«Ce n’est pas une subvention, c’est un accompagnement, insistait le président-directeur général du CQCD, Léopold Turgeon, devant un parterre de commerçants lavallois réunis lors du 1er Forum innovation commerce, le 15 février. On voulait être sur le terrain et donner l’encadrement nécessaire.»
Détails
Il s’agit d’un service personnalisé et gratuit en milieu d’entreprise où un conseiller expert en e-commerce pose un diagnostic étoffé, duquel découle un plan d’action établi selon les besoins identifiés. Après avoir fait le choix d’un fournisseur de service, le détaillant participant suit une formation de 10 heures en commercialisation numérique.
En retour, le détaillant doit s’engager à investir un montant équivalent à 100 $ par mois pour financer la solution Web mise en place pour soutenir le site transactionnel.
Incontournable
En 2017, 80 % des Canadiens ont effectué l’achat en ligne d’au moins un produit ou service, révèle Statistique Canada.
Aujourd’hui, appuie M. Turgeon, les consommateurs magasinent sur leur téléphone intelligent ou leur tablette. «Le revenu annuel moyen du ménage cyberacheteur est de 86 000 $», précise-t-il en insistant sur l’importance de rejoindre les clients là où ils se trouvent.
En hausse de 6 %, les ventes au détail ont totalisé l’année dernière 125,5 milliards de dollars au Québec, dont 5 G$ en ligne. Reste que ces ventes réalisées sur le Web ont augmenté de 43 % en 2017, fait valoir le grand patron du Conseil québécois du commerce du détail.
50 inscriptions
Le mois dernier, à l’occasion du Forum innovation commerce initié par la Ville avec la collaboration du CQCD, une cinquantaine de détaillants lavallois ont adhéré au programme visant à les propulser dans l’univers du numérique.
«C’est tout à fait exceptionnel, commente la directrice du projet numérique Stéphanie Venne. On en est au début du programme et déjà on a atteint 50 % du contingent de Laval.»
Enfin, au-delà des 20 heures de consultation comprises dans cet accompagnement équivalant à 5 jours, le conseiller en transformation technologique demeure disponible pour de l’aide et du support ponctuels pendant la mise en œuvre du plan d’action.
Financé par le ministère de l’Économie, de la Science et de l’innovation, le programme se poursuit jusqu’à l’automne 2019.
«Ce n’est pas une subvention, c’est un accompagnement, insistait le président-directeur général du CQCD, Léopold Turgeon, devant un parterre de commerçants lavallois réunis lors du 1er Forum innovation commerce, le 15 février. On voulait être sur le terrain et donner l’encadrement nécessaire.»
Détails
Il s’agit d’un service personnalisé et gratuit en milieu d’entreprise où un conseiller expert en e-commerce pose un diagnostic étoffé, duquel découle un plan d’action établi selon les besoins identifiés. Après avoir fait le choix d’un fournisseur de service, le détaillant participant suit une formation de 10 heures en commercialisation numérique.
En retour, le détaillant doit s’engager à investir un montant équivalent à 100 $ par mois pour financer la solution Web mise en place pour soutenir le site transactionnel.
Incontournable
En 2017, 80 % des Canadiens ont effectué l’achat en ligne d’au moins un produit ou service, révèle Statistique Canada.
Aujourd’hui, appuie M. Turgeon, les consommateurs magasinent sur leur téléphone intelligent ou leur tablette. «Le revenu annuel moyen du ménage cyberacheteur est de 86 000 $», précise-t-il en insistant sur l’importance de rejoindre les clients là où ils se trouvent.
En hausse de 6 %, les ventes au détail ont totalisé l’année dernière 125,5 milliards de dollars au Québec, dont 5 G$ en ligne. Reste que ces ventes réalisées sur le Web ont augmenté de 43 % en 2017, fait valoir le grand patron du Conseil québécois du commerce du détail.
50 inscriptions
Le mois dernier, à l’occasion du Forum innovation commerce initié par la Ville avec la collaboration du CQCD, une cinquantaine de détaillants lavallois ont adhéré au programme visant à les propulser dans l’univers du numérique.
«C’est tout à fait exceptionnel, commente la directrice du projet numérique Stéphanie Venne. On en est au début du programme et déjà on a atteint 50 % du contingent de Laval.»
Enfin, au-delà des 20 heures de consultation comprises dans cet accompagnement équivalant à 5 jours, le conseiller en transformation technologique demeure disponible pour de l’aide et du support ponctuels pendant la mise en œuvre du plan d’action.
Financé par le ministère de l’Économie, de la Science et de l’innovation, le programme se poursuit jusqu’à l’automne 2019.