Trente directrices, adjointes ou conseillères pédagogiques, principalement de Laval et des Laurentides, ont assisté à la conférence de Mme Caffari-Viallon à l’hôtel Sheraton.
Répondant ainsi à l’invitation du Regroupement des centres de la petite enfance de la Montérégie (RCPEM), Mme Caffari a proposé, du 14 au 20 février, des formations touchant plusieurs aspects de l’éducation à la petite enfance: la qualité de l’accompagnement pédagogique auprès des éducatrices, la relation individualisée avec l’enfant en collectivité et le rôle du jeu dans la vie de l’enfant.
De plus, les CPE déjà engagés dans une démarche d’appropriation de l’approche piklérienne, une approche développée dans les années 1950 par la pédagogue Emmi Pikler, ont pu bénéficier d’une journée de soutien personnalisée pour mener leur réflexion encore plus loin.
«Le jeu est un moment où l’enfant est libre, dégagé de la pression des adultes et de l’école, philosophe-t-elle. Dans le jeu, on n’a pas besoin d’être petit.»
Trente directrices, adjointes ou conseillères pédagogiques, principalement de Laval et des Laurentides, ont assisté à la conférence de Mme Caffari-Viallon à l’hôtel Sheraton.
Répondant ainsi à l’invitation du Regroupement des centres de la petite enfance de la Montérégie (RCPEM), Mme Caffari a proposé, du 14 au 20 février, des formations touchant plusieurs aspects de l’éducation à la petite enfance: la qualité de l’accompagnement pédagogique auprès des éducatrices, la relation individualisée avec l’enfant en collectivité et le rôle du jeu dans la vie de l’enfant.
De plus, les CPE déjà engagés dans une démarche d’appropriation de l’approche piklérienne, une approche développée dans les années 1950 par la pédagogue Emmi Pikler, ont pu bénéficier d’une journée de soutien personnalisée pour mener leur réflexion encore plus loin.
«Le jeu est un moment où l’enfant est libre, dégagé de la pression des adultes et de l’école, philosophe-t-elle. Dans le jeu, on n’a pas besoin d’être petit.»