«C’est exceptionnel d’avoir trois en trois, lance le Lavallois au lendemain de la médaille d’or de son protégé Mikaël Kingsbury. C’est unique comme situation. J’ai célébré avec les athlètes, entraîneurs et familles, mais il me reste encore beaucoup de boulot avec d’autres athlètes. Je ne veux pas trop me laisser emporter.»
Ménard a assisté à la performance argentée de Maxence Parrot en slopestyle sur le parcours de descente acrobatique au Parc à neige Phoenix, le 11 février. Quatre fois champion des X Games, le planchiste a remporté sa première médaille olympique.
«Max n’a pas joué de chance en chutant lors de ses deux premiers essais, explique Ménard. Il n’était pas blessé, mais sonné. On a dû revoir son plan de match en troisième manche. Il a donc adopté une approche plus conservatrice en se limitant à une seule triple vrille, plutôt que deux au parcours final.»
Première médaille d’or
Le lendemain, Ménard a été témoin de la médaille d’or de l’équipe de patinage artistique, dont faisait partie le duo en danse de Tessa Virtue et Scott Moir.
Le préparateur mental était inquiet que la cérémonie d’ouverture draine de l’énergie au duo Vertue-Moir. «Au contraire, ce fut un gros atout pour leur préparation. Ils ont été formidables dans la compétition par équipe. Ils ont aidé le Canada à rafler l’or.»
Il avait un message tout simple pour Tessa et Scott qui ont porté le drapeau à la cérémonie d’ouverture des Jeux. «Je leur ai dit d’être authentiques, de se présenter tels qu’ils sont. Il était important qu’ils aient du plaisir. Ils ont bien fait cela.»
Ménard a regardé la cérémonie en compagnie des familles à la maison du Canada. «J’apprécie la culture coréenne. Ce fut un spectacle magique et dynamique.»
Derrière le King des bosses
Ménard a aussi été un témoin privilégié de la performance électrisante de Mikael Kingsbury en super finale des bosses sur la piste du parc Phoenix. À l’âge de neuf ans, Mikaël avait fait un dessin dans lequel il avait illustré les anneaux olympiques et son souhait de remporter une médaille d’or un jour. «Il a réalisé son rêve, insiste son préparateur mental. Il a eu deux descentes pour recueillir de l’information. Il a respecté le plan. L’objectif était de se qualifier pour la super finale. On ne gagne pas la médaille d’or en première ronde.»
Pas terminé
Jean-François Ménard est à mi-chemin de son objectif de cinq médailles. Il a toujours les Parrot (snowboard big air), Chris Robanske (snowboard cross), Julianne Séguin et Charlie Bilodeau (patinage artistique) ainsi que Tessa Virtue et Scott Moir (patinage artistique) qui participeront à leurs épreuves dans les prochains jours.
«C’est exceptionnel d’avoir trois en trois, lance le Lavallois au lendemain de la médaille d’or de son protégé Mikaël Kingsbury. C’est unique comme situation. J’ai célébré avec les athlètes, entraîneurs et familles, mais il me reste encore beaucoup de boulot avec d’autres athlètes. Je ne veux pas trop me laisser emporter.»
Ménard a assisté à la performance argentée de Maxence Parrot en slopestyle sur le parcours de descente acrobatique au Parc à neige Phoenix, le 11 février. Quatre fois champion des X Games, le planchiste a remporté sa première médaille olympique.
«Max n’a pas joué de chance en chutant lors de ses deux premiers essais, explique Ménard. Il n’était pas blessé, mais sonné. On a dû revoir son plan de match en troisième manche. Il a donc adopté une approche plus conservatrice en se limitant à une seule triple vrille, plutôt que deux au parcours final.»
Première médaille d’or
Le lendemain, Ménard a été témoin de la médaille d’or de l’équipe de patinage artistique, dont faisait partie le duo en danse de Tessa Virtue et Scott Moir.
Le préparateur mental était inquiet que la cérémonie d’ouverture draine de l’énergie au duo Vertue-Moir. «Au contraire, ce fut un gros atout pour leur préparation. Ils ont été formidables dans la compétition par équipe. Ils ont aidé le Canada à rafler l’or.»
Il avait un message tout simple pour Tessa et Scott qui ont porté le drapeau à la cérémonie d’ouverture des Jeux. «Je leur ai dit d’être authentiques, de se présenter tels qu’ils sont. Il était important qu’ils aient du plaisir. Ils ont bien fait cela.»
Ménard a regardé la cérémonie en compagnie des familles à la maison du Canada. «J’apprécie la culture coréenne. Ce fut un spectacle magique et dynamique.»
Derrière le King des bosses
Ménard a aussi été un témoin privilégié de la performance électrisante de Mikael Kingsbury en super finale des bosses sur la piste du parc Phoenix. À l’âge de neuf ans, Mikaël avait fait un dessin dans lequel il avait illustré les anneaux olympiques et son souhait de remporter une médaille d’or un jour. «Il a réalisé son rêve, insiste son préparateur mental. Il a eu deux descentes pour recueillir de l’information. Il a respecté le plan. L’objectif était de se qualifier pour la super finale. On ne gagne pas la médaille d’or en première ronde.»
Pas terminé
Jean-François Ménard est à mi-chemin de son objectif de cinq médailles. Il a toujours les Parrot (snowboard big air), Chris Robanske (snowboard cross), Julianne Séguin et Charlie Bilodeau (patinage artistique) ainsi que Tessa Virtue et Scott Moir (patinage artistique) qui participeront à leurs épreuves dans les prochains jours.