Ce retrait temporaire vise à «permettre le transport scolaire à proximité des unités d’habitation adaptées pour les personnes à mobilité réduite», peut-on lire dans un avis public daté du 8 décembre distribué aux résidents du secteur.
On y apprend également que dans sa version définitive, cette fermeture de rue inclura l’aménagement d’un rayon de virage dans la portion nord afin de permettre aux automobilistes et chauffeurs d’autobus d’effectuer un virage en «U» sans devoir reculer.
Sondage favorable
«Une vaste majorité des répondants se sont prononcés en faveur de cette mesure d’apaisement de la circulation», y écrit le chef de division Relations avec le milieu de la Ville, Philippe A. Guilbeault.
Le 15 janvier, la porte-parole de la Municipalité, Nadine Lussier, explique que les personnes sondées en novembre étaient celles «directement impactées par les mesures et qui n’ont pas d’alternative équivalente dans leurs déplacements», à savoir «les résidents de la rue de Palerme entre Bellerose et de Clève».
Résultat, 28 personnes ont voté en faveur de la mesure mise à l’essai en septembre dernier, alors que 5 personnes s’y opposaient et 7 autres se disaient favorables à son maintien selon certains ajustements.
Les domiciliés de ce tronçon de Palerme ont ainsi opté pour la sécurité et la quiétude, eux qui seront contraints à un détour de 2 kilomètre par le boulevard René-Laennec pour rejoindre le boulevard Bellerose, situé à 270 mètres au nord de la rue de Murcie.
Pas que des heureux!
Rappelons que 3 jours précédant la rédaction de l’avis public, 2 citoyens du secteur avaient déposé une pétition de plus de 600 noms à la séance du conseil municipal de décembre, réclamant le retrait de ces cloches bloquant l’accès à la rue de Palerme.
Sans surprise, considérant que l’objectif visait à réduire le débit de voitures au profit de la quiétude du voisinage, la Ville a choisi de ne prendre en compte que ceux qui subissaient la circulation de transit sur cette rue résidentielle privée de trottoir.
À cet égard, Mme Lussier souligne que le gabarit du boulevard René-Laennec et son prolongement dans les années 1990 en font une alternative de parcours tout indiqué pour les automobilistes.
Ce retrait temporaire vise à «permettre le transport scolaire à proximité des unités d’habitation adaptées pour les personnes à mobilité réduite», peut-on lire dans un avis public daté du 8 décembre distribué aux résidents du secteur.
On y apprend également que dans sa version définitive, cette fermeture de rue inclura l’aménagement d’un rayon de virage dans la portion nord afin de permettre aux automobilistes et chauffeurs d’autobus d’effectuer un virage en «U» sans devoir reculer.
Sondage favorable
«Une vaste majorité des répondants se sont prononcés en faveur de cette mesure d’apaisement de la circulation», y écrit le chef de division Relations avec le milieu de la Ville, Philippe A. Guilbeault.
Le 15 janvier, la porte-parole de la Municipalité, Nadine Lussier, explique que les personnes sondées en novembre étaient celles «directement impactées par les mesures et qui n’ont pas d’alternative équivalente dans leurs déplacements», à savoir «les résidents de la rue de Palerme entre Bellerose et de Clève».
Résultat, 28 personnes ont voté en faveur de la mesure mise à l’essai en septembre dernier, alors que 5 personnes s’y opposaient et 7 autres se disaient favorables à son maintien selon certains ajustements.
Les domiciliés de ce tronçon de Palerme ont ainsi opté pour la sécurité et la quiétude, eux qui seront contraints à un détour de 2 kilomètre par le boulevard René-Laennec pour rejoindre le boulevard Bellerose, situé à 270 mètres au nord de la rue de Murcie.
Pas que des heureux!
Rappelons que 3 jours précédant la rédaction de l’avis public, 2 citoyens du secteur avaient déposé une pétition de plus de 600 noms à la séance du conseil municipal de décembre, réclamant le retrait de ces cloches bloquant l’accès à la rue de Palerme.
Sans surprise, considérant que l’objectif visait à réduire le débit de voitures au profit de la quiétude du voisinage, la Ville a choisi de ne prendre en compte que ceux qui subissaient la circulation de transit sur cette rue résidentielle privée de trottoir.
À cet égard, Mme Lussier souligne que le gabarit du boulevard René-Laennec et son prolongement dans les années 1990 en font une alternative de parcours tout indiqué pour les automobilistes.