mécaniques de la station Cartier.
«C’est bien de favoriser ainsi le rapprochement avec les citoyens, d’autant plus que les jeunes de mon âge n’apprécient souvent pas trop les policiers, alors que pour ma part, je trouve qu’ils font du bon travail, étant là pour nous protéger», de continuer Rebecca P., 22 ans, de Saint-Vincent-de-Paul.
Cette opération se déroulait simultanément dans la plupart des municipalités du Québec.
Démystifier et informer
«Ces rencontres ont pour but notamment de répondre aux questions de certaines personnes qui n’oseraient pas sortir et se rendre à leur poste de quartier pour nous faire part de leurs interrogations», précise Evelyne Boudreau, porte-parole du Service de police de Laval.
«C’est vrai que c’est sympathique pour nous, ajoute Martin L., 47 ans, de Duvernay. J’ai pu enfin obtenir une réponse quant à mon inquiétude concernant la circulation à l’angle des boulevards Jolicoeur et Saint-Martin, où des autobus déposent des enfants pendant que de automobilistes ne font aucun arrêt, en raison d’un terre-plein.»
«Ayant déjà eu ma part d’histoires, je pense à un petit délinquant qui peut rencontrer des policiers de cette façon et changer sa perception sur eux, souligne Serge C., 53 ans, un citoyen montréalais venu travailler à Laval. Ça peut aider à éviter bien des problèmes.»
«C’est correct si cela peut aider à ce que le travail des policiers soit mieux reconnu par les gens», de confier Lucie D., 63 ans, de Laval-des-Rapides, en attendant du lait pour le café brûlant et gratuit que venait de lui servir une agente face aux escaliers mécaniques de la station Cartier.
«C’est bien de favoriser ainsi le rapprochement avec les citoyens, d’autant plus que les jeunes de mon âge n’apprécient souvent pas trop les policiers, alors que pour ma part, je trouve qu’ils font du bon travail, étant là pour nous protéger», de continuer Rebecca P., 22 ans, de Saint-Vincent-de-Paul.
Cette opération se déroulait simultanément dans la plupart des municipalités du Québec.
Démystifier et informer
«Ces rencontres ont pour but notamment de répondre aux questions de certaines personnes qui n’oseraient pas sortir et se rendre à leur poste de quartier pour nous faire part de leurs interrogations», précise Evelyne Boudreau, porte-parole du Service de police de Laval.
«C’est vrai que c’est sympathique pour nous, ajoute Martin L., 47 ans, de Duvernay. J’ai pu enfin obtenir une réponse quant à mon inquiétude concernant la circulation à l’angle des boulevards Jolicoeur et Saint-Martin, où des autobus déposent des enfants pendant que de automobilistes ne font aucun arrêt, en raison d’un terre-plein.»
«Ayant déjà eu ma part d’histoires, je pense à un petit délinquant qui peut rencontrer des policiers de cette façon et changer sa perception sur eux, souligne Serge C., 53 ans, un citoyen montréalais venu travailler à Laval. Ça peut aider à éviter bien des problèmes.»